Moteur fringant et plutôt raffiné
Le Hyundai Tucson 2010 m’a charmé par de nombreux traits insoupçonnés, notamment la performance de son moteur à quatre cylindres de 2,4 litres. Celui-ci génère 176 chevaux à 6000 tours/minute et un couple de 168 livres-pied à 4000 tours/minute. Évidemment, ces chiffres ne jetteront personne en bas de leur chaise, mais il reste que le Tucson se montre fringant et efficace sur la route.
Merci à la transmission automatique à six rapports de mon modèle d’essai (une manuelle à six rapports est aussi offerte), qui maximise le potentiel du petit moteur. Je m’attendais à un fonctionnement plutôt cru, alors quelle ne fut pas ma surprise de constater autant de douceur et de raffinement sous le capot. Même près de la zone de régime critique, la mécanique demeure calme et docile.
Quelques autres surprises…
Calme et docilité caractérisent également le Tucson dans les sentiers, du moins lorsqu’il est équipé du système de traction intégrale sur demande de Hyundai avec contrôle du freinage en descente. Cette dernière fonction maintient une vitesse constante et sécuritaire (8 km/h) en pente abrupte et/ou glissante.
Pour rehausser l’adhérence, un système de verrouillage commandé par le conducteur impose une répartition égale du couple entre les essieux avant et arrière. Sinon, les roues avant s’occupent d’entraîner le véhicule jusqu’à ce que l’une d’elles commence à patiner; le système fait alors immédiatement appel aux roues arrière.
Le contrôle du freinage en descente et le verrouillage du couple différencient le Tucson de plusieurs autres VUS «légers» à traction intégrale. Un gros plus.
… et une grande déception
Le roulement m’a déçu, pour être honnête. Inutilement ferme, il ne colle pas à la réalité d’un utilitaire majoritairement urbain. Certes, les occupants ne se font pas «brasser la cage», comme on dit, mais une suspension plus souple améliorerait définitivement l’expérience de conduite.
Le Hyundai Tucson 2010 m’a charmé par de nombreux traits insoupçonnés, notamment la performance de son moteur à quatre cylindres de 2,4 litres. Celui-ci génère 176 chevaux à 6000 tours/minute et un couple de 168 livres-pied à 4000 tours/minute. Évidemment, ces chiffres ne jetteront personne en bas de leur chaise, mais il reste que le Tucson se montre fringant et efficace sur la route.
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| Son moteur de 2,4 litres génère 176 chevaux à 6000 tours/minute et un couple de 168 livres-pied à 4000 tours/minute. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Merci à la transmission automatique à six rapports de mon modèle d’essai (une manuelle à six rapports est aussi offerte), qui maximise le potentiel du petit moteur. Je m’attendais à un fonctionnement plutôt cru, alors quelle ne fut pas ma surprise de constater autant de douceur et de raffinement sous le capot. Même près de la zone de régime critique, la mécanique demeure calme et docile.
Quelques autres surprises…
Calme et docilité caractérisent également le Tucson dans les sentiers, du moins lorsqu’il est équipé du système de traction intégrale sur demande de Hyundai avec contrôle du freinage en descente. Cette dernière fonction maintient une vitesse constante et sécuritaire (8 km/h) en pente abrupte et/ou glissante.
Pour rehausser l’adhérence, un système de verrouillage commandé par le conducteur impose une répartition égale du couple entre les essieux avant et arrière. Sinon, les roues avant s’occupent d’entraîner le véhicule jusqu’à ce que l’une d’elles commence à patiner; le système fait alors immédiatement appel aux roues arrière.
Le contrôle du freinage en descente et le verrouillage du couple différencient le Tucson de plusieurs autres VUS «légers» à traction intégrale. Un gros plus.
… et une grande déception
Le roulement m’a déçu, pour être honnête. Inutilement ferme, il ne colle pas à la réalité d’un utilitaire majoritairement urbain. Certes, les occupants ne se font pas «brasser la cage», comme on dit, mais une suspension plus souple améliorerait définitivement l’expérience de conduite.
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| L’aire de chargement se révèle suffisamment grande pour engloutir mon vélo de route sans que je doive démonter la roue avant. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |