Par ailleurs, l’aménagement intérieur convient parfaitement aux acheteurs de ce type de voitures. Quatre adultes peuvent y prendre place confortablement. Et cela, sans compter l’insonorisation réussie, qui rend les trajets autoroutiers très agréables.
À l’avant, les sièges baquets sont moulants à souhait. De plus, le volant inclinable et télescopique permet au conducteur d’optimiser sa position de conduite, quel que soit son gabarit. Derrière, le dégagement pour les jambes et les pieds reste dans la moyenne. Les grandes personnes doivent simplement prévoir un dégagement un peu limité au niveau de la tête.
Le coffre, enfin, a un volume utile comparable à celui de ses rivales. Cependant, à l’instar de la Chevrolet Impala, il a une ouverture courte et étroite, et son seuil est très haut, ce qui ne facilite pas le chargement des gros colis.
Moteur quelconque...
Outre cet irritant, il y a l’étiquette « vroum-vroum » qui ne colle plus tout à fait, dans le cas du 4-cylindres du moins. Fort de ses 170 chevaux, il n’est pas moins puissant que le 4-cylindres de la Malibu, la Fusion et l’Altima. D’ailleurs, l’accélération de 0 à 100 que notre Mazda6 a accompli en 9,3 secondes se compare, à quelques dixièmes de secondes près, à ce dont seraient capables les rivales.
La version atmosphérique de la Hyundai Sonata 2011 montre, par ailleurs, ce qu’une voiture de cette catégorie peut accomplir avec le « bon » moteur, elle qui abat les 100 km/h 7,8 secondes.
Enfin, un match comparatif récent d’Auto123, qui opposait cette Mazda6 à certaines de ses rivales a mis en lumière un manque de rigidité de sa plateforme. Un irritant qu’on ne remarque pas sur les autoroutes (Dieu merci!), mais plutôt sur les petites routes en lacets de l’arrière-pays. Un signe que l’âge a rattrapé cette berline, qui se retrouve en manque de « vroum-vroum »...
À l’avant, les sièges baquets sont moulants à souhait. De plus, le volant inclinable et télescopique permet au conducteur d’optimiser sa position de conduite, quel que soit son gabarit. Derrière, le dégagement pour les jambes et les pieds reste dans la moyenne. Les grandes personnes doivent simplement prévoir un dégagement un peu limité au niveau de la tête.
Le coffre, enfin, a un volume utile comparable à celui de ses rivales. Cependant, à l’instar de la Chevrolet Impala, il a une ouverture courte et étroite, et son seuil est très haut, ce qui ne facilite pas le chargement des gros colis.
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| Le coffre a une ouverture étroite et courte tarée par un seuil élevé, comme le coffre de la Chevrolet Malibu. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Moteur quelconque...
Outre cet irritant, il y a l’étiquette « vroum-vroum » qui ne colle plus tout à fait, dans le cas du 4-cylindres du moins. Fort de ses 170 chevaux, il n’est pas moins puissant que le 4-cylindres de la Malibu, la Fusion et l’Altima. D’ailleurs, l’accélération de 0 à 100 que notre Mazda6 a accompli en 9,3 secondes se compare, à quelques dixièmes de secondes près, à ce dont seraient capables les rivales.
La version atmosphérique de la Hyundai Sonata 2011 montre, par ailleurs, ce qu’une voiture de cette catégorie peut accomplir avec le « bon » moteur, elle qui abat les 100 km/h 7,8 secondes.
Enfin, un match comparatif récent d’Auto123, qui opposait cette Mazda6 à certaines de ses rivales a mis en lumière un manque de rigidité de sa plateforme. Un irritant qu’on ne remarque pas sur les autoroutes (Dieu merci!), mais plutôt sur les petites routes en lacets de l’arrière-pays. Un signe que l’âge a rattrapé cette berline, qui se retrouve en manque de « vroum-vroum »...
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