Chaque carrosserie se décline en trois versions : GX, GS et GT. La première reprend le 4-cylindres de 2,0 litres et 148 chevaux, qui équipe la Mazda3 depuis son lancement.
Les deux autres partagent le 4-cylindres de 2,5 litres de la Mazda6, qui produit 167 chevaux. Par rapport au moteur de 2,3 litres qu’il remplace, il procure un gain d’une dizaine de chevaux.
Mieux encore, ce nouveau moteur produit plus de couple au même régime que l’ancien 4-cylindres : 168 livres-pieds plutôt que 150. Une différence qu’on apprécie particulièrement dans le trafic de l’heure de pointe, lorsqu’on doit rouler à basse vitesse en 2e, parfois même brièvement en 1ère.
Il faut admettre que la Mazda3 – Sport ou pas – dispose de l’une des boîtes manuelles des plus agréables à utiliser. Cette boîte à 6 rapports est bien étagée et son maniement précis donne l’impression qu’on joue sur une console de jeu avec un « joystick ». Dans un trafic dense, il n’y a rien de mieux.
Cela dit, on s’amuse ferme aussi lorsqu’on conduit cette Mazda3 sur les petites routes sinueuses de l’arrière-pays. L’embrayage est doux et sa course, juste assez longue. La suspension ferme à souhait (les barres antiroulis sont de plus gros diamètre que celles des Mazda3 2009) donne l’impression que la voiture colle à la route.
Le châssis rigide, la servodirection précise et les freins à disque mordant aux quatre roues confèrent à cette compacte un tempérament indéniablement sportif, peu commun dans le rayon des voitures compactes. Bien calé dans les baquets à contours proéminents, réservés aux modèles à moteur 2,5 litres, on en redemande!
Bien sûr, sachant que la majorité des automobilistes préfère les boîtes automatiques, Mazda propose contre supplément (1200 $) une boîte à 5 rapports dotée d’un mode séquentiel « sport » (qualificatif décidément galvaudé), qui saura leur plaire.
GT : 3100 $ et une lettre de plus!
N’empêche qu’il est un peu difficile de justifier la différence de près de 3000 $ qui sépare une Mazda3 Sport GT d’une GS. Après tout, à première vue, outre les roues d’alliage de 17 pouces, réservées à la première, les deux voitures sont très similaires.
Cela dit, la GT reçoit des systèmes d’antipatinage et d’antidérapage de série. Pour les obtenir sur une GS, il faut opter pour l’ensemble Confort (1495 $). On réserve aussi à la GT des phares bi-xénon, qui rendent la conduite nocturne tellement plus agréable.
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| La suspension ferme à souhait donne l’impression que la voiture colle à la route. |
Les deux autres partagent le 4-cylindres de 2,5 litres de la Mazda6, qui produit 167 chevaux. Par rapport au moteur de 2,3 litres qu’il remplace, il procure un gain d’une dizaine de chevaux.
Mieux encore, ce nouveau moteur produit plus de couple au même régime que l’ancien 4-cylindres : 168 livres-pieds plutôt que 150. Une différence qu’on apprécie particulièrement dans le trafic de l’heure de pointe, lorsqu’on doit rouler à basse vitesse en 2e, parfois même brièvement en 1ère.
Il faut admettre que la Mazda3 – Sport ou pas – dispose de l’une des boîtes manuelles des plus agréables à utiliser. Cette boîte à 6 rapports est bien étagée et son maniement précis donne l’impression qu’on joue sur une console de jeu avec un « joystick ». Dans un trafic dense, il n’y a rien de mieux.
Cela dit, on s’amuse ferme aussi lorsqu’on conduit cette Mazda3 sur les petites routes sinueuses de l’arrière-pays. L’embrayage est doux et sa course, juste assez longue. La suspension ferme à souhait (les barres antiroulis sont de plus gros diamètre que celles des Mazda3 2009) donne l’impression que la voiture colle à la route.
Le châssis rigide, la servodirection précise et les freins à disque mordant aux quatre roues confèrent à cette compacte un tempérament indéniablement sportif, peu commun dans le rayon des voitures compactes. Bien calé dans les baquets à contours proéminents, réservés aux modèles à moteur 2,5 litres, on en redemande!
Bien sûr, sachant que la majorité des automobilistes préfère les boîtes automatiques, Mazda propose contre supplément (1200 $) une boîte à 5 rapports dotée d’un mode séquentiel « sport » (qualificatif décidément galvaudé), qui saura leur plaire.
GT : 3100 $ et une lettre de plus!
N’empêche qu’il est un peu difficile de justifier la différence de près de 3000 $ qui sépare une Mazda3 Sport GT d’une GS. Après tout, à première vue, outre les roues d’alliage de 17 pouces, réservées à la première, les deux voitures sont très similaires.
Cela dit, la GT reçoit des systèmes d’antipatinage et d’antidérapage de série. Pour les obtenir sur une GS, il faut opter pour l’ensemble Confort (1495 $). On réserve aussi à la GT des phares bi-xénon, qui rendent la conduite nocturne tellement plus agréable.
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| Le nouveau design du tableau de bord suggère, par les formes élancées, un habitacle vaste. |