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Dodge Journey SXT 2009 : essai routier

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Le meilleur taux d'intérêt
Justin Pritchard
Le Dodge Journey : l'ultime utilitaire familial abordable?
Le Journey propose deux boîtes à gants distinctes, dont celle du haut a la vocation de minifrigo. De plus, les sièges ont été enduits d’un apprêt antitache permanent en usine. Vous voilà protégé contre les dégâts accidentels de toute nature.

Ma version d’essai SXT avait également hérité d’une chaîne audio Infinity, d’un système de navigation intuitif et branché et de l’interface Bluetooth.

Des coffres pratiques intégrés au plancher arrière aident à garder le véhicule en ordre. Si un jeune passager devait y renverser quelque chose, ou réussir à faire monter un petit minet fraîchement trouvé, on peut facilement les retirer pour les nettoyer.

Enfin, un compartiment peu profond se cache sous l’espace de chargement à l’arrière. On peut plier le plancher plat pour créer une division pratique, et l’espace entier peut être couvert d’une toile rétractable afin de protéger nos objets du soleil ou des regards curieux.

Ajoutez à cela l’abondance de petits rangements à portée de la main et les grandes pochettes dans les portières, et le Journey devient un véritable organiseur sur roues qui pourrait faire pâlir votre garde-robe d’envie.

Technologique et prêt pour le voyage à 29 245 $
Ma version d’essai SXT avait également hérité de sièges contrastants, d’un système de navigation intuitif et branché, de l’interface Bluetooth, d’une chaîne audio Infinity, d’une caméra de recul et d’un éclairage intérieur à DEL électrisant.

Un disque dur intégré stocke photos et musique provenant d’un CD ou d’une clé USB, et mon bolide présentait pas moins de cinq prises de courant, dont une prise ménagère standard de 120 volts : divertissement et recharge de gadgets assurés pour tous les passagers.

Rendement mécanique moyen
Dans le cas de mon modèle d’essai, la puissance était fournie par un V6 de 3,5 litres envoyant 235 chevaux aux roues avant. De service était une boîte automatique à six vitesses avec mode manuel, et on offrait une transmission intégrale en option.

Je m’attendais à plus de drame en enfonçant la pédale; en effet, le Journey ne se déplace que de façon adéquate lorsqu’on le sollicite pleinement. Heureusement, le moteur fait son travail silencieusement et en douceur; il ne devient sérieusement bruyant qu’au-delà de 4 500 r/min.

Dans le cas de mon modèle d’essai, la puissance était fournie par un V6 de 3,5 litres envoyant 235 chevaux aux roues avant.
Justin Pritchard
Justin Pritchard
Expert automobile
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