Plusieurs publications spécialisées ont révélé que les nouvelles monoplaces turbo hybrides de Formule 1 pourraient bien posséder des museaux ressemblant au nez allongé des fourmiliers.
De quoi s’agit-il exactement ?
Notre collègue ingénieur, Craig Scarborough, a justement rédigé et illustré un excellent article à ce sujet pour le magazine britannique Autosport.
Pour des raisons de sécurité, les règlements techniques 2014 exigent que le haut du châssis soit désormais situé à une hauteur de 525mm et que l’extrémité du museau soit à 185mm du sol.
Toutefois, le règlement n’exige qu’une petite section transversale du bout du museau, et les écuries voudront minimiser sa largeur afin d’améliorer le flux d’air qui s’engouffre sous la voiture.
Comme Scarborough l’explique bien, les nez de fourmiliers proviendraient du design du museau de la F1 composé d’extension basse et longue, inclinée vers le bas, rattachée à une section plus solide du museau qui passe sans contraintes les tests d’écrasement de la FIA.
Heureusement, il ne semble pas que toutes les équipes aient choisi cette route. Par contre, plusieurs écuries majeures croient qu’il s’agit de la meilleure solution, celle qui procure une bonne performance aérodynamique.
Illustration de la partie avant de la voiture. (Illustration: Craig Scarborough pour Autosport) |
De quoi s’agit-il exactement ?
Notre collègue ingénieur, Craig Scarborough, a justement rédigé et illustré un excellent article à ce sujet pour le magazine britannique Autosport.
Pour des raisons de sécurité, les règlements techniques 2014 exigent que le haut du châssis soit désormais situé à une hauteur de 525mm et que l’extrémité du museau soit à 185mm du sol.
Toutefois, le règlement n’exige qu’une petite section transversale du bout du museau, et les écuries voudront minimiser sa largeur afin d’améliorer le flux d’air qui s’engouffre sous la voiture.
Comme Scarborough l’explique bien, les nez de fourmiliers proviendraient du design du museau de la F1 composé d’extension basse et longue, inclinée vers le bas, rattachée à une section plus solide du museau qui passe sans contraintes les tests d’écrasement de la FIA.
Heureusement, il ne semble pas que toutes les équipes aient choisi cette route. Par contre, plusieurs écuries majeures croient qu’il s’agit de la meilleure solution, celle qui procure une bonne performance aérodynamique.