Plus puissante, plus économe
Les deux moteurs au programme de l’Infiniti M 2011 sont nouveaux, tout comme la boîte automatique à sept rapports.
La M37 et la M37x à traction intégrale renferment un V6 de 3,7 litres qui développe 330 chevaux grâce à un dispositif de commande variable des soupapes (le papillon des gaz demeure ouvert en tout temps) qui favorise une combustion optimale et un réchauffement accéléré du moteur, réduisant ainsi la consommation et les émissions.
Les M56 et M56x, pour leur part, jouissent d’un V8 de 5,6 litres à calage variable des soupapes et injection directe. Malgré sa puissance monstrueuse de 420 chevaux, ce moteur reste étonnamment frugal en termes de carburant. Forsyth rappelle que l’ancien V8 était assujetti à la taxe ontarienne sur les véhicules énergivores à la hauteur de 1200 $; le nouveau V8, lui, ne coûtera que 75 $ en taxe. Sur l’autoroute, la M56 affiche un rendement de 8,0 L/100 km, soit à peine supérieur à celui de la M37 (7,6 L/100 km).
Nouvelle boîte à sept rapports
À l’instar de la précédente transmission automatique (cinq rapports), la nouvelle boîte de vitesses comporte une fonction de correspondance du régime en rétrogradation, un contrôle variable des passages ainsi que quatre modes de fonctionnement : Eco, Standard, Sport, Neige.
Si vous conduisez déjà avec un souci d’économie de carburant en mode Standard, le mode Eco ne vous en fera pas vraiment sauver plus. Par contre, ceux qui ont l’habitude de rouler agressivement trouveront dans ce mode une réponse plus lente de l’accélérateur et ils se feront avertir au moyen d’une lumière sur le tableau de bord lorsqu’ils franchissent le seuil de l’efficacité énergétique.
Ce n’est pas tout: Infiniti propose même une pédale Eco qui repousse légèrement notre pied droit quand ce dernier se montre trop insistant. Un subtil rappel à l’ordre!
Sur la route
Bien que l’extérieur et l’intérieur soient complètement redessinés, l’architecture demeure essentiellement la même à l’exception d’une rigidité accrue. En général, le comportement du châssis ne change pas, mais certains aspects de la conduite ont été améliorés.
J’ai d’abord essayé la M56 Sport. Tel que mentionné, son V8 de 5,6 litres est une vraie bête. Sérieusement, une simple pression sur la pédale d’accélérateur suffit pour passer en mode «wooooo-hooooo!».
Afin de la rendre plus concurrentielle dans le marché, Infiniti devait conférer à la M un roulement plus feutré et silencieux. Un renforcement du châssis et des modifications à la suspension y contribuent, tout comme le système de contrôle actif du bruit qui émet des fréquences sonores dans l’habitacle pour empêcher les sons extérieurs de l’envahir (rien de mieux pour profiter pleinement de la nouvelle chaîne audio Bose en option, spécifique à la M).
Les deux moteurs au programme de l’Infiniti M 2011 sont nouveaux, tout comme la boîte automatique à sept rapports.
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| Le dispositif de commande variable des soupapes, favorise une combustion optimale et un réchauffement accéléré du moteur. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |
La M37 et la M37x à traction intégrale renferment un V6 de 3,7 litres qui développe 330 chevaux grâce à un dispositif de commande variable des soupapes (le papillon des gaz demeure ouvert en tout temps) qui favorise une combustion optimale et un réchauffement accéléré du moteur, réduisant ainsi la consommation et les émissions.
Les M56 et M56x, pour leur part, jouissent d’un V8 de 5,6 litres à calage variable des soupapes et injection directe. Malgré sa puissance monstrueuse de 420 chevaux, ce moteur reste étonnamment frugal en termes de carburant. Forsyth rappelle que l’ancien V8 était assujetti à la taxe ontarienne sur les véhicules énergivores à la hauteur de 1200 $; le nouveau V8, lui, ne coûtera que 75 $ en taxe. Sur l’autoroute, la M56 affiche un rendement de 8,0 L/100 km, soit à peine supérieur à celui de la M37 (7,6 L/100 km).
Nouvelle boîte à sept rapports
À l’instar de la précédente transmission automatique (cinq rapports), la nouvelle boîte de vitesses comporte une fonction de correspondance du régime en rétrogradation, un contrôle variable des passages ainsi que quatre modes de fonctionnement : Eco, Standard, Sport, Neige.
Si vous conduisez déjà avec un souci d’économie de carburant en mode Standard, le mode Eco ne vous en fera pas vraiment sauver plus. Par contre, ceux qui ont l’habitude de rouler agressivement trouveront dans ce mode une réponse plus lente de l’accélérateur et ils se feront avertir au moyen d’une lumière sur le tableau de bord lorsqu’ils franchissent le seuil de l’efficacité énergétique.
Ce n’est pas tout: Infiniti propose même une pédale Eco qui repousse légèrement notre pied droit quand ce dernier se montre trop insistant. Un subtil rappel à l’ordre!
Sur la route
Bien que l’extérieur et l’intérieur soient complètement redessinés, l’architecture demeure essentiellement la même à l’exception d’une rigidité accrue. En général, le comportement du châssis ne change pas, mais certains aspects de la conduite ont été améliorés.
J’ai d’abord essayé la M56 Sport. Tel que mentionné, son V8 de 5,6 litres est une vraie bête. Sérieusement, une simple pression sur la pédale d’accélérateur suffit pour passer en mode «wooooo-hooooo!».
Afin de la rendre plus concurrentielle dans le marché, Infiniti devait conférer à la M un roulement plus feutré et silencieux. Un renforcement du châssis et des modifications à la suspension y contribuent, tout comme le système de contrôle actif du bruit qui émet des fréquences sonores dans l’habitacle pour empêcher les sons extérieurs de l’envahir (rien de mieux pour profiter pleinement de la nouvelle chaîne audio Bose en option, spécifique à la M).
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| Le comportement du châssis ne change pas, mais certains aspects de la conduite ont été améliorés. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |