La ligne droite se termine, enchaînement gauche droite plutôt rapide… Le moteur rugit, mon freinage manque juste un peu de puissance et me voilà par-dessus les vibreurs. La voiture bondit, mes adversaires me font l’extérieur, et me revoilà parti vers le fil d’arrivée. Résultat : 3e position et un peu de sueur au front.
Qu’à cela ne tienne. Une bonne gorgée d’eau, j’appuie sur l’accélérateur et me voilà reparti… non sans avoir grignoté quelques croustilles au passage. Croustilles? Oui, vous avez bien lu, puisque ma course ratée se faisait au volant d’une Audi R8 V10, sur la piste de Road America… mais sur mon écran de télé, en jouant au tout nouveau Forza Motorsport 3 lancé dans quelques semaines.
Presque vrai
Fan de jeu de course, je l’avoue, j’attendais avec une certaine impatience l’arrivée de cette nouvelle édition de la franchise Forza. Les deux premières avaient progressé de façon phénoménale, et le 3e chapitre promettait d’être aussi spectaculaire. Mission réussie, doit-on dire.
Graphiquement, rien ne manque ni sur les circuits, ni sur les voitures. Les détails abondent, la précision des courbes et des chaussées est sans reproche. On peut certes se demander pourquoi on a négligé la texture de l’intérieur des habitacles, mais il s’agit d’un léger souci. Techniquement, le nombre de formes polygonales utilisées dans la conception a été fortement rehaussé, favorisant une plus grande précision des détails.
Et extérieurement, Microsoft nous permet même de personnaliser nos voitures à l’extrême, non seulement en y ajoutant des décalques, mais en créant nos propres décalques que l’on peut ensuite vendre via Xbox live.
Au total, plus de 400 voitures et une centaine de circuits sont ainsi définis dans ce nouveau chapitre.
Pilote de course
La beauté de Forza 3 cependant, c’est la qualité de la compétition qu’il propose. Que vous soyez un réel débutant, ou un pilote expert, il permet d’aller découvrir vos limites, en vous accompagnant tout en permettant des sensations jusqu’ici presque inégalées sur un jeu de console.
En version débutante par exemple, un mode totalement automatique vous dictera la trajectoire à suivre (comme dans les anciennes versions), et freinera même pour vous dans les virages. L’expert lui, pourra au contraire procéder à tous les ajustements nécessaires, acheter des composantes mécaniques de plus en plus performantes, et trouver les détails qui feront réagir la voiture différemment.
Qu’à cela ne tienne. Une bonne gorgée d’eau, j’appuie sur l’accélérateur et me voilà reparti… non sans avoir grignoté quelques croustilles au passage. Croustilles? Oui, vous avez bien lu, puisque ma course ratée se faisait au volant d’une Audi R8 V10, sur la piste de Road America… mais sur mon écran de télé, en jouant au tout nouveau Forza Motorsport 3 lancé dans quelques semaines.
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Presque vrai
Fan de jeu de course, je l’avoue, j’attendais avec une certaine impatience l’arrivée de cette nouvelle édition de la franchise Forza. Les deux premières avaient progressé de façon phénoménale, et le 3e chapitre promettait d’être aussi spectaculaire. Mission réussie, doit-on dire.
Graphiquement, rien ne manque ni sur les circuits, ni sur les voitures. Les détails abondent, la précision des courbes et des chaussées est sans reproche. On peut certes se demander pourquoi on a négligé la texture de l’intérieur des habitacles, mais il s’agit d’un léger souci. Techniquement, le nombre de formes polygonales utilisées dans la conception a été fortement rehaussé, favorisant une plus grande précision des détails.
Et extérieurement, Microsoft nous permet même de personnaliser nos voitures à l’extrême, non seulement en y ajoutant des décalques, mais en créant nos propres décalques que l’on peut ensuite vendre via Xbox live.
Au total, plus de 400 voitures et une centaine de circuits sont ainsi définis dans ce nouveau chapitre.
Pilote de course
La beauté de Forza 3 cependant, c’est la qualité de la compétition qu’il propose. Que vous soyez un réel débutant, ou un pilote expert, il permet d’aller découvrir vos limites, en vous accompagnant tout en permettant des sensations jusqu’ici presque inégalées sur un jeu de console.
En version débutante par exemple, un mode totalement automatique vous dictera la trajectoire à suivre (comme dans les anciennes versions), et freinera même pour vous dans les virages. L’expert lui, pourra au contraire procéder à tous les ajustements nécessaires, acheter des composantes mécaniques de plus en plus performantes, et trouver les détails qui feront réagir la voiture différemment.
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