Comme n'importe quel mordu, Coleman se fait un plaisir de répondre à toutes les questions techniques qu'on lui pose sans montrer des signes d'impatience ni se limiter dans l'usage de termes clairs (contrairement à bien des ingénieurs automobiles que j'ai l'habitude de rencontrer). Il n'hésite pas non plus à sortir son iPhone pour nous montrer des photos du projet « Miatabusa », une charmante Miata convertie en rebelle et infernale bête de piste animée par le moteur d'une Suzuki Hayabusa.
Avec des gens comme lui dans l'équipe, il ne faut pas vraiment s'étonner qu'un petit multisegment puisse reproduire les sensations de la populaire voiture sport. En fait, après une descente en épingle, mon partenaire d'essai m'a dit avoir complètement oublié qu'il pilotait un multisegment tellement la conduite s'avère dynamique et mordante.
Pour la première partie du trajet, nous avons retenu les services d'un modèle de préproduction avec boîte automatique à 6 rapports – soi-disant moins énergivore qu'une boîte à double embrayage en raison de la friction réduite, de la correspondance du régime moteur en rétrogradation et du convertisseur de couple qui s'active uniquement sous les 8 km/h. Bien que les changements de rapport soient bel et bien doux et rapides, la boîte automatique doit travailler fort pour garder le quatre-cylindres dans sa plage de puissance optimale lors des montées abruptes. Par conséquent, le moteur devient relativement bruyant à haut régime, car tous les 155 chevaux doivent se déchaîner pour conserver notre momentum à ce moment.
On nous a prévenus que nos exemplaires ne présentaient pas la même qualité d'assemblage et de finition que les futurs CX-5 de série. Néanmoins, le premier que nous avons essayé nous a ravis par son insonorisation et le confort de ses sièges en cuir noir. Selon le designer en chef, Derek Jenkins, « des années de recherche ont démontré que les humains aiment les choses qui brillent ». Ainsi, les matériaux doux au toucher dans l'habitacle s'agencent avec de légères touches de chrome satiné.
Les places arrière se replient à la façon d'un origami ou, pour employer le terme de Mazda, « Karakuri ». Librement traduit, ça signifie « truc ». Le mécanisme commandé par un simple bouton peut rabattre un seul dossier ou encore les deux afin d'accroître le volume de chargement de 966 à 1 852 litres.
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| Pour la première partie du trajet, nous avons retenu les services d'un modèle de préproduction avec boîte automatique à 6 rapports. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |
Avec des gens comme lui dans l'équipe, il ne faut pas vraiment s'étonner qu'un petit multisegment puisse reproduire les sensations de la populaire voiture sport. En fait, après une descente en épingle, mon partenaire d'essai m'a dit avoir complètement oublié qu'il pilotait un multisegment tellement la conduite s'avère dynamique et mordante.
Pour la première partie du trajet, nous avons retenu les services d'un modèle de préproduction avec boîte automatique à 6 rapports – soi-disant moins énergivore qu'une boîte à double embrayage en raison de la friction réduite, de la correspondance du régime moteur en rétrogradation et du convertisseur de couple qui s'active uniquement sous les 8 km/h. Bien que les changements de rapport soient bel et bien doux et rapides, la boîte automatique doit travailler fort pour garder le quatre-cylindres dans sa plage de puissance optimale lors des montées abruptes. Par conséquent, le moteur devient relativement bruyant à haut régime, car tous les 155 chevaux doivent se déchaîner pour conserver notre momentum à ce moment.
On nous a prévenus que nos exemplaires ne présentaient pas la même qualité d'assemblage et de finition que les futurs CX-5 de série. Néanmoins, le premier que nous avons essayé nous a ravis par son insonorisation et le confort de ses sièges en cuir noir. Selon le designer en chef, Derek Jenkins, « des années de recherche ont démontré que les humains aiment les choses qui brillent ». Ainsi, les matériaux doux au toucher dans l'habitacle s'agencent avec de légères touches de chrome satiné.
Les places arrière se replient à la façon d'un origami ou, pour employer le terme de Mazda, « Karakuri ». Librement traduit, ça signifie « truc ». Le mécanisme commandé par un simple bouton peut rabattre un seul dossier ou encore les deux afin d'accroître le volume de chargement de 966 à 1 852 litres.
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| Les matériaux doux au toucher dans l'habitacle s'agencent avec de légères touches de chrome satiné. (Photo: Mazda) |