La RX-8 n’essaie pas d’impressionner vos amis avec son style… mais elle le peut. La RX-8 n’est pas là pour amener votre petite famille voir grand-maman… mais elle le peut. La RX-8 n’a pas été conçue pour passer tous les samedis à la piste… mais elle le peut. La RX-8 ne devrait pas être assez confortable pour un usage quotidien… mais elle le peut. En fait, la RX-8 revêt autant de personnalités que ce type de voiture n’emprunte généralement pas… et elle le peut.
Tout le monde sait que la RX-8 a remplacé la RX-7 en 2003. « Remplacé » est un bien grand mot, car la RX-7 évoquait une supervoiture abordable capable de performances fulgurantes, une gracieuseté d’un moteur ô combien musclé et modifiable. La RX-8 en serait plutôt l’héritière spirituelle, à une certaine mesure. La RX-7 excellait sur la piste et la RX-8 en fait tout autant, disputant des épreuves du SCCA World Challenge et de la série GRAND-AM Rolex. La polyvalence de la RX-8 explique à la fois son échec et son succès. Une voiture si sportive ne devrait pas posséder quatre portières, ni accueillir autant de passagers.
Cette formule paraît franchement bizarre. Mais ça marche!
Un style délibéré
La RX-8 désignait la Mazda moderne qui a inauguré le nouveau visage de la marque japonaise. Ses grosses ailes avant plongeantes et ses flancs courbés ont inspiré les futures MX-5, CX-7 et Mazda6, entre autres. Évidemment, les portières inversées gâchent la progression coulée de la ligne de toit. La RX-8 n’est peut-être pas aussi svelte que la 370Z ou le Genesis coupé, mais son look unique la démarque du lot, qu’on l’aime ou non.
Comme l’indique le titre de cet essai, j’ai conduit une GT et non une R3. C’est quoi une R3? La R3 incarne la RX-8 la plus fulgurante sur les plans dynamique comme physique, profitant de jupes, de jantes en alliage et d’un aileron qui feraient saliver tout conducteur de Civic 1995 modifiée. Mais encore, la R3 c’est aussi une paire de trônes Recaro qui font toute la différence… dans mon monde, en tout cas!
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| La polyvalence de la RX-8 explique à la fois son échec et son succès. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Tout le monde sait que la RX-8 a remplacé la RX-7 en 2003. « Remplacé » est un bien grand mot, car la RX-7 évoquait une supervoiture abordable capable de performances fulgurantes, une gracieuseté d’un moteur ô combien musclé et modifiable. La RX-8 en serait plutôt l’héritière spirituelle, à une certaine mesure. La RX-7 excellait sur la piste et la RX-8 en fait tout autant, disputant des épreuves du SCCA World Challenge et de la série GRAND-AM Rolex. La polyvalence de la RX-8 explique à la fois son échec et son succès. Une voiture si sportive ne devrait pas posséder quatre portières, ni accueillir autant de passagers.
Cette formule paraît franchement bizarre. Mais ça marche!
Un style délibéré
La RX-8 désignait la Mazda moderne qui a inauguré le nouveau visage de la marque japonaise. Ses grosses ailes avant plongeantes et ses flancs courbés ont inspiré les futures MX-5, CX-7 et Mazda6, entre autres. Évidemment, les portières inversées gâchent la progression coulée de la ligne de toit. La RX-8 n’est peut-être pas aussi svelte que la 370Z ou le Genesis coupé, mais son look unique la démarque du lot, qu’on l’aime ou non.
Comme l’indique le titre de cet essai, j’ai conduit une GT et non une R3. C’est quoi une R3? La R3 incarne la RX-8 la plus fulgurante sur les plans dynamique comme physique, profitant de jupes, de jantes en alliage et d’un aileron qui feraient saliver tout conducteur de Civic 1995 modifiée. Mais encore, la R3 c’est aussi une paire de trônes Recaro qui font toute la différence… dans mon monde, en tout cas!
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| La RX-8 n’est peut-être pas aussi svelte que la 370Z, mais son look unique la démarque du lot. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |