MODULARITÉ ET DISTINCTION
On y retrouve en effet des sièges modulables de plusieurs façons. Ceux de la rangée médiane se déplacent longitudinalement (sauf dans la DX) ou latéralement et s'enlèvent complètement pour augmenter la capacité de chargement. La banquette arrière à 3 places s'escamote complètement dans le plancher comme dans la Honda Odyssey, et peut aussi basculer pour faire face à l'arrière. Les boit-sans-soif seront heureux d'apprendre qu'on y retrouve plus de porte-verres que de places assises. Les passagers avant disposent de 10 casiers de rangement et les autres sont presque aussi bien lotis. La MPV rentre bien sagement dans le rang en proposant deux portes latérales coulissantes, mais se distingue des autres en faisant en sorte que leurs glaces se baissent pour laisser entrer l'air frais à l'arrière.
Elle se décline en trois versions : DX, LX et ES. La DX apparaît assez dépouillée puisqu'elle vous prive de toutes les assistances électriques, incluant celle pour les rétroviseurs, du régulateur de vitesse et des vitres teintées. À l'autre bout de l'échelle, l'ES vous donne droit à l'ABS, des roues de 16 pouces (au moins, la DX roule sur des 15 pouces), à un toit ouvrant à commande électrique, à une chaîne stéréo avec chargeur de 6 disques compacts, au cuir pour les sièges et le volant, à l'inévitable similibois et aux coussins gonflables latéraux. Avec le groupe d'options GFX qui orne la carrosserie de déflecteurs, de jupes et d'antibrouillards, cette Mazda fait monter l'addition à plus de 35 000 $. Entre les deux, l'équipement de la LX conviendra à la plupart des conducteurs puisqu'il comprend lui aussi les principales assistances électriques, l'ABS et le climatiseur arrière.
On y retrouve en effet des sièges modulables de plusieurs façons. Ceux de la rangée médiane se déplacent longitudinalement (sauf dans la DX) ou latéralement et s'enlèvent complètement pour augmenter la capacité de chargement. La banquette arrière à 3 places s'escamote complètement dans le plancher comme dans la Honda Odyssey, et peut aussi basculer pour faire face à l'arrière. Les boit-sans-soif seront heureux d'apprendre qu'on y retrouve plus de porte-verres que de places assises. Les passagers avant disposent de 10 casiers de rangement et les autres sont presque aussi bien lotis. La MPV rentre bien sagement dans le rang en proposant deux portes latérales coulissantes, mais se distingue des autres en faisant en sorte que leurs glaces se baissent pour laisser entrer l'air frais à l'arrière.
Elle se décline en trois versions : DX, LX et ES. La DX apparaît assez dépouillée puisqu'elle vous prive de toutes les assistances électriques, incluant celle pour les rétroviseurs, du régulateur de vitesse et des vitres teintées. À l'autre bout de l'échelle, l'ES vous donne droit à l'ABS, des roues de 16 pouces (au moins, la DX roule sur des 15 pouces), à un toit ouvrant à commande électrique, à une chaîne stéréo avec chargeur de 6 disques compacts, au cuir pour les sièges et le volant, à l'inévitable similibois et aux coussins gonflables latéraux. Avec le groupe d'options GFX qui orne la carrosserie de déflecteurs, de jupes et d'antibrouillards, cette Mazda fait monter l'addition à plus de 35 000 $. Entre les deux, l'équipement de la LX conviendra à la plupart des conducteurs puisqu'il comprend lui aussi les principales assistances électriques, l'ABS et le climatiseur arrière.