Un V8, une première pour Hyundai
Outre le mode à roues motrices arrière (propulsion), l'élément le plus intéressant de cette nouvelle machine est sans contredit son V8 optionnel. Entièrement nouveau, il mise sur les plus récentes technologies de l'industrie telles qu'un système d'induction variable à deux phases et le double calage variable en continu des soupapes. Le V8 peut fonctionner autant à l'essence ordinaire qu'à l'essence super. Dans ce dernier cas, la puissance est de 375 chevaux à 6500 tours/minute et le couple, de 333 livres-pied à 3500 tours/minute. Sinon, attendez-vous à perdre sept chevaux et neuf livres-pied.
De son côté, le V6 Lambda de 3,8 litres à double arbre à cames génère 290 chevaux à 6200 tours/minute et un couple de 264 livres-pied à 4500 tours/minute. Lui aussi bénéficie du double calage variable en continu des soupapes
Les deux moteurs font équipe avec une boîte automatique à six rapports -- de marque Aisin pour le V6 et ZF (plus robuste) pour le V8. Lors de mon essai routier, j'ai trouvé les changements de rapport remarquablement doux et adéquatement espacés. Un mode manuel est offert, mais il ne s'accompagne pas de palettes au volant.
Fondation solide
Les ingénieurs de Hyundai ont développé un châssis dont la rigidité surpasse celle de bien des concurrentes. Ils lui ont greffé une suspension à cinq bras à l'avant et une suspension similaire à bras multiples à l'arrière. Des amortisseurs sophistiqués ont aussi été judicieusement installés pour améliorer le roulement et la maniabilité.
De grands freins à disque aux quatre roues permettent à la voiture de s'immobiliser très rapidement, tandis que le système de contrôle de la stabilité opère avec discrétion et efficacité afin de maintenir la voiture en contrôle lorsqu'on la conduit agressivement dans les courbes ou lors de manoeuvres d'urgence.
Et sur la route?
En consultant les fiches techniques qu'on m'a remises lors du lancement médiatique de la Hyundai Genesis, plusieurs doutes se sont soulevés dans mon esprit. Sur papier, cette voiture dépasse plusieurs standards établis par des compétitrices de très grande qualité. Mais comment tout ceci se traduit-il sur la route? La Genesis est-elle à la hauteur des attentes? Heureusement, les gens de Hyundai ont donné aux journalistes présents beaucoup de temps et de liberté pour trouver les réponses à ces questions.
Outre le mode à roues motrices arrière (propulsion), l'élément le plus intéressant de cette nouvelle machine est sans contredit son V8 optionnel. Entièrement nouveau, il mise sur les plus récentes technologies de l'industrie telles qu'un système d'induction variable à deux phases et le double calage variable en continu des soupapes. Le V8 peut fonctionner autant à l'essence ordinaire qu'à l'essence super. Dans ce dernier cas, la puissance est de 375 chevaux à 6500 tours/minute et le couple, de 333 livres-pied à 3500 tours/minute. Sinon, attendez-vous à perdre sept chevaux et neuf livres-pied.
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De son côté, le V6 Lambda de 3,8 litres à double arbre à cames génère 290 chevaux à 6200 tours/minute et un couple de 264 livres-pied à 4500 tours/minute. Lui aussi bénéficie du double calage variable en continu des soupapes
Les deux moteurs font équipe avec une boîte automatique à six rapports -- de marque Aisin pour le V6 et ZF (plus robuste) pour le V8. Lors de mon essai routier, j'ai trouvé les changements de rapport remarquablement doux et adéquatement espacés. Un mode manuel est offert, mais il ne s'accompagne pas de palettes au volant.
Fondation solide
Les ingénieurs de Hyundai ont développé un châssis dont la rigidité surpasse celle de bien des concurrentes. Ils lui ont greffé une suspension à cinq bras à l'avant et une suspension similaire à bras multiples à l'arrière. Des amortisseurs sophistiqués ont aussi été judicieusement installés pour améliorer le roulement et la maniabilité.
De grands freins à disque aux quatre roues permettent à la voiture de s'immobiliser très rapidement, tandis que le système de contrôle de la stabilité opère avec discrétion et efficacité afin de maintenir la voiture en contrôle lorsqu'on la conduit agressivement dans les courbes ou lors de manoeuvres d'urgence.
Et sur la route?
En consultant les fiches techniques qu'on m'a remises lors du lancement médiatique de la Hyundai Genesis, plusieurs doutes se sont soulevés dans mon esprit. Sur papier, cette voiture dépasse plusieurs standards établis par des compétitrices de très grande qualité. Mais comment tout ceci se traduit-il sur la route? La Genesis est-elle à la hauteur des attentes? Heureusement, les gens de Hyundai ont donné aux journalistes présents beaucoup de temps et de liberté pour trouver les réponses à ces questions.
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