Mécanique
Les 300 chevaux feraient rapidement osciller l'aiguille à 250 km/h si vous étiez sur une route européenne qui le permet. Les 100 km/h sont atteints en 6,3 secondes. Les divers systèmes d'admission (ACIS), d'injection (ETCS-i), et de distribution (VVT-i) électronique se chargent d'améliorer la souplesse et le silence de fonctionnement du moteur. Le tout est couplé à une boîte automatique «auto-adaptive» à cinq rapports. L'expérience de conduite des GS ressemble à une ballade dans les montagnes russes, enivrante et effrayante à la fois. Les performances hors de l'ordinaire du moteur V8 vous donneront une poussée d'adrénaline, mais le roulis important et une suspension molle vous feront vite lever le pied de l'accélérateur, car vous en découvrirez rapidement les limites d'adhérence. La puissance est impressionnante, mais il manque cette sécurité rassurante qu'on trouve chez BMW ou Mercedes. Heureusement, l'électronique travaille pour vous éviter des dérapages indésirables. Pour le reste, confort, silence de roulement, qualité d'assemblage et agrément de conduite font de cette voiture une belle acquisition.
Habitacle
Concurrence oblige ! Lexus offre un équipement plus que complet. La plupart des aides à la conduite électronique sont là, six coussins gonflables, une climatisation automatique. En principe le système de navigation qui était offert en équipement facultatif aux États-Unis seulement, devrait l'être au Canada en 2002. Pour le reste, le conducteur jouit d'un environnement privilégié comportant des fauteuils bien galbés, un tableau de bord garni et simple à consulter et à utiliser ainsi qu'une chaîne audio de première qualité.
Conclusion
Lexus possède tous les bons ingrédients permettant de réussir la recette ; il ne manque que le dosage précis de chacun de ces ingrédients pour transcender la marque. Les sorciers japonais n'ont pas encore le savoir-faire de leurs confrères allemands dans ce domaine, mais le résultat final est tout à fait correct.
Les 300 chevaux feraient rapidement osciller l'aiguille à 250 km/h si vous étiez sur une route européenne qui le permet. Les 100 km/h sont atteints en 6,3 secondes. Les divers systèmes d'admission (ACIS), d'injection (ETCS-i), et de distribution (VVT-i) électronique se chargent d'améliorer la souplesse et le silence de fonctionnement du moteur. Le tout est couplé à une boîte automatique «auto-adaptive» à cinq rapports. L'expérience de conduite des GS ressemble à une ballade dans les montagnes russes, enivrante et effrayante à la fois. Les performances hors de l'ordinaire du moteur V8 vous donneront une poussée d'adrénaline, mais le roulis important et une suspension molle vous feront vite lever le pied de l'accélérateur, car vous en découvrirez rapidement les limites d'adhérence. La puissance est impressionnante, mais il manque cette sécurité rassurante qu'on trouve chez BMW ou Mercedes. Heureusement, l'électronique travaille pour vous éviter des dérapages indésirables. Pour le reste, confort, silence de roulement, qualité d'assemblage et agrément de conduite font de cette voiture une belle acquisition.
Habitacle
Concurrence oblige ! Lexus offre un équipement plus que complet. La plupart des aides à la conduite électronique sont là, six coussins gonflables, une climatisation automatique. En principe le système de navigation qui était offert en équipement facultatif aux États-Unis seulement, devrait l'être au Canada en 2002. Pour le reste, le conducteur jouit d'un environnement privilégié comportant des fauteuils bien galbés, un tableau de bord garni et simple à consulter et à utiliser ainsi qu'une chaîne audio de première qualité.
Conclusion
Lexus possède tous les bons ingrédients permettant de réussir la recette ; il ne manque que le dosage précis de chacun de ces ingrédients pour transcender la marque. Les sorciers japonais n'ont pas encore le savoir-faire de leurs confrères allemands dans ce domaine, mais le résultat final est tout à fait correct.