Trois moteurs, deux transmissions
Au lieu de deux, c'est maintenant trois motorisations qui propulsent la nouvelle Sebring. Le moteur de base demeure un quatre cylindres (2,4L), mais c'est celui développé en partenariat avec Mitsubishi et Hyundai qui monte désormais à bord.
La mécanique produit 172 chevaux (165 lbs-pi), soit 22 chevaux de plus que précédemment. Elle est toujours jumelée à une boîte automatique quatre rapports - ce qui est bien dommage, diront les amoureux du progrès. Ceux-ci auraient évidemment souhaité un cinquième, voire un sixième rapport, question de se mettre à la page « technologique ».
Pour ces derniers, la Sebring s'offre, tout en haut de l'échelle des versions, avec un V6 de 3,5L (235 chevaux, 232 lbs-pi) couplé à une automatique six rapports, bien sûr dotée du mode séquentiel.
Entre les deux, se glisse une variante équipée du V6 de 2,7L (pour 189 chevaux), et c'est cette version Touring que nous avons testée.
Suspension mollasse
Le « petit » V6 continue de faire confiance à la boîte automatique quatre rapports. Sur le coup, on ne peut s'empêcher d'être déçu : quoi, Chrysler ne s'est pas mis à niveau? Mais sur les grands boulevards floridiens, où les dépassements sont rapides et nombreux, la boîte nous a bien servis. Sans hésitation, sans heurt. Comme quoi on aime parfois se plaindre le ventre plein...
Là où l'appétit se fait sentir, c'est au niveau de la suspension. Un mot pour la décrire? Mollasse. Les ajustements visent davantage le confort qu'une quelconque sportivité et on est quitte pour quelques rebonds malencontreux.
Dommage. Mais gageons un p'tit 2$ que la Dodge Avenger, que nous conduirons à la fin du mois, aura des intentions plus sportives - déjà que cette cousine Dodge, contrairement à la Sebring, s'offrira avec la traction intégrale...
Au lieu de deux, c'est maintenant trois motorisations qui propulsent la nouvelle Sebring. Le moteur de base demeure un quatre cylindres (2,4L), mais c'est celui développé en partenariat avec Mitsubishi et Hyundai qui monte désormais à bord.
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| Mon véhicule d'essai était équipé du moteur V6 de 2,7 litres. |
La mécanique produit 172 chevaux (165 lbs-pi), soit 22 chevaux de plus que précédemment. Elle est toujours jumelée à une boîte automatique quatre rapports - ce qui est bien dommage, diront les amoureux du progrès. Ceux-ci auraient évidemment souhaité un cinquième, voire un sixième rapport, question de se mettre à la page « technologique ».
Pour ces derniers, la Sebring s'offre, tout en haut de l'échelle des versions, avec un V6 de 3,5L (235 chevaux, 232 lbs-pi) couplé à une automatique six rapports, bien sûr dotée du mode séquentiel.
Entre les deux, se glisse une variante équipée du V6 de 2,7L (pour 189 chevaux), et c'est cette version Touring que nous avons testée.
Suspension mollasse
Le « petit » V6 continue de faire confiance à la boîte automatique quatre rapports. Sur le coup, on ne peut s'empêcher d'être déçu : quoi, Chrysler ne s'est pas mis à niveau? Mais sur les grands boulevards floridiens, où les dépassements sont rapides et nombreux, la boîte nous a bien servis. Sans hésitation, sans heurt. Comme quoi on aime parfois se plaindre le ventre plein...
Là où l'appétit se fait sentir, c'est au niveau de la suspension. Un mot pour la décrire? Mollasse. Les ajustements visent davantage le confort qu'une quelconque sportivité et on est quitte pour quelques rebonds malencontreux.
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| Le calibrage de la suspension est axé sur le confort. |
Dommage. Mais gageons un p'tit 2$ que la Dodge Avenger, que nous conduirons à la fin du mois, aura des intentions plus sportives - déjà que cette cousine Dodge, contrairement à la Sebring, s'offrira avec la traction intégrale...