Et du nerf en plus
La silhouette est agréable, mais la mécanique l'est encore plus, ce qui ne gâche rien pour le grand multisegment. Sous le capot, un moteur V6 VVT de 3,6 litres qui développe avec une aisance presque trop grande ses 275 chevaux. Il faut dire que notre modèle d'essai, une version SLT à traction avant, aurait difficilement pu en supporter davantage, et n'aurait de toute façon su qu'en faire.
En revanche, en mode intégral (car l'Acadia est aussi disponible avec ce type de rouage), la puissance du moteur devrait faciliter l'usage du véhicule dans toutes les circonstances, et sans trop d'hésitation. Mieux encore, son couple et sa puissance rendent facile le remorquage de charge de plus de 2000 kilos. Pour ce faire, on dispose même d'un bouton sur la transmission qui modifie le comportement de la boite pour mieux l'adapter aux conditions de traction.
Polyvalence et agrément
Ainsi équipé, le GMC Acadia se comporte sur la route presque comme une voiture. On doit bien entendu s'adapter à la taille et au fait que les coins avant sont hors de vue, mais en conduite, rien ne se ressent. Même en virage plus accentué, on ne ressent pas le roulis pourtant inéluctable avec ce genre de véhicule à taille haute.
Dans l'habitacle, les passagers ont de l'espace à revendre, même ceux de la troisième banquette. Évidemment, pas question d'y entasser trois passagers adultes, mais deux pourront s'y installer sans trop rechigner, et sans se sentir victimes d'un coup monté. Notons qu'avec certaines configurations, l'Acadia peut accueillir jusqu'à huit passagers.
Aspect agréable, les sièges avant et de deuxième rangée sont presque identiques et fournissent support et confort à parts égales, presque une trouvaille dans ce type de véhicule.
Enfin, un dernier détail digne de mention et même de félicitations, le tableau de bord de l'Acadia est sans reproche. Certains doigts plus grassouillets comme les miens ont bien un peu de difficulté à adapter certaines commandes, notamment celles de la ventilation, mais en général le design est épuré, à l'image de la carrosserie. Même la finition est sans reproche.
Le véritable défaut de l'Acadia repose davantage dans sa fourchette de prix. Non pas qu'il soit dispendieux au-delà de la moyenne, mais pour obtenir l'ensemble des éléments de sécurité de type contrôle de la stabilité ou traction asservie, il faut accepter de payer un supplément de quelques milliers de dollars pour le groupe d'options.
Mais il s'agit là d'un bien petit sacrifice pour un véhicule qui possède autant de qualités.
Design dévastateur
Finition sans reproche
Groupe motopropulseur haut de gamme
Bruits éoliens des rétroviseurs
Éléments de sécurité en option
photo:Éric Harvey
La silhouette est agréable, mais la mécanique l'est encore plus, ce qui ne gâche rien pour le grand multisegment. Sous le capot, un moteur V6 VVT de 3,6 litres qui développe avec une aisance presque trop grande ses 275 chevaux. Il faut dire que notre modèle d'essai, une version SLT à traction avant, aurait difficilement pu en supporter davantage, et n'aurait de toute façon su qu'en faire.
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| Sa ligne est tout-à-fait réussie. |
En revanche, en mode intégral (car l'Acadia est aussi disponible avec ce type de rouage), la puissance du moteur devrait faciliter l'usage du véhicule dans toutes les circonstances, et sans trop d'hésitation. Mieux encore, son couple et sa puissance rendent facile le remorquage de charge de plus de 2000 kilos. Pour ce faire, on dispose même d'un bouton sur la transmission qui modifie le comportement de la boite pour mieux l'adapter aux conditions de traction.
Polyvalence et agrément
Ainsi équipé, le GMC Acadia se comporte sur la route presque comme une voiture. On doit bien entendu s'adapter à la taille et au fait que les coins avant sont hors de vue, mais en conduite, rien ne se ressent. Même en virage plus accentué, on ne ressent pas le roulis pourtant inéluctable avec ce genre de véhicule à taille haute.
Dans l'habitacle, les passagers ont de l'espace à revendre, même ceux de la troisième banquette. Évidemment, pas question d'y entasser trois passagers adultes, mais deux pourront s'y installer sans trop rechigner, et sans se sentir victimes d'un coup monté. Notons qu'avec certaines configurations, l'Acadia peut accueillir jusqu'à huit passagers.
Aspect agréable, les sièges avant et de deuxième rangée sont presque identiques et fournissent support et confort à parts égales, presque une trouvaille dans ce type de véhicule.
Enfin, un dernier détail digne de mention et même de félicitations, le tableau de bord de l'Acadia est sans reproche. Certains doigts plus grassouillets comme les miens ont bien un peu de difficulté à adapter certaines commandes, notamment celles de la ventilation, mais en général le design est épuré, à l'image de la carrosserie. Même la finition est sans reproche.
Le véritable défaut de l'Acadia repose davantage dans sa fourchette de prix. Non pas qu'il soit dispendieux au-delà de la moyenne, mais pour obtenir l'ensemble des éléments de sécurité de type contrôle de la stabilité ou traction asservie, il faut accepter de payer un supplément de quelques milliers de dollars pour le groupe d'options.
Mais il s'agit là d'un bien petit sacrifice pour un véhicule qui possède autant de qualités.
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Finition sans reproche
Groupe motopropulseur haut de gamme
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Bruits éoliens des rétroviseurs
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Éléments de sécurité en option
photo:Éric Harvey
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