D’accord, il y a tout de même assez de place pour les sacs à dos et les sacs de couchage de vos scouts. Les « vrais » irritants sont d’autre nature.
Ainsi, le seuil du plancher au niveau du hayon (qui est désormais doté d’une lunette levable) est relativement haut : il se retrouve à près de 80 centimètres du sol. De plus, la surface de chargement est légèrement inclinée vers l’arrière, au point où un objet circulaire roulera sur lui-même même si le véhicule est à l’arrêt.
En outre, charger des madriers de 8 pieds impose de condamner les sept places pour passagers, afin de les charger de biais dans l’habitacle. Enfin, pour éviter d’abîmer le tapis, qui recouvre la surface de chargement, mieux vaut le couvrir d’une toile lorsqu’on transporte des bagages.
Pas champion du remorquage
La capacité de remorquage du Pilot 4RM atteint 2045 kilos, ce qui est mieux que les 1590 kilos du modèle 2RM. Par rapport à la concurrence, notre Pilot Touring se classait donc au milieu du peloton, en deçà de l’Acadia (3282 kg) et du Highlander (2268 kg). On se réjouit que cet utilitaire soit livré avec un attelage de remorque monté en usine, quelle que soit la version.
Sous le capot loge un V6 de 3,5 litres, une évolution moins énergivore du moteur utilisé en 2008. Un moteur muni d’un système de gestion de la cylindrée. Lorsqu’on met le véhicule en mouvement, qu’on accélère prestement ou qu’on gravit une pente, tous les cylindres sont de la partie. Par contre, dès qu’on circule à vitesse stable, en ville ou sur l’autoroute, ce système désactive deux ou trois cylindres.
Les lettres vertes « ECO » apparaissent alors au-dessus du compte-tours pour rappeler que le moteur utilise une cylindrée minimum pour optimiser sa consommation. On devrait en tirer une réduction de consommation de l’ordre de 7%, si l’on se fie aux chiffres du constructeur. Ce qui n’est pas négligeable dans le cas d’un véhicule qui, au terme de notre essai, a utilisé un peu plus de 14 litres de carburant aux 100 kilomètres.
Pour notre Pilot Touring, la puissance parvenait aux roues motrices par le biais d’une boîte de vitesses automatique à 5 rapports et la transmission intégrale VTM-4. Notez que le sélecteur de vitesses est désormais monté sur la planche de bord. Cela ajoute au style résolument moderne du nouveau tableau de bord. Un style harmonisé à la silhouette du véhicule et, là aussi, qu’on aime ou qu’on déteste!
photo:Luc Gagné
Ainsi, le seuil du plancher au niveau du hayon (qui est désormais doté d’une lunette levable) est relativement haut : il se retrouve à près de 80 centimètres du sol. De plus, la surface de chargement est légèrement inclinée vers l’arrière, au point où un objet circulaire roulera sur lui-même même si le véhicule est à l’arrêt.
En outre, charger des madriers de 8 pieds impose de condamner les sept places pour passagers, afin de les charger de biais dans l’habitacle. Enfin, pour éviter d’abîmer le tapis, qui recouvre la surface de chargement, mieux vaut le couvrir d’une toile lorsqu’on transporte des bagages.
Pas champion du remorquage
La capacité de remorquage du Pilot 4RM atteint 2045 kilos, ce qui est mieux que les 1590 kilos du modèle 2RM. Par rapport à la concurrence, notre Pilot Touring se classait donc au milieu du peloton, en deçà de l’Acadia (3282 kg) et du Highlander (2268 kg). On se réjouit que cet utilitaire soit livré avec un attelage de remorque monté en usine, quelle que soit la version.
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| Avec sa transmission intégrale VTM-4, le Pilot a certaines prétentions de véhicules hors route. |
Sous le capot loge un V6 de 3,5 litres, une évolution moins énergivore du moteur utilisé en 2008. Un moteur muni d’un système de gestion de la cylindrée. Lorsqu’on met le véhicule en mouvement, qu’on accélère prestement ou qu’on gravit une pente, tous les cylindres sont de la partie. Par contre, dès qu’on circule à vitesse stable, en ville ou sur l’autoroute, ce système désactive deux ou trois cylindres.
Les lettres vertes « ECO » apparaissent alors au-dessus du compte-tours pour rappeler que le moteur utilise une cylindrée minimum pour optimiser sa consommation. On devrait en tirer une réduction de consommation de l’ordre de 7%, si l’on se fie aux chiffres du constructeur. Ce qui n’est pas négligeable dans le cas d’un véhicule qui, au terme de notre essai, a utilisé un peu plus de 14 litres de carburant aux 100 kilomètres.
Pour notre Pilot Touring, la puissance parvenait aux roues motrices par le biais d’une boîte de vitesses automatique à 5 rapports et la transmission intégrale VTM-4. Notez que le sélecteur de vitesses est désormais monté sur la planche de bord. Cela ajoute au style résolument moderne du nouveau tableau de bord. Un style harmonisé à la silhouette du véhicule et, là aussi, qu’on aime ou qu’on déteste!
photo:Luc Gagné
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