L’habitacle de la G37 évoque tellement un cockpit qu’on imagine avec peine qu’il s’agit d’une berline à quatre portières. J’ai craqué pour l’impression de maîtrise et d’inclusion que son architecture dégage. C’est avec ce sentiment d’alliance homme-machine qu’on savoure la nervosité et les performances de la G37xS à transmission intégrale.
Performances louables
Comme l’indique son nom, la G37 recèle un V6 à DACT de 3,7 litres faisant appel au système de distribution à programme variable d’Infiniti (CVVTCS) afin de livrer 328 chevaux fringants à 7 000 tours et 269 pi-lb de couple à 5 200 tours.
La puissance du moteur enjoué est prise en charge par une boîte automatique à sept rapports proposant un mode Sport, des palettes au volant et un dispositif de correspondance du régime en rétrogradant. Les purs et durs peuvent opter pour l’ensemble M6 Sport, comprenant une boîte manuelle à six rapports et une suspension sport.
Mon modèle profitait de la boîte automatique, dont le travail impeccable assurait une adhérence ultime aux quatre coins. Le mordant supplémentaire permettait à la G de décoller avec une ardeur impressionnante, montant rapidement et efficacement en rapport.
Je n’ai remarqué aucun point mort en accélération. La G37xS tire honorablement sur l’intégralité de la grande plage de puissance, accentuant l’orientation haute performance de ce bolide tendance.
Coexistence pacifique entre confort de conduite et tenue de route
La G37xS récompense le conducteur avec une direction nette et vive, précise et bien calibrée. Le véhicule reste soudé à la route et merveilleusement posé en virage. La tenue de route assurée inspire la confiance, et là réside un des plus grands atouts de la G37, et la qualité de la conduite n’a pas été sacrifiée pour autant.
Cela va sans dire que du côté de la suspension, la G37xS est plus du genre à brasser ses passagers plutôt que de les traiter aux petits oignons, néanmoins pas d’une mauvaise façon. La suspension se montre peut-être plus ferme que certains amateurs de luxe ne souhaiteraient, mais certainement pas pour l’amateur de conduite.
J’accepterais le degré de confort offert vu l’athlétisme gratifiant de la G37, or, je dois avouer qu’un amortissement un peu plus clément ferait bien mon affaire. Parmi les autres petites déceptions, notons la sonorité du moteur de 3,7 litres et l’absence d’une banquette arrière rabattable.
Performances louables
Comme l’indique son nom, la G37 recèle un V6 à DACT de 3,7 litres faisant appel au système de distribution à programme variable d’Infiniti (CVVTCS) afin de livrer 328 chevaux fringants à 7 000 tours et 269 pi-lb de couple à 5 200 tours.
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| La G37 recèle un V6 à DACT de 3,7 litres lui procurant 328 chevaux fringants à 7 000 tours et 269 pi-lb de couple à 5 200 tours. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
La puissance du moteur enjoué est prise en charge par une boîte automatique à sept rapports proposant un mode Sport, des palettes au volant et un dispositif de correspondance du régime en rétrogradant. Les purs et durs peuvent opter pour l’ensemble M6 Sport, comprenant une boîte manuelle à six rapports et une suspension sport.
Mon modèle profitait de la boîte automatique, dont le travail impeccable assurait une adhérence ultime aux quatre coins. Le mordant supplémentaire permettait à la G de décoller avec une ardeur impressionnante, montant rapidement et efficacement en rapport.
Je n’ai remarqué aucun point mort en accélération. La G37xS tire honorablement sur l’intégralité de la grande plage de puissance, accentuant l’orientation haute performance de ce bolide tendance.
Coexistence pacifique entre confort de conduite et tenue de route
La G37xS récompense le conducteur avec une direction nette et vive, précise et bien calibrée. Le véhicule reste soudé à la route et merveilleusement posé en virage. La tenue de route assurée inspire la confiance, et là réside un des plus grands atouts de la G37, et la qualité de la conduite n’a pas été sacrifiée pour autant.
Cela va sans dire que du côté de la suspension, la G37xS est plus du genre à brasser ses passagers plutôt que de les traiter aux petits oignons, néanmoins pas d’une mauvaise façon. La suspension se montre peut-être plus ferme que certains amateurs de luxe ne souhaiteraient, mais certainement pas pour l’amateur de conduite.
J’accepterais le degré de confort offert vu l’athlétisme gratifiant de la G37, or, je dois avouer qu’un amortissement un peu plus clément ferait bien mon affaire. Parmi les autres petites déceptions, notons la sonorité du moteur de 3,7 litres et l’absence d’une banquette arrière rabattable.
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| Mon modèle profitait de la boîte automatique, dont le travail impeccable assurait une adhérence ultime aux quatre coins. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |