Transmission intégrale hybride
Confortablement perchés sur les sièges en cuir perforé électriques à huit réglages, les passagers avant profitent d’une vue dominante sur la route, foulée avec légèreté par la dernière mouture du système Hybrid Synergy Drive de Toyota. Dans le RX 450h, tout comme le 350, le cœur de la bête bat au rythme d’un V6 de 3,5 litres polyvalent. Jumelé au moteur électrique à l’avant, il produit 295 ch et l’équivalent de 234 pi-lb de couple.
Une transmission à variation continue s’occupe d’envoyer la puissance aux roues avant. Comme vous le savez peut-être, le 450h ne dispose que d’une transmission intégrale au Canada. Ici, ça veut dire que les quatre roues peuvent être entraîinées, par contre il n’y a pas de lien mécanique ou physique entre les essieux avant et arrière. Un moteur électrique loge plutôt entre les roues arrière et s’occupe du travail. Il sert également de générateur, comme sa contrepartie à l’avant, et recharge les batteries.
N’ambitionnez pas
Ne poussez pas le RX, parce qu’il vous surprendra sur plusieurs fronts. D’abord, le 450h est essentiellement un véhicule à traction : le volant transmet un effet de couple en accélération vive. Que la route soit sèche, humide ou enneigée, le volant tirera brusquement d’un côté quand on appuie sur le champignon. Ensuite, un hybride déteste se faire bousculer. J’ai enregistré une consommation moyenne de 10,5 litres aux 100 km. J’avoue que je m’attendais à mieux, surtout vu que j’ai décidé de magasiner des cadeaux de Noël au centre- ville plutôt qu’en banlieue : les hybrides raffolent des arrêts-départs. Mais si vous avez le pied pesant, votre consommation moyenne grimpera.
Il n’y a aucun doute que le RX 450h préfère, et de très, très loin, qu’on le traite aux petits oignons. Ce sera frustrant pour certains : décollant d’un feu rouge en dosant doucement l’accélérateur, on reste en mode EV au moins le temps de franchir quelques coins de rue. Si vous pouvez maintenir une telle cadence, votre 450h vous récompensera de 7 petits litres aux 100 km.
Une dynamique pour les autres
Lexus n’est pas reconnue pour sa dynamique de conduite. Pour ça, il faut regarder du côté de la gamme « F ». Autrement, confort et raffinement sont à l’ordre du jour. Le RX est suprêmement docile, à moins d’y aller à fond la caisse comme je l’ai mentionné plus haut. La direction est inconséquente, mais précise, et les freins sont efficaces, grâce en partie à leur fonction de récupération.
Confortablement perchés sur les sièges en cuir perforé électriques à huit réglages, les passagers avant profitent d’une vue dominante sur la route, foulée avec légèreté par la dernière mouture du système Hybrid Synergy Drive de Toyota. Dans le RX 450h, tout comme le 350, le cœur de la bête bat au rythme d’un V6 de 3,5 litres polyvalent. Jumelé au moteur électrique à l’avant, il produit 295 ch et l’équivalent de 234 pi-lb de couple.
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| Ne poussez pas le RX, parce qu’il vous surprendra sur plusieurs fronts. |
Une transmission à variation continue s’occupe d’envoyer la puissance aux roues avant. Comme vous le savez peut-être, le 450h ne dispose que d’une transmission intégrale au Canada. Ici, ça veut dire que les quatre roues peuvent être entraîinées, par contre il n’y a pas de lien mécanique ou physique entre les essieux avant et arrière. Un moteur électrique loge plutôt entre les roues arrière et s’occupe du travail. Il sert également de générateur, comme sa contrepartie à l’avant, et recharge les batteries.
N’ambitionnez pas
Ne poussez pas le RX, parce qu’il vous surprendra sur plusieurs fronts. D’abord, le 450h est essentiellement un véhicule à traction : le volant transmet un effet de couple en accélération vive. Que la route soit sèche, humide ou enneigée, le volant tirera brusquement d’un côté quand on appuie sur le champignon. Ensuite, un hybride déteste se faire bousculer. J’ai enregistré une consommation moyenne de 10,5 litres aux 100 km. J’avoue que je m’attendais à mieux, surtout vu que j’ai décidé de magasiner des cadeaux de Noël au centre- ville plutôt qu’en banlieue : les hybrides raffolent des arrêts-départs. Mais si vous avez le pied pesant, votre consommation moyenne grimpera.
Il n’y a aucun doute que le RX 450h préfère, et de très, très loin, qu’on le traite aux petits oignons. Ce sera frustrant pour certains : décollant d’un feu rouge en dosant doucement l’accélérateur, on reste en mode EV au moins le temps de franchir quelques coins de rue. Si vous pouvez maintenir une telle cadence, votre 450h vous récompensera de 7 petits litres aux 100 km.
Une dynamique pour les autres
Lexus n’est pas reconnue pour sa dynamique de conduite. Pour ça, il faut regarder du côté de la gamme « F ». Autrement, confort et raffinement sont à l’ordre du jour. Le RX est suprêmement docile, à moins d’y aller à fond la caisse comme je l’ai mentionné plus haut. La direction est inconséquente, mais précise, et les freins sont efficaces, grâce en partie à leur fonction de récupération.
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| Le cœur de la bête bat au rythme d’un V6 de 3,5 litres polyvalent. Jumelé au moteur électrique à l’avant, il produit 295 ch et l’équivalent de 234 pi-lb de couple. |