En vedette : un turbo
La nouvelle Chevrolet Cruze s’accompagnera d’un choix de deux moteurs à quatre cylindres. Celui de 1,8 litre développant 138 chevaux reste digne de mention, mais c’est surtout le moteur turbo de 1,4 litre qui me fait saliver. Générant une puissance de 140 chevaux et un couple de 148 livres-pied, ce «petit train qui va loin» consomme aussi peu que 5,9 litres d’essence aux 100 kilomètres sur l’autoroute, un chiffre nettement inférieur à l’ancien Ecotec de 2,2 litres.
Une conduite prometteuse
La nouvelle venue chez Chevrolet possède d’excellents gènes. Dérivée de la toute prochaine Vauxhall Astra, elle devrait bien se débrouiller dans la plupart des situations. Évidemment, on ne parle pas du tout d’une voiture sportive, mais les représentants de la compagnie à Los Angeles ont quand même mentionné «agrément de conduite» dans l’ouverture de la présentation de la Cruze.
Ceci m’amène à penser que la conduite s’avèrera aussi bonne, sinon meilleure que celle de la défunte Saturn Astra. La direction et les freins constituent deux qualités de plusieurs modèles GM récents que j’ai testés et je ne m’attends à rien de moins de la part de cette «voiture mondiale». Les Européens ont la réputation d’être exigeants en matière de conduite et ce qui est bon pour eux devrait l’être aussi pour nous. Ça reste à voir …
La Cruze sur le marché
Déjà commercialisée en Europe, en Chine, en Australie (sous la bannière Holden), en Corée du Sud (sous la bannière Daewoo) ainsi que dans plusieurs autres marchés de la planète, la berline Cruze obtient un chaleureux accueil par les consommateurs. En majorité, les journalistes automobiles ne croient pas qu’elle fera la barbe aux Volkswagen Golf/Jetta, Kia Cee'd et autres compactes populaires. Or, la Cruze ne ressemble en rien aux modèles GM auxquels ils étaient habitués. Personnellement, je suis impressionné par ce que j’ai vu et j’espère que la voiture remplira toutes ses promesses.
Avant d’en avoir la confirmation, il faudra patienter encore jusqu’au troisième trimestre de 2010, date prévue du lancement aux États-Unis et fort probablement au Canada.
photo:Mathieu St-Pierre, Philippe Champoux
La nouvelle Chevrolet Cruze s’accompagnera d’un choix de deux moteurs à quatre cylindres. Celui de 1,8 litre développant 138 chevaux reste digne de mention, mais c’est surtout le moteur turbo de 1,4 litre qui me fait saliver. Générant une puissance de 140 chevaux et un couple de 148 livres-pied, ce «petit train qui va loin» consomme aussi peu que 5,9 litres d’essence aux 100 kilomètres sur l’autoroute, un chiffre nettement inférieur à l’ancien Ecotec de 2,2 litres.
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Une conduite prometteuse
La nouvelle venue chez Chevrolet possède d’excellents gènes. Dérivée de la toute prochaine Vauxhall Astra, elle devrait bien se débrouiller dans la plupart des situations. Évidemment, on ne parle pas du tout d’une voiture sportive, mais les représentants de la compagnie à Los Angeles ont quand même mentionné «agrément de conduite» dans l’ouverture de la présentation de la Cruze.
Ceci m’amène à penser que la conduite s’avèrera aussi bonne, sinon meilleure que celle de la défunte Saturn Astra. La direction et les freins constituent deux qualités de plusieurs modèles GM récents que j’ai testés et je ne m’attends à rien de moins de la part de cette «voiture mondiale». Les Européens ont la réputation d’être exigeants en matière de conduite et ce qui est bon pour eux devrait l’être aussi pour nous. Ça reste à voir …
La Cruze sur le marché
Déjà commercialisée en Europe, en Chine, en Australie (sous la bannière Holden), en Corée du Sud (sous la bannière Daewoo) ainsi que dans plusieurs autres marchés de la planète, la berline Cruze obtient un chaleureux accueil par les consommateurs. En majorité, les journalistes automobiles ne croient pas qu’elle fera la barbe aux Volkswagen Golf/Jetta, Kia Cee'd et autres compactes populaires. Or, la Cruze ne ressemble en rien aux modèles GM auxquels ils étaient habitués. Personnellement, je suis impressionné par ce que j’ai vu et j’espère que la voiture remplira toutes ses promesses.
Avant d’en avoir la confirmation, il faudra patienter encore jusqu’au troisième trimestre de 2010, date prévue du lancement aux États-Unis et fort probablement au Canada.
photo:Mathieu St-Pierre, Philippe Champoux
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