L’équipement de série comprend des jantes de 18 pouces, une boîte de vitesses manuelle à six rapports, un lecteur CD simple et une prise audio auxiliaire. Neuf couleurs composent la palette, dont Orange vif et Rouge victoire.
«Très stylée»? Assurément! La nouvelle Camaro est l’équivalent visuel d’un coup de canon et, une fois peinte en Jaune rallye, elle semble impossible à quitter des yeux. La version SS se démarque par un prolongement du bas de caisse, une prise d'air avant, des fentes pour refroidir les freins, une calandre inférieure et un diffuseur arrière. Ce qui est génial, c’est qu’on peut donner tout le muscle voulu à l’extérieur et garder quand même le V6 sous le capot.
Si vous préférez les voitures à la silhouette gracieuse et délicate, oubliez la Camaro. Son long museau agressif et taillé au couteau s’impose partout où il passe. En même temps, les designers ont trouvé une façon de conserver le style et le caractère fougueux qui ont rendu le modèle si populaire à ses débuts dans les années 1960.
L’habitacle m’a un peu déçue, cependant. Les plastiques rigides et les grosses commandes drôlement positionnées ne font pas preuve de beaucoup de sophistication. Pour tout vous dire, je suis profondément étonnée que les gens de Chevrolet aient consacré autant d’efforts à l’extérieur et aussi peu à l’intérieur.
La Camaro a toujours eu des allures masculines et le décor du nouveau modèle ne change rien à cette réalité. En plus du volant qui s’avère trop grand et trop épais pour mes mains, les molettes surdimensionnées feraient davantage l’affaire dans une camionnette; même le levier de vitesses m’empêche d’être à l’aise. Assise dans le siège du conducteur, je dois avouer que je me sentais toute petite en raison de la haute ceinture de caisse et de l’étroitesse des vitres!
Les places arrière restent difficiles à accéder, comme c’est le cas avec la Mustang et la Challenger, d’ailleurs. La banquette en soi manque clairement de confort et l’espace fait défaut. Son dossier se rabat mais en une section seulement (pas de division 60/40!), tandis que la trappe d’accès au coffre demeure plutôt restreinte.
Quant à la partie «sportive» de la définition initiale, elle résume tout à fait la Camaro SS à moteur V8 —je n’ai pu tester la version de base avec V6, malheureusement. Ici, la puissance s’élève à 426 chevaux (ou 400 avec le système de gestion active du carburant). Dès que l’on tourne la clé, le moteur rugit et tous les passants se retournent pour découvrir la source de tant de bruit, ce qui me fait bien sourire. Je dois néanmoins reconnaître que le V8 HEMI de la Challenger fait battre mon cœur plus rapidement.
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| Les plastiques rigides et les grosses commandes drôlement positionnées ne font pas preuve de beaucoup de sophistication. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |
«Très stylée»? Assurément! La nouvelle Camaro est l’équivalent visuel d’un coup de canon et, une fois peinte en Jaune rallye, elle semble impossible à quitter des yeux. La version SS se démarque par un prolongement du bas de caisse, une prise d'air avant, des fentes pour refroidir les freins, une calandre inférieure et un diffuseur arrière. Ce qui est génial, c’est qu’on peut donner tout le muscle voulu à l’extérieur et garder quand même le V6 sous le capot.
Si vous préférez les voitures à la silhouette gracieuse et délicate, oubliez la Camaro. Son long museau agressif et taillé au couteau s’impose partout où il passe. En même temps, les designers ont trouvé une façon de conserver le style et le caractère fougueux qui ont rendu le modèle si populaire à ses débuts dans les années 1960.
L’habitacle m’a un peu déçue, cependant. Les plastiques rigides et les grosses commandes drôlement positionnées ne font pas preuve de beaucoup de sophistication. Pour tout vous dire, je suis profondément étonnée que les gens de Chevrolet aient consacré autant d’efforts à l’extérieur et aussi peu à l’intérieur.
La Camaro a toujours eu des allures masculines et le décor du nouveau modèle ne change rien à cette réalité. En plus du volant qui s’avère trop grand et trop épais pour mes mains, les molettes surdimensionnées feraient davantage l’affaire dans une camionnette; même le levier de vitesses m’empêche d’être à l’aise. Assise dans le siège du conducteur, je dois avouer que je me sentais toute petite en raison de la haute ceinture de caisse et de l’étroitesse des vitres!
Les places arrière restent difficiles à accéder, comme c’est le cas avec la Mustang et la Challenger, d’ailleurs. La banquette en soi manque clairement de confort et l’espace fait défaut. Son dossier se rabat mais en une section seulement (pas de division 60/40!), tandis que la trappe d’accès au coffre demeure plutôt restreinte.
Quant à la partie «sportive» de la définition initiale, elle résume tout à fait la Camaro SS à moteur V8 —je n’ai pu tester la version de base avec V6, malheureusement. Ici, la puissance s’élève à 426 chevaux (ou 400 avec le système de gestion active du carburant). Dès que l’on tourne la clé, le moteur rugit et tous les passants se retournent pour découvrir la source de tant de bruit, ce qui me fait bien sourire. Je dois néanmoins reconnaître que le V8 HEMI de la Challenger fait battre mon cœur plus rapidement.
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| En ville, je n’ai eu aucun problème à me faufiler dans les rues achalandées. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |