LE COUPÉ D'ABORD
Si on procède par ordre chronologique de dévoilement, c'est le coupé qui a fait sa première apparition au Salon de l'auto de Chicago en février 2000. Il s'agissait en fait d'un Dodge Stratus, ce qui a ajouté à la confusion générale. Quoi qu'il en soit, les deux modèles sont virtuellement identiques, mais seul le Chrysler Sebring sera commercialisé au pays de l'unifolié.
Ce modèle arbore la même calandre que celle utilisée sur la berline et le cabriolet, sauf que les phares antibrouillards sont intégrés dans la grille pour faire place à deux prises d'air dans le bouclier inférieur. Pour le reste, c'est sensiblement la même silhouette. Même les phares arrière sont similaires. Par contre, la présentation du tableau de bord est totalement différente.
Comme dans le modèle précédent, les stylistes y sont allés avec moins de retenue dans le dessin du tableau de bord. Des buses de ventilation circulaires avec volets mobiles, un îlot central vertical séparant la planche de bord en deux parties, l'instrumentation abritée par un surplomb plus important, bref, on a mis le paquet. De plus, les cadrans indicateurs sont de couleurs contrastantes. Et pour accentuer davantage le caractère plus « sportif » de ce modèle, le pommeau du levier de vitesses arbore des coutures semblables à celles d'une balle de baseball. Bien entendu, cette panoplie est complétée par un volant gainé de cuir dont le boudin est muni de deux renflements situés à 9 h et 3 h pour faciliter la prise en main. Malheureusement, ce volant est monté sur une très longue colonne de direction qui empiète beaucoup dans l'habitacle. Il risque même d'intimider les conducteurs de petite taille par sa proximité.
Si on procède par ordre chronologique de dévoilement, c'est le coupé qui a fait sa première apparition au Salon de l'auto de Chicago en février 2000. Il s'agissait en fait d'un Dodge Stratus, ce qui a ajouté à la confusion générale. Quoi qu'il en soit, les deux modèles sont virtuellement identiques, mais seul le Chrysler Sebring sera commercialisé au pays de l'unifolié.
Ce modèle arbore la même calandre que celle utilisée sur la berline et le cabriolet, sauf que les phares antibrouillards sont intégrés dans la grille pour faire place à deux prises d'air dans le bouclier inférieur. Pour le reste, c'est sensiblement la même silhouette. Même les phares arrière sont similaires. Par contre, la présentation du tableau de bord est totalement différente.
Comme dans le modèle précédent, les stylistes y sont allés avec moins de retenue dans le dessin du tableau de bord. Des buses de ventilation circulaires avec volets mobiles, un îlot central vertical séparant la planche de bord en deux parties, l'instrumentation abritée par un surplomb plus important, bref, on a mis le paquet. De plus, les cadrans indicateurs sont de couleurs contrastantes. Et pour accentuer davantage le caractère plus « sportif » de ce modèle, le pommeau du levier de vitesses arbore des coutures semblables à celles d'une balle de baseball. Bien entendu, cette panoplie est complétée par un volant gainé de cuir dont le boudin est muni de deux renflements situés à 9 h et 3 h pour faciliter la prise en main. Malheureusement, ce volant est monté sur une très longue colonne de direction qui empiète beaucoup dans l'habitacle. Il risque même d'intimider les conducteurs de petite taille par sa proximité.