Roi de toutes les jungles
À le voir, on croirait le LR3 est incapable de franchir autre chose que la jungle urbaine de l'heure de pointe montréalaise. Pourtant, ses nombreux systèmes embarqués en font un exemple du genre et le rendent quasi impossibles à immobiliser.
Le célèbre système Terrain Response, qu'on active au moyen d'une molette au pied de la boîte de vitesses, permet de s'attaquer à toutes les surfaces sans hésitation, que ce soit la neige, le sable, le gravier, le pavé ou l'escale rocheuse. Dans chacun des cas, le système influe sur l'accélérateur, le freinage et, même, les suspensions (qu'on peut également régler en hauteur, selon les besoins) pour optimiser les performances dans toutes les conditions.
Et pour l'avoir testé dans les sentiers boueux d'un printemps rapide, le LR3 a été aisément capable de se tailler une place, même solidement enlisé, dans plusieurs centimètres de boue. Et sa puissance est telle qu'il peut aisément remorquer plus de 3000 kilos, presque le sourire aux lèvres.
Tout cela grâce notamment à son puissant moteur V8 de 300 chevaux, dont l'enthousiasme se fait aisément sentir dès qu'on appuie sur l'accélérateur. Évidemment, le jumelage avec une boîte à 6 rapports, un peu lente en rétrogradation mais bien étagée, favorise l'utilisation maximale de toute la cavalerie, peu importe les circonstances.
Une mise en garde s'impose cependant : un peu trop d'enthousiasme peut aisément entraîner une consommation de 18 litres aux 100 kilomètres (j'ai obtenu une consommation moyenne de 17,6 litres sans effort).
Un petit robuste
Le LR3, ce n'est certes pas le plus imposant de la gamme. Mais à l'image de ses frères plus grands, il est capable, en ville comme à la campagne.
Dichotomique, mon amour pour les Land Rover? Sans aucun doute. Mais j'avoue qu'avec tous ses côtés, il réussit à combler tous les désirs. À condition de vouloir y mettre le prix et tout en espérant que, cette fois, la fiabilité sera au rendez- vous. Ce qui n'a pas toujours été l'une des plus grandes qualités de la bannière, ne l'oublions pas.
photo:Philippe Champoux
À le voir, on croirait le LR3 est incapable de franchir autre chose que la jungle urbaine de l'heure de pointe montréalaise. Pourtant, ses nombreux systèmes embarqués en font un exemple du genre et le rendent quasi impossibles à immobiliser.
Le célèbre système Terrain Response, qu'on active au moyen d'une molette au pied de la boîte de vitesses, permet de s'attaquer à toutes les surfaces sans hésitation, que ce soit la neige, le sable, le gravier, le pavé ou l'escale rocheuse. Dans chacun des cas, le système influe sur l'accélérateur, le freinage et, même, les suspensions (qu'on peut également régler en hauteur, selon les besoins) pour optimiser les performances dans toutes les conditions.
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| Le célèbre système Terrain Response permet de s'attaquer à toutes les surfaces sans hésitation. |
Et pour l'avoir testé dans les sentiers boueux d'un printemps rapide, le LR3 a été aisément capable de se tailler une place, même solidement enlisé, dans plusieurs centimètres de boue. Et sa puissance est telle qu'il peut aisément remorquer plus de 3000 kilos, presque le sourire aux lèvres.
Tout cela grâce notamment à son puissant moteur V8 de 300 chevaux, dont l'enthousiasme se fait aisément sentir dès qu'on appuie sur l'accélérateur. Évidemment, le jumelage avec une boîte à 6 rapports, un peu lente en rétrogradation mais bien étagée, favorise l'utilisation maximale de toute la cavalerie, peu importe les circonstances.
Une mise en garde s'impose cependant : un peu trop d'enthousiasme peut aisément entraîner une consommation de 18 litres aux 100 kilomètres (j'ai obtenu une consommation moyenne de 17,6 litres sans effort).
Un petit robuste
Le LR3, ce n'est certes pas le plus imposant de la gamme. Mais à l'image de ses frères plus grands, il est capable, en ville comme à la campagne.
Dichotomique, mon amour pour les Land Rover? Sans aucun doute. Mais j'avoue qu'avec tous ses côtés, il réussit à combler tous les désirs. À condition de vouloir y mettre le prix et tout en espérant que, cette fois, la fiabilité sera au rendez- vous. Ce qui n'a pas toujours été l'une des plus grandes qualités de la bannière, ne l'oublions pas.
photo:Philippe Champoux
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