Les SX utilisent la même suspension que les autres versions, mais profitent de réglages « sport ». Elles sont également chaussées de pneus de 17 pouces plus agressifs. Une combinaison qui s’est avérée grisante pour le conducteur de la famille, c’est-à-dire moi, mais pas trop agréable pour les passagers. Ces derniers ont tous noté la fermeté de la suspension et ne pouvaient s’empêcher de partager leur opinion, surtout sur les routes raboteuses.
Le conducteur profite également d’un beau gros volant gainé de cuir, d’une direction qui transmet assez bien les sensations de la route et d’un accélérateur zélé. Alors que les autres Forte disposent du 4-cylindres de 2,0 litres développant 156 ch et 114 pi-lb de couple, les SX sont exclusivement animées par le 2,4-litres et sa distribution à variation continue, déployant 173 ch et 168 pi-lb.
Il s’agit du moteur Theta bien connu, mis au point en collaboration avec Chrysler et Mitsubishi. Il anime efficacement de nombreuses intermédiaires et n’a aucun problème à propulser la Forte plus petite et plus légère.
La direction électrique sensible à la vitesse semble bien lestée, à part un petit endroit bizarre pas tout à fait au centre. Mon modèle d’essai disposait d’une boîte automatique à six rapports avec palettes au volant, professionnelle et discrète.
La cote de consommation de la Forte SX s’élève à 9,0 L et 6,2 L/100 km, en ville et sur la route respectivement.
Bref, une belle expérience de conduite.
Confort intérieur
La Forte profite d’un habitacle très bien aménagé. Les instruments sont gros et lisibles, pas du tout capricieux. Le système de navigation se laisse aisément, euh, naviguer. Mes ados ont apprécié les prises auxiliaires et USB de la radio ainsi que les deux prises de 12 volts. Moi, j’ai apprécié le gros repose-pied chromé.
On n’obtient la sellerie de cuir que si on commande le modèle SX haut de gamme, où elle est incluse de série. Les sièges se sont avérés confortables pour le long trajet jusqu’à notre chalet au nord de l’Ontario, et ils font leur frais avec de vraies coutures… rouges!
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| Les SX sont exclusivement animées par le 2,4-litres et sa distribution à variation continue, déployant 173 ch et 168 pi-lb. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |
Le conducteur profite également d’un beau gros volant gainé de cuir, d’une direction qui transmet assez bien les sensations de la route et d’un accélérateur zélé. Alors que les autres Forte disposent du 4-cylindres de 2,0 litres développant 156 ch et 114 pi-lb de couple, les SX sont exclusivement animées par le 2,4-litres et sa distribution à variation continue, déployant 173 ch et 168 pi-lb.
Il s’agit du moteur Theta bien connu, mis au point en collaboration avec Chrysler et Mitsubishi. Il anime efficacement de nombreuses intermédiaires et n’a aucun problème à propulser la Forte plus petite et plus légère.
La direction électrique sensible à la vitesse semble bien lestée, à part un petit endroit bizarre pas tout à fait au centre. Mon modèle d’essai disposait d’une boîte automatique à six rapports avec palettes au volant, professionnelle et discrète.
La cote de consommation de la Forte SX s’élève à 9,0 L et 6,2 L/100 km, en ville et sur la route respectivement.
Bref, une belle expérience de conduite.
Confort intérieur
La Forte profite d’un habitacle très bien aménagé. Les instruments sont gros et lisibles, pas du tout capricieux. Le système de navigation se laisse aisément, euh, naviguer. Mes ados ont apprécié les prises auxiliaires et USB de la radio ainsi que les deux prises de 12 volts. Moi, j’ai apprécié le gros repose-pied chromé.
On n’obtient la sellerie de cuir que si on commande le modèle SX haut de gamme, où elle est incluse de série. Les sièges se sont avérés confortables pour le long trajet jusqu’à notre chalet au nord de l’Ontario, et ils font leur frais avec de vraies coutures… rouges!
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| La Forte profite d’un habitacle très bien aménagé. (Photo: Mike Goetz/Auto123.com) |