Elle n’est pas très manœuvrable lorsque vient le temps de sortir d’un espace de stationnement non plus : les petites glaces latérales et le coffre élevé gênent la visibilité quelque peu. Malgré une caméra de recul incluse dans la SHO, le problème ne se règle pas complètement.
L’attention au détail qui règne chez Ford depuis quelque temps est spécialement évidente dans la Taurus. La qualité d’assemblage et l’alignement des composants de l’habitacle s’avèrent très bons, alors que la disposition des boutons sur le bloc d’instruments central a l’air compliqué, mais comporte une certaine logique à laquelle on s’habitue après quelques jours.
La SHO inclut également une superbe chaîne audio Sony à 12 haut-parleurs qui, évidemment, comprend le système multimédia SYNC. Ce dernier procure une connectivité Bluetooth très facile à utiliser ainsi qu’un logiciel de reconnaissance vocale très puissant.
En dépit des proportions généreuses de la voiture à l’extérieur, elle n’est pas aussi grosse à l’intérieur. Avec une large console centrale et un tableau de bord très enveloppant, tout se trouve à portée de main, mais la berline Fusion de taille intermédiaire semble plus spacieuse. L’espace pour les pieds à l’avant n’est pas très grand non plus.
L’équipement de sécurité à bord de la Taurus SHO inclut le régulateur de vitesse adaptatif, optionnel, qui est toujours un bon outil de travail, ainsi que des systèmes d’avertissement de collision et d’avertissement d’angles morts. Si vous aimez une voiture qui vous épargne le trouble de demeurer alerte derrière le volant, la Taurus vous comblera.
L’espace du coffre figure parmi les plus volumineux que j’ai jamais vus. Avec une capacité de 569 litres, la Taurus peut avaler une quantité presque infinie de sacs et de valises.
Avec un PDSF de 49 699 $, qui inclut le régulateur de vitesse adaptatif à 1 500 $, la Taurus SHO est loin d’être une aubaine. Elle concurrence les Nissan Maxima à 290 chevaux et Dodge Charger R/T à 368 chevaux, qui sont toutes les deux moins dispendieuses. Mais pour le prix de la SHO, je serais tenté de débourser quelques milliers de dollars de plus pour la Lincoln MKS avec le moteur EcoBoost, plus luxueuse et, opinion personnelle ici, plus élégante.
La SHO est peut-être moins flamboyante qu’une Charger R/T, par exemple, mais ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose : à part les jantes exclusives, l’aileron arrière et l’échappement double, la version « Super High Output » ressemble pas mal aux Taurus plébéiennes, signifiant une discrétion assurée sur la route lorsqu’on veut rouler un peu plus vite.
Et malgré le prix, elle reste la meilleure Taurus à ce jour. Mais si je devais en choisir une pour vous, je laisserais tomber la SHO pour plutôt opter pour une version SEL tout équipée à 263 chevaux, sauvant 15 000 $ du même coup.
L’attention au détail qui règne chez Ford depuis quelque temps est spécialement évidente dans la Taurus. La qualité d’assemblage et l’alignement des composants de l’habitacle s’avèrent très bons, alors que la disposition des boutons sur le bloc d’instruments central a l’air compliqué, mais comporte une certaine logique à laquelle on s’habitue après quelques jours.
La SHO inclut également une superbe chaîne audio Sony à 12 haut-parleurs qui, évidemment, comprend le système multimédia SYNC. Ce dernier procure une connectivité Bluetooth très facile à utiliser ainsi qu’un logiciel de reconnaissance vocale très puissant.
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| Avec une large console centrale et un tableau de bord très enveloppant, tout se trouve à portée de main, mais la berline Fusion de taille intermédiaire semble plus spacieuse. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
En dépit des proportions généreuses de la voiture à l’extérieur, elle n’est pas aussi grosse à l’intérieur. Avec une large console centrale et un tableau de bord très enveloppant, tout se trouve à portée de main, mais la berline Fusion de taille intermédiaire semble plus spacieuse. L’espace pour les pieds à l’avant n’est pas très grand non plus.
L’équipement de sécurité à bord de la Taurus SHO inclut le régulateur de vitesse adaptatif, optionnel, qui est toujours un bon outil de travail, ainsi que des systèmes d’avertissement de collision et d’avertissement d’angles morts. Si vous aimez une voiture qui vous épargne le trouble de demeurer alerte derrière le volant, la Taurus vous comblera.
L’espace du coffre figure parmi les plus volumineux que j’ai jamais vus. Avec une capacité de 569 litres, la Taurus peut avaler une quantité presque infinie de sacs et de valises.
Avec un PDSF de 49 699 $, qui inclut le régulateur de vitesse adaptatif à 1 500 $, la Taurus SHO est loin d’être une aubaine. Elle concurrence les Nissan Maxima à 290 chevaux et Dodge Charger R/T à 368 chevaux, qui sont toutes les deux moins dispendieuses. Mais pour le prix de la SHO, je serais tenté de débourser quelques milliers de dollars de plus pour la Lincoln MKS avec le moteur EcoBoost, plus luxueuse et, opinion personnelle ici, plus élégante.
La SHO est peut-être moins flamboyante qu’une Charger R/T, par exemple, mais ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose : à part les jantes exclusives, l’aileron arrière et l’échappement double, la version « Super High Output » ressemble pas mal aux Taurus plébéiennes, signifiant une discrétion assurée sur la route lorsqu’on veut rouler un peu plus vite.
Et malgré le prix, elle reste la meilleure Taurus à ce jour. Mais si je devais en choisir une pour vous, je laisserais tomber la SHO pour plutôt opter pour une version SEL tout équipée à 263 chevaux, sauvant 15 000 $ du même coup.
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