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Chevrolet Cobalt SS 2005

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Le meilleur taux d'intérêt
Alexandra Straub
Au-delà des attentes
Pendant ma conduite, le temps était lourd mais les routes étaient encore sèches, m'invitant à vraiment tenter de savoir ce que la SS avait à offrir. Tout comme la ION Red Line, elle se manie de façon fantastique. La prise en mains du volant gainé de cuir est confortable, et le système de direction à pignon et crémaillère à assistance électrique facilite la prise
La prise en mains du volant gainé de cuir est confortable, et le système de direction à pignon et crémaillère à assistance électrique facilite la prise des virages serrés. (Photo: Alexandra Straub, Canadian Auto Press)
des virages serrés, alors que les pneus de performance de type toutes saisons s'agrippaient bien à la route. Sur le chemin du retour à la maison, la pluie continuelle a rendu les routes plutôt glissantes. Malgré les conditions météo, la Cobalt se maniait bien. Et lorsque j'ai mis à l'épreuve les freins à quatre disques munis de l'ABS, ils ont eux aussi été à la hauteur.

Pour en revenir aux enfants, je dois dire que la Cobalt SS n'est pas ce qu'il y a de mieux pour transporter les enfants un peu partout. Même s'ils ont tous moins de dix ans, je les sentais plutôt "confinés" à l'arrière. Et ils n'aimaient pas vraiment cela. La configuration en coupé est idéale pour moi et ma bourse, et quelque fois un autre passager. Je n'oserais jamais obliger une personne de taille adulte que j'aime à prendre place à l'arrière, si c'était ma voiture, mais je n'en aurais pas l'opportunité de toute façon. C'est une question de priorités. Chevrolet offre une version berline de la Cobalt qui accorde plus d'espace pour les passagers à l'arrière. L'espace d'assise diminutif à l'arrière du coupé est le prix à payer pour rouler avec style. Alors quand les sièges arrière étaient remplis, et que les protestations commençaient à se faire entendre, je parvenais à acheter la paix avec un peu de crème glacée.

Il arrive quelquefois, par contre, que le fait de rouler avec style soit difficile pour les articulations. Je m'explique. À chaque jeudi, nous avons une soirée de sports et en groupe, nous choisissons et, vous l'avez
J'ai apprécié me balader à travers la ville dans la SS au ton jaune vif, avec son moteur à 4 cylindres suralimenté ECOTEC de 2 litres à double arbre à cames en tête et 16 soupapes. (Photo: Alexandra Straub, Canadian Auto Press)
deviné, jouons à ce sport. Nous avons choisi le dodgeball lorsque j'avais la Cobalt SS. Comme j'exerce rarement le haut de mon corps, étant plutôt une coureuse ou une adepte des exerciseurs elliptiques, je n'ai pas l'habitude d'utiliser ces muscles. Et vous savez quoi? J'étais totalement endolorie, le lendemain. J'avais tellement mal que je devais utiliser mes deux bras pour placer le levier à course courte de la boîte manuelle à 5 rapports en marche arrière. Non, je ne suis pas une mauviette, c'est seulement que je joue rarement au dodgeball.

Douleur ou pas, j'ai apprécié me balader à travers la ville dans la SS au ton jaune vif, avec son moteur à 4 cylindres suralimenté ECOTEC de 2 litres à double arbre à cames en tête et 16 soupapes. Il produit 205 chevaux à 5600 tours-minute, et 200 livres-pied de couple à 4400 tours-minute, ce qui est une puissance décente pour une voiture compacte. La sonorité de l'échappement à embout chromé n'est pas trop profonde, contrairement à l'agressive Dodge SRT-4, et ainsi elle n'attire pas trop l'attention. En fait, le système d'échappement de la Cobalt SS montre une belle sonorité quand on se trouve à l'intérieur, mais quand on l'entend dehors, il n'est guère subtil. Je crois que cet équilibre est quand même bon, parce que la voiture elle-même est tout, sauf cela.
Alexandra Straub
Alexandra Straub
Expert automobile
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