Ce qui est vrai. Car ce véhicule « vert » ne manque pas de verve! La puissance combinée de ses deux moteurs, thermique et électrique, atteint 295 chevaux et le couple, 234 livres-pied. Des cotes plus que respectables lorsqu'on pense au V6 du RX 350, qui ne développe que 275 chevaux! Ce nouveau groupe motopropulseur se compare aussi favorablement à celui du RX 400h, qui développait 268 chevaux et 212 livres-pied.
Le nouveau RX hybride a donc un groupe motopropulseur qui développe 10% plus de puissance, mais se contente de 16% moins de carburant pour fonctionner. Du moins, si l'on se fie à la cote de consommation moyenne annoncée par le constructeur : 6,8 litres aux 100 kilomètres. Admettons, en adoptant une vision plus réaliste, que dans la « vraie vie », on obtiendra environ 8 litres aux 100 kilomètres. Une cote qui serait tout de même attrayante pour un gros utilitaire de deux tonnes.
Véritablement hybride
Comme la Prius et l'Escape hybride, ce RX est un hybride parallèle. C'est-à-dire que ses deux moteurs (thermique et électrique) sont à la fois indépendants et complémentaires.
Il est possible de rouler en tout électrique, en usant de patience et de douceur avec l'accélérateur. Puis, lorsqu'un surcroît de puissance est nécessaire, une pression à peine plus forte sur la pédale de l'accélérateur suffit à déclencher le moteur thermique, à moins qu'il ne soit entré en action automatiquement à cause des conditions routières.
Le moteur électrique est alimenté par une batterie à hydrure métallique de nickel (Ni-MH) de 288 volts logée sous le siège arrière. Plus compacte et plus légère que celle de l'ancien RX hybride, elle procure une aire de chargement vaste au plancher plat pas trop haut (contrairement, par exemple, à celui d'un Nissan Pathfinder).
De plus, comme le veut la tendance actuelle dans l'industrie, ce RX reçoit une servodirection électrique. Il s'agit d'un choix logique pour un véhicule « vert », puisque ce système moins « énergivore » peut contribuer à une réduction de la consommation de carburant à hauteur de 3%, selon le constructeur.
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| Ce moteur à plus haute compression (12,5 à 1 plutôt 10,8, dans le cas du RX 400h) n'a pas une cylindrée de 4,5 litres. |
Le nouveau RX hybride a donc un groupe motopropulseur qui développe 10% plus de puissance, mais se contente de 16% moins de carburant pour fonctionner. Du moins, si l'on se fie à la cote de consommation moyenne annoncée par le constructeur : 6,8 litres aux 100 kilomètres. Admettons, en adoptant une vision plus réaliste, que dans la « vraie vie », on obtiendra environ 8 litres aux 100 kilomètres. Une cote qui serait tout de même attrayante pour un gros utilitaire de deux tonnes.
Véritablement hybride
Comme la Prius et l'Escape hybride, ce RX est un hybride parallèle. C'est-à-dire que ses deux moteurs (thermique et électrique) sont à la fois indépendants et complémentaires.
Il est possible de rouler en tout électrique, en usant de patience et de douceur avec l'accélérateur. Puis, lorsqu'un surcroît de puissance est nécessaire, une pression à peine plus forte sur la pédale de l'accélérateur suffit à déclencher le moteur thermique, à moins qu'il ne soit entré en action automatiquement à cause des conditions routières.
Le moteur électrique est alimenté par une batterie à hydrure métallique de nickel (Ni-MH) de 288 volts logée sous le siège arrière. Plus compacte et plus légère que celle de l'ancien RX hybride, elle procure une aire de chargement vaste au plancher plat pas trop haut (contrairement, par exemple, à celui d'un Nissan Pathfinder).
De plus, comme le veut la tendance actuelle dans l'industrie, ce RX reçoit une servodirection électrique. Il s'agit d'un choix logique pour un véhicule « vert », puisque ce système moins « énergivore » peut contribuer à une réduction de la consommation de carburant à hauteur de 3%, selon le constructeur.
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| Comme le veut la tendance actuelle dans l'industrie, ce RX reçoit une servodirection électrique. |