Depuis le début de la saison 2010, des ingénieurs québécois oeuvrent au sein du fabuleux McLaren Technology Centre situé à Woking en Grande-Bretagne. Nous avons récemment rencontré les dirigeants de Processia et de McLaren afin d’en apprendre plus sur ce partenariat de haute technologie.
Il faut d’abord comprendre qu’une écurie de Formule 1 ne produit pas de biens commercialisables. Elle fabrique des monoplaces de F1 qui sont, en quelque sorte, des gros « Legos » faits de milliers de pièces interchangeables. Une F1 est un prototype vivant qui évolue jusqu’à la dernière course de la saison.
Alors, contrairement à un produit commercialisé, une F1 n’est jamais terminée, car sa configuration pour un circuit n’est pas adaptée au suivant. Les voitures sont donc constamment modifiées afin d’être adaptées à chaque tracé.
Processia Solutions est une firme spécialisée dans l'implantation de solutions de Product Lifecycle Management (PLM) ainsi qu'en développement logiciel agile afin de trouver des façons d’améliorer les processus de conception, de fabrication et d’exploitation d’une monoplace de F1.
Cette entreprise québécoise a été fondée en 2000. Son bureau-chef est situé à Laval et elle possède des filiales à Paris ainsi qu’en Grande-Bretagne. Avec son armée d’une soixantaine de consultants, Processia aide les entreprises manufacturières à intégrer de nouveaux systèmes qui permettent de concevoir et de fabriquer des composantes plus efficacement et en moins de temps.
Processia travaille en étroite collaboration avec Bombardier, Boeing, Volvo, Renault, Pratt & Whitney et maintenant l’écurie de F1 McLaren.
Une voiture de F1 se compose de 7000 pièces dont moins de 10% sont conservées de l’année précédente. La définition aérodynamique de la voiture commence environ 12 mois avant que la voiture ne prenne la piste.
Chaque année, McLaren fabrique plus de 10 000 composantes destinées à son modèle réduit de soufflerie, effectue 10 000 essais en soufflerie, produit environ 12 000 dessins techniques et fabrique environ 150 000 composantes individuelles!
Il faut d’abord comprendre qu’une écurie de Formule 1 ne produit pas de biens commercialisables. Elle fabrique des monoplaces de F1 qui sont, en quelque sorte, des gros « Legos » faits de milliers de pièces interchangeables. Une F1 est un prototype vivant qui évolue jusqu’à la dernière course de la saison.
Machine d'usinage numérique chez McLaren. Photo: McLaren Group |
Alors, contrairement à un produit commercialisé, une F1 n’est jamais terminée, car sa configuration pour un circuit n’est pas adaptée au suivant. Les voitures sont donc constamment modifiées afin d’être adaptées à chaque tracé.
Processia Solutions est une firme spécialisée dans l'implantation de solutions de Product Lifecycle Management (PLM) ainsi qu'en développement logiciel agile afin de trouver des façons d’améliorer les processus de conception, de fabrication et d’exploitation d’une monoplace de F1.
Cette entreprise québécoise a été fondée en 2000. Son bureau-chef est situé à Laval et elle possède des filiales à Paris ainsi qu’en Grande-Bretagne. Avec son armée d’une soixantaine de consultants, Processia aide les entreprises manufacturières à intégrer de nouveaux systèmes qui permettent de concevoir et de fabriquer des composantes plus efficacement et en moins de temps.
Processia travaille en étroite collaboration avec Bombardier, Boeing, Volvo, Renault, Pratt & Whitney et maintenant l’écurie de F1 McLaren.
Vincent Fraser de Processia avec Jonathan Neale de McLaren Photo: McLaren Group |
Une voiture de F1 se compose de 7000 pièces dont moins de 10% sont conservées de l’année précédente. La définition aérodynamique de la voiture commence environ 12 mois avant que la voiture ne prenne la piste.
Chaque année, McLaren fabrique plus de 10 000 composantes destinées à son modèle réduit de soufflerie, effectue 10 000 essais en soufflerie, produit environ 12 000 dessins techniques et fabrique environ 150 000 composantes individuelles!