Après avoir procédé à une mise à jour de la définition des véhicules à basse vitesse (VBV), le gouvernement fédéral a enfin autorisé les fabricants de petits véhicules utilitaires électriques à commercialiser leurs produits et à les proposer aux entreprises spécialisées dans l'entretien des terrains et le paysagisme. Ces VBV peuvent être utilisés en toute sécurité dans des endroits contrôlés à basse vitesse et où le risque de collision avec un véhicule traditionnel est moindre : les campus universitaires, les parcs et les villages de retraite, notamment.
Si les véhicules automobiles traditionnels doivent répondre à une quarantaine de normes de sécurité, il en est tout autrement des véhicules à basse vitesse. Selon la réglementation fédérale, les VBV doivent être mus par un moteur électrique, ne produire aucune émission, rouler sur quatre roues et à une vitesse maximale se situant entre 32 et 40 km/h. Il va de soi que Transports Canada encourage les fabricants d'automobiles à construire des véhicules électriques qui répondent aux mêmes normes que celles qui s'appliquent aux véhicules traditionnels : même degré de protection, aucune émission et aucune répercussion sur la qualité de l'air.
photo:Nemo
Nemo |
Si les véhicules automobiles traditionnels doivent répondre à une quarantaine de normes de sécurité, il en est tout autrement des véhicules à basse vitesse. Selon la réglementation fédérale, les VBV doivent être mus par un moteur électrique, ne produire aucune émission, rouler sur quatre roues et à une vitesse maximale se situant entre 32 et 40 km/h. Il va de soi que Transports Canada encourage les fabricants d'automobiles à construire des véhicules électriques qui répondent aux mêmes normes que celles qui s'appliquent aux véhicules traditionnels : même degré de protection, aucune émission et aucune répercussion sur la qualité de l'air.
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