Kenny Brack a fait l’essai d’un simulateur de course super réaliste en Italie. Le vainqueur des 500 milles d’Indianapolis de 1999 s’est dit impressionné par son expérience.
« Wow! Qui aurait cru lorsque les premiers 500 milles ont été disputés il y a 100 ans qu’il serait un jour possible de vivre l’expérience d’Indy en Italie? », s’est exclamé Brack.
« Même si le simulateur en est à ses balbutiements, Dallara a assigné plusieurs ingénieurs à la tâche et ils ont une vision claire des développements et des outils qui aideront à mieux comprendre l’IndyCar et à simuler différentes voitures et différents réglages. »
La coque en aluminium et fibre de carbone du simulateur a été présentée en décembre dernier et les améliorations sont constantes depuis. Le but est de fournir aux équipes une cellule de survie à laquelle pourra être ajoutée moteur et kit aérodynamique dès 2012.
Le simulateur, qui comprend toutes les composantes d’une voiture de course 'normale', permet au pilote de simuler jusqu’à des ennuis mécaniques et une conduite dans la circulation dense.
« En bref, nous essayons de recréer mathématiquement un nombre quasi infini de situations afin de perfectionner notre programme qui est, donc, en évolution constante », a expliqué Sam Garrett, le représentant américain de Dallara.
« Des pilotes sont venus en faire l’essai à plusieurs étapes du développement et ne cessent de nous dire que le modèle est plus réaliste de visite en visite.
« Nous sommes très heureux de la progression réalisée et nous croyons que ce sera un outil de développement très utile pour les pilotes et pour nous-même puisque nous pourrons faire des essais avant même de créer des pièces. C’est très excitant! »
Dallara aura un département spécifique pour les simulateurs au sein de sa nouvelle usine en construction tout près du Indianapolis Motor Speedway.
« Wow! Qui aurait cru lorsque les premiers 500 milles ont été disputés il y a 100 ans qu’il serait un jour possible de vivre l’expérience d’Indy en Italie? », s’est exclamé Brack.
« Même si le simulateur en est à ses balbutiements, Dallara a assigné plusieurs ingénieurs à la tâche et ils ont une vision claire des développements et des outils qui aideront à mieux comprendre l’IndyCar et à simuler différentes voitures et différents réglages. »
La coque en aluminium et fibre de carbone du simulateur a été présentée en décembre dernier et les améliorations sont constantes depuis. Le but est de fournir aux équipes une cellule de survie à laquelle pourra être ajoutée moteur et kit aérodynamique dès 2012.
Le simulateur, qui comprend toutes les composantes d’une voiture de course 'normale', permet au pilote de simuler jusqu’à des ennuis mécaniques et une conduite dans la circulation dense.
« En bref, nous essayons de recréer mathématiquement un nombre quasi infini de situations afin de perfectionner notre programme qui est, donc, en évolution constante », a expliqué Sam Garrett, le représentant américain de Dallara.
« Des pilotes sont venus en faire l’essai à plusieurs étapes du développement et ne cessent de nous dire que le modèle est plus réaliste de visite en visite.
« Nous sommes très heureux de la progression réalisée et nous croyons que ce sera un outil de développement très utile pour les pilotes et pour nous-même puisque nous pourrons faire des essais avant même de créer des pièces. C’est très excitant! »
Dallara aura un département spécifique pour les simulateurs au sein de sa nouvelle usine en construction tout près du Indianapolis Motor Speedway.