Plus de luxe pour moins d’argent
La pierre angulaire de ce statut de «premier ordre» prend la forme d’un excellent rapport qualité/prix, comme je l’ai mentionné plus tôt. D’ailleurs, les consommateurs canadiens placent le géant coréen #1 à ce chapitre dans tous les segments de marché où il évolue. Avec un prix de détail suggéré par le fabricant (PDSF) qui devrait se situer dans les 60 000 $, l’opulente Equus rivalisera nez à nez avec des concurrentes que Hyundai n’avait jamais affrontées jusqu’à maintenant.
Pour le développement de sa nouvelle grande berline, Hyundai s’est référé à la Mercedes-Benz S550. On veut ainsi s’attaquer directement aux Lexus LS460 et BMW 750i de ce monde. La liste d’équipements confirme cette prétention; trop longue pour énumérer, elle se montre digne d’une voiture qui coûte des dizaines de milliers de dollars de plus. La seule véritable option est l’ensemble Ultime, qui ajoute à l’arrière un siège inclinable avec fonction de massage shiatsu, un repose-pieds de même que toutes les commandes nécessaires au contrôle de la radio et de la climatisation.
Le prix de l’Equus permettra aux dirigeants de compagnies de faire preuve de retenue sans sacrifier le moindre privilège. Qu’ils conduisent ou se laissent conduire, ces chanceux auront droit à un comportement routier de première classe.
Puissante et performante
Hyundai a permis aux journalistes invités de s’en donner à cœur joie (lire : aller à fond de train) sur les routes sinueuses au creux des canyons de la côte californienne. L’aventure a été marquée par différentes conditions de conduite mettant l’Equus à rude épreuve, comme lorsqu’un journaliste chevronné décide de tester une Mercedes ou une BMW. Laissez-moi vous dire que cette Coréenne m’a impressionné.
Tout d’abord, son fastueux et spacieux habitacle est superbement assemblé à l’aide de matériaux haut de gamme, incluant des garnitures en bois véritable. La voiture se fait un réel plaisir de dorloter et de chouchouter ses occupants tout en les transportant dans un silence quasi absolu.
Le V8 Tau de 4,6 litres qui se cache sous le capot libère une cavalerie remarquablement raffinée formée de 385 chevaux. À cela s’ajoute un couple de 333 livres-pied. La boîte automatique ZF à six rapports qui contrôle cette puissance fait du beau travail, mais il faut rappeler que bon nombre de compétitrices offrent à présent des transmissions à sept et même à huit rapports. En outre, celle de l’Equus ne comporte pas de palettes de commande manuelle au volant — plus ou moins une lacune selon moi.
La pierre angulaire de ce statut de «premier ordre» prend la forme d’un excellent rapport qualité/prix, comme je l’ai mentionné plus tôt. D’ailleurs, les consommateurs canadiens placent le géant coréen #1 à ce chapitre dans tous les segments de marché où il évolue. Avec un prix de détail suggéré par le fabricant (PDSF) qui devrait se situer dans les 60 000 $, l’opulente Equus rivalisera nez à nez avec des concurrentes que Hyundai n’avait jamais affrontées jusqu’à maintenant.
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| La seule véritable option est l’ensemble Ultime, qui ajoute à l’arrière un siège inclinable avec fonction de massage shiatsu, un repose-pieds de même que toutes les commandes nécessaires au contrôle de la radio et de la climatisation. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Pour le développement de sa nouvelle grande berline, Hyundai s’est référé à la Mercedes-Benz S550. On veut ainsi s’attaquer directement aux Lexus LS460 et BMW 750i de ce monde. La liste d’équipements confirme cette prétention; trop longue pour énumérer, elle se montre digne d’une voiture qui coûte des dizaines de milliers de dollars de plus. La seule véritable option est l’ensemble Ultime, qui ajoute à l’arrière un siège inclinable avec fonction de massage shiatsu, un repose-pieds de même que toutes les commandes nécessaires au contrôle de la radio et de la climatisation.
Le prix de l’Equus permettra aux dirigeants de compagnies de faire preuve de retenue sans sacrifier le moindre privilège. Qu’ils conduisent ou se laissent conduire, ces chanceux auront droit à un comportement routier de première classe.
Puissante et performante
Hyundai a permis aux journalistes invités de s’en donner à cœur joie (lire : aller à fond de train) sur les routes sinueuses au creux des canyons de la côte californienne. L’aventure a été marquée par différentes conditions de conduite mettant l’Equus à rude épreuve, comme lorsqu’un journaliste chevronné décide de tester une Mercedes ou une BMW. Laissez-moi vous dire que cette Coréenne m’a impressionné.
Tout d’abord, son fastueux et spacieux habitacle est superbement assemblé à l’aide de matériaux haut de gamme, incluant des garnitures en bois véritable. La voiture se fait un réel plaisir de dorloter et de chouchouter ses occupants tout en les transportant dans un silence quasi absolu.
Le V8 Tau de 4,6 litres qui se cache sous le capot libère une cavalerie remarquablement raffinée formée de 385 chevaux. À cela s’ajoute un couple de 333 livres-pied. La boîte automatique ZF à six rapports qui contrôle cette puissance fait du beau travail, mais il faut rappeler que bon nombre de compétitrices offrent à présent des transmissions à sept et même à huit rapports. En outre, celle de l’Equus ne comporte pas de palettes de commande manuelle au volant — plus ou moins une lacune selon moi.
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| Le V8 Tau de 4,6 litres qui se cache sous le capot libère une cavalerie remarquablement raffinée formée de 385 chevaux. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |