D'après GMM
Gerhard Berger explique que la manoeuvre de Michael Schumacher en Hongrie est un morceau du passé.
L'Autrichien qui a piloté pour McLaren, Benetton et Ferrari dans les années 80 et 90, indique que la tactique déployée par Michael Schumacher pour contenir Rubens Barrichello était banale il y a plusieurs années.
"Nous pilotions plus durement et plus brutalement," déclare l'ancien coéquipier d'Ayrton Senna.
Dans le journal autrichien Tiroler Tageszeitung, Gerhard Berger ajoute : "Trois fois par tour, nous nous poussions contre les murs sans se plaindre. Cela faisait partie de la course. Personne n'aurait relevé une action comme celle de Michael envers Barrichello."
Gerhard Berger doute à présent que Michael Schumacher, revenu piloter pour Mercedes, ajoute un huitième titre de champion du monde à son palmarès.
"Avant la saison, j'aurais répondu à cette question avec un oui retentissant. Aujourd'hui je dis non. Son coéquipier Nico Rosberg est clairement devant. Michael compte sur la jeunesse de Nico pour sortir quelques trucs de son expérience, mais ça ne marche pas. Son coéquipier est plus rapide, et il doit apprendre à faire avec," indique Gerhard Berger.
Gerhard Berger explique que la manoeuvre de Michael Schumacher en Hongrie est un morceau du passé.
L'Autrichien qui a piloté pour McLaren, Benetton et Ferrari dans les années 80 et 90, indique que la tactique déployée par Michael Schumacher pour contenir Rubens Barrichello était banale il y a plusieurs années.
"Nous pilotions plus durement et plus brutalement," déclare l'ancien coéquipier d'Ayrton Senna.
Dans le journal autrichien Tiroler Tageszeitung, Gerhard Berger ajoute : "Trois fois par tour, nous nous poussions contre les murs sans se plaindre. Cela faisait partie de la course. Personne n'aurait relevé une action comme celle de Michael envers Barrichello."
Gerhard Berger doute à présent que Michael Schumacher, revenu piloter pour Mercedes, ajoute un huitième titre de champion du monde à son palmarès.
"Avant la saison, j'aurais répondu à cette question avec un oui retentissant. Aujourd'hui je dis non. Son coéquipier Nico Rosberg est clairement devant. Michael compte sur la jeunesse de Nico pour sortir quelques trucs de son expérience, mais ça ne marche pas. Son coéquipier est plus rapide, et il doit apprendre à faire avec," indique Gerhard Berger.