Mon modèle d'essai, tel que mentionné, était une version Rubicon -- un modèle de performance encore plus habile pour affronter la nature. Cet ensemble ajoute des équipements de renfort pour venir en aide au conducteur quand il circule dans les secteurs les plus difficiles.
Le boîtier de transfert comprend un mode «4-LO» dont le ratio de 4:1 permet de ramper littéralement sur des montées ou des descentes abruptes. Ce mode comporte une fonction de blocage de l'essieu arrière (en appuyant sur un bouton) et de l'essieu avant (en appuyant une deuxième fois). Les essieux en question sont conçus par Dana, qui possède de nombreuses années d'expérience et d'expertise dans la conduite tout-terrain. Impossible de les casser. Quand les essieux sont verrouillés, rien, sauf peut-être une falaise, ne pourra vous arrêter. Encore là, si vous avez un treuil, tentez le coup, d'autant plus que le couple du moteur est monstrueux.
Par surcroît, la barre stabilisatrice avant se désengage en appuyant sur un bouton, ce qui permet aux deux roues de s'articuler complètement et indépendamment. L'angle d'approche est du même coup augmenté. Pratique quand on négocie un gros tronc d'arbre; on est assuré que les roues sont toujours en contact avec la surface.
Tout ceci est appuyé par un V6 de 3,8 litres, qui remplace le vieux moteur «Powertech» de 4,0 litres des années précédentes. Il se comporte très bien et sa programmation permet des embrayages naturels à 2000 tr/min en conduite urbaine. Notons que la consommation d'essence du Wrangler Unlimited atteint 16 L/100 km. Ce n'est pas le véhicule le plus économique, mais il y en a des moins performants qui consomment plus.
Mon modèle était jumelé à une transmission manuelle à six rapports qui employait une pédale d'embrayage étonnamment légère et un levier fluide. Ce dernier est agréable à manier; toutefois, si vous aimez la conduite extrême, la boîte automatique est peut-être plus appropriée. En effet, garder une main sur le levier pendant qu'on sort la tête à travers la vitre pour analyser le terrain est un peu ardu. Dans certaines situations, c'est même quasi-impossible de ne pas brûler l'embrayage.
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| Le Rubicon, dans son élément. |
Le boîtier de transfert comprend un mode «4-LO» dont le ratio de 4:1 permet de ramper littéralement sur des montées ou des descentes abruptes. Ce mode comporte une fonction de blocage de l'essieu arrière (en appuyant sur un bouton) et de l'essieu avant (en appuyant une deuxième fois). Les essieux en question sont conçus par Dana, qui possède de nombreuses années d'expérience et d'expertise dans la conduite tout-terrain. Impossible de les casser. Quand les essieux sont verrouillés, rien, sauf peut-être une falaise, ne pourra vous arrêter. Encore là, si vous avez un treuil, tentez le coup, d'autant plus que le couple du moteur est monstrueux.
Par surcroît, la barre stabilisatrice avant se désengage en appuyant sur un bouton, ce qui permet aux deux roues de s'articuler complètement et indépendamment. L'angle d'approche est du même coup augmenté. Pratique quand on négocie un gros tronc d'arbre; on est assuré que les roues sont toujours en contact avec la surface.
Tout ceci est appuyé par un V6 de 3,8 litres, qui remplace le vieux moteur «Powertech» de 4,0 litres des années précédentes. Il se comporte très bien et sa programmation permet des embrayages naturels à 2000 tr/min en conduite urbaine. Notons que la consommation d'essence du Wrangler Unlimited atteint 16 L/100 km. Ce n'est pas le véhicule le plus économique, mais il y en a des moins performants qui consomment plus.
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| La puissance provient d'un V6 de 3,8 litres assoiffé mais bien rodé. |
Mon modèle était jumelé à une transmission manuelle à six rapports qui employait une pédale d'embrayage étonnamment légère et un levier fluide. Ce dernier est agréable à manier; toutefois, si vous aimez la conduite extrême, la boîte automatique est peut-être plus appropriée. En effet, garder une main sur le levier pendant qu'on sort la tête à travers la vitre pour analyser le terrain est un peu ardu. Dans certaines situations, c'est même quasi-impossible de ne pas brûler l'embrayage.