Pour le reste, la différence repose surtout sur des accessoires apportant plus de confort, comme le chauffage bizone, ou destinés à rehausser l’attrait de la voiture (chargeur à 6 CD, sellerie de tissu sport, volant gainé de cuir, etc.).
Intérieur spectaculaire !
À l’intérieur, on découvre un nouveau tableau de bord où le mélange de formes circulaires prononcées et de lignes étirées crée un effet de mouvement et donne l’impression d’un espace accru. Curieuse contradiction pour un environnement où le plastique noir alourdissant domine...
Quoi qu’il en soit, la partie supérieure du tableau de bord comporte désormais une visière qui regroupe un afficheur des fonctions de ventilation et de l’audio. C’est là aussi que l’on retrouve l’écran du système de guidage par satellite, qui fait partie du groupe d’options « GT-E » réservé à la Mazda3 Sport GT.
Il s’agit d’un système précis dont l’écran n’est pas très grand, vraiment pas. En revanche, puisqu’on l’a logé à la base du pare-brise, cet accessoire souvent très distrayant l’est un peu moins ici, puisqu’il se retrouve plus près du champ de vision naturel du conducteur.
La section centrale du tableau de bord fait preuve d’élégance et de symétrie dans l’aménagement de ses nombreux commutateurs. Leurs formes très similaires ne les distinguent pas entre eux et les rendent difficiles à repérer d’un simple effleurement.
Soulignons, toutefois, la grande qualité des matériaux utilisés dans l’habitacle et leur assemblage soigné digne d’une voiture allemande.
Finition et confort appréciés
Comme les autres Mazda3, la Sport dispose d’un dossier arrière asymétrique escamotable, qui permet de moduler le volume du coffre. Ce modèle à hayon s’avère nettement plus pratique que la berline classique : pas besoin de tricoter pour charger de gros colis, puisque le hayon découvre une ouverture large et haute.
Cette nouvelle Mazda3 Sport retient toutefois certains irritants du modèle précédent, entre autres, la piètre visibilité arrière engendrée par une ligne de caisse en delta, des montants arrière larges et une lunette très courte.
Les places arrière, de plus, n’ont rien gagné en dégagement pour les jambes ou la tête non plus. La silhouette racée et la faible hauteur de la carrosserie l’imposent. Plus on est grand, plus il faut se contorsionner pour prendre place derrière.
Mais curieusement, peu de compactes font mieux à ce chapitre. Et ça ne semble pas gêner une majorité d’acheteurs qui font de la Mazda, une des compactes les plus populaires au Canada.
photo:Luc Gagné
Intérieur spectaculaire !
À l’intérieur, on découvre un nouveau tableau de bord où le mélange de formes circulaires prononcées et de lignes étirées crée un effet de mouvement et donne l’impression d’un espace accru. Curieuse contradiction pour un environnement où le plastique noir alourdissant domine...
Quoi qu’il en soit, la partie supérieure du tableau de bord comporte désormais une visière qui regroupe un afficheur des fonctions de ventilation et de l’audio. C’est là aussi que l’on retrouve l’écran du système de guidage par satellite, qui fait partie du groupe d’options « GT-E » réservé à la Mazda3 Sport GT.
Il s’agit d’un système précis dont l’écran n’est pas très grand, vraiment pas. En revanche, puisqu’on l’a logé à la base du pare-brise, cet accessoire souvent très distrayant l’est un peu moins ici, puisqu’il se retrouve plus près du champ de vision naturel du conducteur.
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| Très pratique, le coffre vaste se transforme en un tournemain et permet le chargement de gros colis. |
La section centrale du tableau de bord fait preuve d’élégance et de symétrie dans l’aménagement de ses nombreux commutateurs. Leurs formes très similaires ne les distinguent pas entre eux et les rendent difficiles à repérer d’un simple effleurement.
Soulignons, toutefois, la grande qualité des matériaux utilisés dans l’habitacle et leur assemblage soigné digne d’une voiture allemande.
Finition et confort appréciés
Comme les autres Mazda3, la Sport dispose d’un dossier arrière asymétrique escamotable, qui permet de moduler le volume du coffre. Ce modèle à hayon s’avère nettement plus pratique que la berline classique : pas besoin de tricoter pour charger de gros colis, puisque le hayon découvre une ouverture large et haute.
Cette nouvelle Mazda3 Sport retient toutefois certains irritants du modèle précédent, entre autres, la piètre visibilité arrière engendrée par une ligne de caisse en delta, des montants arrière larges et une lunette très courte.
Les places arrière, de plus, n’ont rien gagné en dégagement pour les jambes ou la tête non plus. La silhouette racée et la faible hauteur de la carrosserie l’imposent. Plus on est grand, plus il faut se contorsionner pour prendre place derrière.
Mais curieusement, peu de compactes font mieux à ce chapitre. Et ça ne semble pas gêner une majorité d’acheteurs qui font de la Mazda, une des compactes les plus populaires au Canada.
photo:Luc Gagné
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