La présence de barres stabilisatrices aux deux extrémités et l'emploi d'une structure monocoque n'éliminent pas la sensation de lourdeur, si bien que conduire l'Equus devient un peu laborieux. Même le braquage requis par le volant paraît exagéré, accentuant l'impression de grandeur. Ce n'est définitivement pas le genre de voiture qui nous fait apprécier les routes sinueuses. De toute façon, lorsqu'on relaxe à l'arrière en sirotant un cappuccino au lait de noix de coco avec double crème au moka, on ne voudrait pas que le chauffeur tente une manœuvre de « drift » autour d'un rond-point, n'est-ce pas?
Imaginez, des sièges arrière qui s'inclinent! Comme dans toute bonne berline de luxe, ceux-ci offrent autant sinon plus de confort que les baquets avant. Ajoutez à cela le contrôle du système de divertissement via l'accoudoir central rabattable, les pare-soleil à commande électrique pour les vitres latérales arrière et la lunette arrière ainsi que l'option des assises chauffantes/ventilées avec vibromassage et repose-jambes (Equus Ultimate), et vous ne voudrez plus quitter les places arrière.
Bien entendu, les occupants avant ne sont pas à plaindre, eux qui bénéficient de sièges chauffants/ventilés à 12 réglages électriques, d'un volant chauffant et d'une interface de navigation semblable au BMW iDrive. La grosse molette qui contrôle l'ordinateur de bord est légèrement mal placée (j'aurais aimé l’avoir quelques centimètres plus haut afin de faciliter la manipulation), mais le système fonctionne plutôt bien une fois qu'on s'y est habitué.
L'instrumentation se veut agréable à regarder et elle comprend un écran d'information ACL de 3,5 pouces affichant la consommation d'essence, l'autonomie restante, les informations audio et même une boussole. Parmi les autres commodités, soulignons la caméra de recul, le frein de stationnement électronique et la fonction de retenue automatique pour le trafic d'heure de pointe ou les feux rouges.
À propos de la consommation, le V8 de mon exemplaire a maintenu une moyenne de 10,0 L/100 km pendant au moins une journée où j'ai beaucoup roulé sur l'autoroute en utilisant le régulateur de vitesse intelligent. Le reste du temps, l'Equus brûlait environ 11,5 L/100 km, ce qui demeure assez impressionnant pour un moteur de pareille cylindrée et une voiture aussi costaude.
 |
| Les occupants avant ne sont pas à plaindre, eux qui bénéficient d'un volant chauffant et d'une interface de navigation semblable au BMW iDrive. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Imaginez, des sièges arrière qui s'inclinent! Comme dans toute bonne berline de luxe, ceux-ci offrent autant sinon plus de confort que les baquets avant. Ajoutez à cela le contrôle du système de divertissement via l'accoudoir central rabattable, les pare-soleil à commande électrique pour les vitres latérales arrière et la lunette arrière ainsi que l'option des assises chauffantes/ventilées avec vibromassage et repose-jambes (Equus Ultimate), et vous ne voudrez plus quitter les places arrière.
Bien entendu, les occupants avant ne sont pas à plaindre, eux qui bénéficient de sièges chauffants/ventilés à 12 réglages électriques, d'un volant chauffant et d'une interface de navigation semblable au BMW iDrive. La grosse molette qui contrôle l'ordinateur de bord est légèrement mal placée (j'aurais aimé l’avoir quelques centimètres plus haut afin de faciliter la manipulation), mais le système fonctionne plutôt bien une fois qu'on s'y est habitué.
L'instrumentation se veut agréable à regarder et elle comprend un écran d'information ACL de 3,5 pouces affichant la consommation d'essence, l'autonomie restante, les informations audio et même une boussole. Parmi les autres commodités, soulignons la caméra de recul, le frein de stationnement électronique et la fonction de retenue automatique pour le trafic d'heure de pointe ou les feux rouges.
À propos de la consommation, le V8 de mon exemplaire a maintenu une moyenne de 10,0 L/100 km pendant au moins une journée où j'ai beaucoup roulé sur l'autoroute en utilisant le régulateur de vitesse intelligent. Le reste du temps, l'Equus brûlait environ 11,5 L/100 km, ce qui demeure assez impressionnant pour un moteur de pareille cylindrée et une voiture aussi costaude.
 |
| L'Equus brûlait environ 11,5 L/100 km, ce qui demeure assez impressionnant pour un moteur de pareille cylindrée et une voiture aussi costaude. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |