Lors de l'épreuve d'endurance, chaque pilote doit compléter 10 tours d'un circuit créé expressément pour cette épreuve. C'est Lodovic qui a l'honneur de débuter l'endurance. Tout se déroule bien, il n'est pas dans les plus rapides, mais ça importe peu, on doit à tout prix terminer l'épreuve. Au neuvième tour, on signale au pilote de rentrer au puits. Que se passe-t-il ?
Je me pointe à côté de la voiture, pour voir Ludovic qui en sort. On lui ordonne ensuite de retourner dans la monoplace, car il reste encore un tour avant le changement de pilote. Un responsable lui donne un avertissement pour ne pas avoir respecté les ordres d'un officiel. Selon ses dires, on lui aurait présenté un drapeau bleu lui signifiant de céder le passage à la voiture qui le suivait, consigne qu'il n'aurait pas respecté. De son côté, Ludovic est convaincu que personne ne lui a présenté le drapeau, raison pour laquelle il ne s'est pas rangé.
Personne ne saura qui a raison, mais une chose est certaine, on vient de perdre quatre précieuses minutes au chronomètre. Il s'agit d'un retard béant qui risque de nous exclure complètement de la course. Ludovic retourne toutefois, histoire de compléter son dernier tour.
C'est maintenant au tour de Kevin de prendre place dans la voiture. Tous sont hyper stressés, la monoplace doit tenir le coup, sinon la compétition est foutue. La tension est palpable, plus qu'un seul tour. On voit la formule dans le dernier droit, devant lui, on agite le drapeau à damier. C'est fini, l'auto a terminé toutes les épreuves. Des 42 voitures ayant complété l'endurance, l'ÉTS peut se vanter d'avoir la plus légère.
Nous pouvons maintenant retourner à l'hôtel avec une certaine fierté. Mais la compétition ne s'arrête pas là : il faut être prêt à 7 heures demain matin, pour la finale de design. Parmi les quatre équipes finalistes, aucune ne provient des États-Unis, et une est écartée de la course, étant donné qu'elle n'a pas complété l'épreuve d'endurance. Qui remportera ? Les Pays-Bas, l'Autriche, la Finlande ou le Canada ?
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| Changement de pilote lors de l'épreuve d'endurance |
Je me pointe à côté de la voiture, pour voir Ludovic qui en sort. On lui ordonne ensuite de retourner dans la monoplace, car il reste encore un tour avant le changement de pilote. Un responsable lui donne un avertissement pour ne pas avoir respecté les ordres d'un officiel. Selon ses dires, on lui aurait présenté un drapeau bleu lui signifiant de céder le passage à la voiture qui le suivait, consigne qu'il n'aurait pas respecté. De son côté, Ludovic est convaincu que personne ne lui a présenté le drapeau, raison pour laquelle il ne s'est pas rangé.
Personne ne saura qui a raison, mais une chose est certaine, on vient de perdre quatre précieuses minutes au chronomètre. Il s'agit d'un retard béant qui risque de nous exclure complètement de la course. Ludovic retourne toutefois, histoire de compléter son dernier tour.
C'est maintenant au tour de Kevin de prendre place dans la voiture. Tous sont hyper stressés, la monoplace doit tenir le coup, sinon la compétition est foutue. La tension est palpable, plus qu'un seul tour. On voit la formule dans le dernier droit, devant lui, on agite le drapeau à damier. C'est fini, l'auto a terminé toutes les épreuves. Des 42 voitures ayant complété l'endurance, l'ÉTS peut se vanter d'avoir la plus légère.
Nous pouvons maintenant retourner à l'hôtel avec une certaine fierté. Mais la compétition ne s'arrête pas là : il faut être prêt à 7 heures demain matin, pour la finale de design. Parmi les quatre équipes finalistes, aucune ne provient des États-Unis, et une est écartée de la course, étant donné qu'elle n'a pas complété l'épreuve d'endurance. Qui remportera ? Les Pays-Bas, l'Autriche, la Finlande ou le Canada ?
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| Un juge évalue la voiture de l'ETS lors de la finale de design |