Mécanique
Si l'Odyssey commence à prendre de l'âge du côté esthétique, son groupe motopropulseur n'a rien à envier à quiconque voudrait s'y comparer. Son V6 de 3.5 litres à double arbre à cames en tête de 240 chevaux offre des accélérations remarquables et des reprises dignes d'une voiture sport. Le 0-100 km/h s'effectue en moins de 9 secondes et les reprises de 80 à 120 km/h en 6.9 secondes. Ce moteur qui prend aussi place sous le capot de l'utilitaire Pilot du même constructeur est accouplé à une boîte automatique à 5 rapports dont le rendement est exemplaire. Le passage des vitesses brille par sa douceur et la rétrogradation se fait rapidement en ne se faisant que très légèrement ressentir. Lors d'une forte accélération, les roues ont facilement tendance à patiner et un léger effet de couple se fait sentir. Cependant, le système antipatinage offert de série viendra corriger le tir. Contrairement à certaines autres minifourgonnettes comme la Toyota Sienna et la Chevrolet Venture, l'Odyssey n'est pas offerte avec la transmission intégrale. L'avenir nous dira si Honda compte ajouter cette caractéristique à la prochaine Odyssey qui devrait voir le jour dès l'an prochain.
Sur la route
Véritable salon roulant, l'Odyssey étonne par sa douceur de roulement, son faible niveau sonore et par le grand confort de sa suspension. Cependant, n'allez pas croire qu'elle offre ces éléments au détriment d'une conduite hasardeuse et d'une tenue de route aléatoire, puisque c'est tout le contraire. L'Odyssey, malgré son poids et son gabarit imposant, s'avère être de loin la plus agile des minifourgonnettes qui m'ait été donné de conduire. Peu sensible aux vents latéraux, elle offre une excellente tenue de cap et garde son aplomb sur tous types de pavés. La suspension bien calibrée allie à la fois confort et fermeté et ne possède pas un débattement excessif commun aux minifourgonnettes qui risque de donner la nausée à vos passagers. La direction à crémaillère à assistance variable est, elle aussi, parfaitement calibrée pour donner au conducteur une bonne sensation de la route ainsi qu'une grande précision. De plus, son diamètre de braquage relativement court facilite les manoeuvres de stationnement et les virages en U parfois serrés. Le freinage n'est pas ce qui a de plus impressionnant, mais demeure dans les normes pour ce type de véhicule en offrant une bonne stabilité de caisse en arrêt d'urgence et une endurance dans la moyenne. Pour le reste, l'Odyssey possède une grande surface vitrée qui facilite la visibilité de tous les côtés, mais pourrait être munie d'un système d'essuie-glaces mieux adapté ou au mieux, à capteur de pluie, ce qui éviterait au conducteur de passer son temps à les ajuster.
Si l'Odyssey commence à prendre de l'âge du côté esthétique, son groupe motopropulseur n'a rien à envier à quiconque voudrait s'y comparer. Son V6 de 3.5 litres à double arbre à cames en tête de 240 chevaux offre des accélérations remarquables et des reprises dignes d'une voiture sport. Le 0-100 km/h s'effectue en moins de 9 secondes et les reprises de 80 à 120 km/h en 6.9 secondes. Ce moteur qui prend aussi place sous le capot de l'utilitaire Pilot du même constructeur est accouplé à une boîte automatique à 5 rapports dont le rendement est exemplaire. Le passage des vitesses brille par sa douceur et la rétrogradation se fait rapidement en ne se faisant que très légèrement ressentir. Lors d'une forte accélération, les roues ont facilement tendance à patiner et un léger effet de couple se fait sentir. Cependant, le système antipatinage offert de série viendra corriger le tir. Contrairement à certaines autres minifourgonnettes comme la Toyota Sienna et la Chevrolet Venture, l'Odyssey n'est pas offerte avec la transmission intégrale. L'avenir nous dira si Honda compte ajouter cette caractéristique à la prochaine Odyssey qui devrait voir le jour dès l'an prochain.
Sur la route
Véritable salon roulant, l'Odyssey étonne par sa douceur de roulement, son faible niveau sonore et par le grand confort de sa suspension. Cependant, n'allez pas croire qu'elle offre ces éléments au détriment d'une conduite hasardeuse et d'une tenue de route aléatoire, puisque c'est tout le contraire. L'Odyssey, malgré son poids et son gabarit imposant, s'avère être de loin la plus agile des minifourgonnettes qui m'ait été donné de conduire. Peu sensible aux vents latéraux, elle offre une excellente tenue de cap et garde son aplomb sur tous types de pavés. La suspension bien calibrée allie à la fois confort et fermeté et ne possède pas un débattement excessif commun aux minifourgonnettes qui risque de donner la nausée à vos passagers. La direction à crémaillère à assistance variable est, elle aussi, parfaitement calibrée pour donner au conducteur une bonne sensation de la route ainsi qu'une grande précision. De plus, son diamètre de braquage relativement court facilite les manoeuvres de stationnement et les virages en U parfois serrés. Le freinage n'est pas ce qui a de plus impressionnant, mais demeure dans les normes pour ce type de véhicule en offrant une bonne stabilité de caisse en arrêt d'urgence et une endurance dans la moyenne. Pour le reste, l'Odyssey possède une grande surface vitrée qui facilite la visibilité de tous les côtés, mais pourrait être munie d'un système d'essuie-glaces mieux adapté ou au mieux, à capteur de pluie, ce qui éviterait au conducteur de passer son temps à les ajuster.