Ces derniers possèdent tous d'importants réseaux de distribution de carburant, à la fois efficaces, fiables et relativement peu coûteux. Comme à peu près tout dans le secteur automobile en Chine, le système de distribution est extrêmement limité.
Alors, si la Chine doit absolument implanter un réseau, il serait logique d'en construire un pour traiter la prochaine source d'énergie principale - et non «l'ancienne». La décision du gouvernement de laisser tomber les lignes téléphoniques conventionnelles au profit des téléphones cellulaires est la preuve que les Chinois sont assez lucides pour anticiper le virage vers les piles à combustion.
Pour toutes ces raisons, l'industrie automobile est résolue à fabriquer des voitures fonctionnant avec des piles à combustion et de les exporter en Chine le plus rapidement possible. Si de tels véhicules seraient bienvenus au Canada et dans le reste de l'Amérique, en Europe et au Japon, ce n'est pas cette préoccupation qui est importante pour l'instant.
Aucune compagnie n'a démontré ce raisonnement aussi directement et avec autant de conviction que General Motors, à commencer par son président du conseil, Rick Wagoner. Le plan de GM est de tout faire (rabais et efforts de marketing) pour maintenir ou accroître sa part dans les marchés développés, le tout dans le but de garder ses usines en opération et ses revenus en abondance, en attendant de devenir le plus grand vendeur mondial de véhicules à pile à combustion.
En se réinventant d'ici 2015 ou 2020 comme le chef de file en matière de véhicules «alternatifs», GM sera devenu un joyau à la Bourse, en plus de demeurer le constructeur automobile numéro un à l'échelle mondiale.
Tout ce que vous avez lu dans les deux derniers paragraphes relève de la philosophie de GM. C'est ce qui explique que le géant a dévoilé cette semaine le premier autobus hybride en Chine de même que le prototype HyWire, une maquette de l'avenir des piles à combustion chez GM.
Pour le reste du monde, ces réalisations et projets sont des points de discussion très intéressants quand vient le temps de débattre des solutions alternatives au pétrole. En Chine, ce sont les lignes directrices d'un plan qui permettra d'éviter que le château de cartes s'écroule aussi rapidement qu'il est en train de s'édifier.
Alors, si la Chine doit absolument implanter un réseau, il serait logique d'en construire un pour traiter la prochaine source d'énergie principale - et non «l'ancienne». La décision du gouvernement de laisser tomber les lignes téléphoniques conventionnelles au profit des téléphones cellulaires est la preuve que les Chinois sont assez lucides pour anticiper le virage vers les piles à combustion.
Pour toutes ces raisons, l'industrie automobile est résolue à fabriquer des voitures fonctionnant avec des piles à combustion et de les exporter en Chine le plus rapidement possible. Si de tels véhicules seraient bienvenus au Canada et dans le reste de l'Amérique, en Europe et au Japon, ce n'est pas cette préoccupation qui est importante pour l'instant.
Aucune compagnie n'a démontré ce raisonnement aussi directement et avec autant de conviction que General Motors, à commencer par son président du conseil, Rick Wagoner. Le plan de GM est de tout faire (rabais et efforts de marketing) pour maintenir ou accroître sa part dans les marchés développés, le tout dans le but de garder ses usines en opération et ses revenus en abondance, en attendant de devenir le plus grand vendeur mondial de véhicules à pile à combustion.
En se réinventant d'ici 2015 ou 2020 comme le chef de file en matière de véhicules «alternatifs», GM sera devenu un joyau à la Bourse, en plus de demeurer le constructeur automobile numéro un à l'échelle mondiale.
Tout ce que vous avez lu dans les deux derniers paragraphes relève de la philosophie de GM. C'est ce qui explique que le géant a dévoilé cette semaine le premier autobus hybride en Chine de même que le prototype HyWire, une maquette de l'avenir des piles à combustion chez GM.
Pour le reste du monde, ces réalisations et projets sont des points de discussion très intéressants quand vient le temps de débattre des solutions alternatives au pétrole. En Chine, ce sont les lignes directrices d'un plan qui permettra d'éviter que le château de cartes s'écroule aussi rapidement qu'il est en train de s'édifier.