Je viens de rentrer d'un voyage à Monterey, en Californie, où j'ai eu la chance de conduire la toute nouvelle Chevrolet Corvette Stingray 2014 sur certaines des plus belles routes que je connaisse - et je ne parle pas de la surface lisse du bitume, mais bien du défi qu'elles représentent et des vues panoramiques saisissantes qu'elles nous offrent.
Même si je n'ai pas parcouru toute l'autoroute de la Côte du Pacifique, j'ai roulé dans la montagne sauvage sur plusieurs routes comportant de longs virages sinueux, des tournants à angle droit serrés et des courbes en S se succédant sans fin. Ces dernières ont réussi à me donner le vertige derrière le volant de ma 'Vette.
Pourquoi je vous parle de tout ça ? Eh bien, le lancement de la Stringray coïncide avec un week-end automobile très important qui se tient à Monterey. Le Concours d'Élégance de Pebble Beach et les enchères de RM Auction battaient leur plein pendant que j'y étais et le nombre de voitures garées ou circulant dans les rues était tout simplement délirant. Des Lamborghini Miura (oui, il y en avait plus d'une) en passant par un cabriolet Cadillac Escalade (une création un peu ratée, en fait), les véhicules qu'on pouvait voir à Monterey auraient comblé de bonheur les enthousiastes les plus exigeants.
Je dis toujours que Montréal est une ville de conducteurs ; nous aimons nos voitures et nous aimons conduire. Si notre manière de conduire est intense, c'est que nous n'avons aucune patience pour ceux et celles qui n'apprécient pas autant que nous les moments passés derrière le volant. Je pense que, sur ce point, les Californiens nous ressemblent. Compte tenu des routes panoramiques à leur disposition, comment pourrait-il en être autrement ?
L'une des parties de mon itinéraire comprenait une autoroute utilisée quotidiennement par d'innombrables navetteurs pour se rendre au travail. Bordée d'arbres magnifiques plus vieux que Mathusalem, la route serpentait entre les vallées et, de temps à autre, laissait apparaître l'océan Pacifique. J'étais en pâmoison. Pourquoi mon trajet pour aller travailler ne ressemble-t-il pas à ça ?
À la maison, l'idée d'une promenade en voiture le dimanche se limite à trouver un cours d'eau et à essayer de le suivre le plus longtemps possible. En Californie, l'idée d'une promenade en voiture n'est limitée d'aucune façon et pour cette seule raison, je pense que les automobilistes de la Californie méritent la palme dans la catégorie Amateur de voitures et activités connexes.
Des sociétés comme Tesla et Singer sont bien installées en Californie, Mazda Raceway est nichée près de Monterey et une autoroute s'étire le long de la côte du Pacifique, sans parler des événements tels que Pebble Beach. Le terreau est fertile pour les nombreuses associations automobiles. La Californie est bien connue pour ses vins, ses cliniques de chirurgie plastique et Hollywood, mais je pense qu'il faudrait lui reconnaître aussi son histoire d'amour avec l'automobile.
Et pour cette raison, j'ai décidé de mettre au point un plan, qui me permettra de vivre autour de Monterey avec vue sur l'océan, une Mini d'époque devant le garage et un accès à la piste Mazda Raceway quand je veux faire l'essai de mes véhicules de presse.
Une fille peut bien rêver, non ?
Même si je n'ai pas parcouru toute l'autoroute de la Côte du Pacifique, j'ai roulé dans la montagne sauvage sur plusieurs routes comportant de longs virages sinueux, des tournants à angle droit serrés et des courbes en S se succédant sans fin. Ces dernières ont réussi à me donner le vertige derrière le volant de ma 'Vette.
Pourquoi je vous parle de tout ça ? Eh bien, le lancement de la Stringray coïncide avec un week-end automobile très important qui se tient à Monterey. Le Concours d'Élégance de Pebble Beach et les enchères de RM Auction battaient leur plein pendant que j'y étais et le nombre de voitures garées ou circulant dans les rues était tout simplement délirant. Des Lamborghini Miura (oui, il y en avait plus d'une) en passant par un cabriolet Cadillac Escalade (une création un peu ratée, en fait), les véhicules qu'on pouvait voir à Monterey auraient comblé de bonheur les enthousiastes les plus exigeants.
Je dis toujours que Montréal est une ville de conducteurs ; nous aimons nos voitures et nous aimons conduire. Si notre manière de conduire est intense, c'est que nous n'avons aucune patience pour ceux et celles qui n'apprécient pas autant que nous les moments passés derrière le volant. Je pense que, sur ce point, les Californiens nous ressemblent. Compte tenu des routes panoramiques à leur disposition, comment pourrait-il en être autrement ?
L'une des parties de mon itinéraire comprenait une autoroute utilisée quotidiennement par d'innombrables navetteurs pour se rendre au travail. Bordée d'arbres magnifiques plus vieux que Mathusalem, la route serpentait entre les vallées et, de temps à autre, laissait apparaître l'océan Pacifique. J'étais en pâmoison. Pourquoi mon trajet pour aller travailler ne ressemble-t-il pas à ça ?
À la maison, l'idée d'une promenade en voiture le dimanche se limite à trouver un cours d'eau et à essayer de le suivre le plus longtemps possible. En Californie, l'idée d'une promenade en voiture n'est limitée d'aucune façon et pour cette seule raison, je pense que les automobilistes de la Californie méritent la palme dans la catégorie Amateur de voitures et activités connexes.
Des sociétés comme Tesla et Singer sont bien installées en Californie, Mazda Raceway est nichée près de Monterey et une autoroute s'étire le long de la côte du Pacifique, sans parler des événements tels que Pebble Beach. Le terreau est fertile pour les nombreuses associations automobiles. La Californie est bien connue pour ses vins, ses cliniques de chirurgie plastique et Hollywood, mais je pense qu'il faudrait lui reconnaître aussi son histoire d'amour avec l'automobile.
Et pour cette raison, j'ai décidé de mettre au point un plan, qui me permettra de vivre autour de Monterey avec vue sur l'océan, une Mini d'époque devant le garage et un accès à la piste Mazda Raceway quand je veux faire l'essai de mes véhicules de presse.
Une fille peut bien rêver, non ?
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| Photo: Miranda Lightstone |