Gourmande...
Le V6 n'est pas un modèle de sobriété; il affiche en effet une consommation de carburant moyenne qui gravite autour des 12 litres aux 100 kilomètres. Son réservoir de 67 litres impose des arrêts fréquents à la pompe. Qui plus est, ce moteur requiert un carburant de grade supérieur, contrairement au 4-cylindres atmosphérique de l'Eclipse GS, un moteur qui développe 100 chevaux de moins, c'est vrai.
Mais ça, on doit s'y attendre quand on choisit une sportive équipée d'un moteur de forte cylindrée. Après tout, la GT-P demeure nettement plus abordable qu'une Tesla à propulsion électrique...
Face à la Ford Mustang à moteur V6, l'Eclipse fait bonne figure. Surtout quand on prend place à bord. L'environnement n'a rien de rétro. L'habitacle a été conçu comme un gant ajusté : les sièges sont moulants à souhait et procurent un maintien apprécié dans les courbes; des sièges chauffants, de surcroît, et en équipement de série s'il vous plaît (même dans l'Eclipse GS). Bravo !
Basse!
La position de conduite est basse, et la garde au toit, très limitée (du moins pour un homme de plus de 1,80 mètre...).
Pour ce qui est des places arrière, oubliez-les. Considérez que l'Eclipse est un coupé 2+2. Cela signifie que les deux « cavités » qu'on trouve à quelques millimètres derrière les sièges baquets ne peuvent servir que d'espace de rangement pour vos bagages à main. Des amis à qui vous imposeriez de prendre place derrière ne resteraient pas des amis longtemps...
L'élégant tableau de bord réunit la batterie de commutateurs (de gros boutons faciles à repérer et à utiliser) à la portée du conducteur. De plus, ce dernier appréciera le repose-pied et la disposition du pédalier.
Amusante!!
La boîte de vitesses manuelle à 6 rapports offre un maniement précis et des rapports courts et bien étagés. Exclusive à l'Eclipse GT-P, elle a un levier court qui se manie un peu à la façon d'un joystick. Agréable !
Dommage qu'il y ait aussi peu d'espaces de rangement dans l'habitacle. On ne recense un vide-poche lilliputien dans chaque portière, un tout petit coffret dans la console centrale et une boîte à gants pas très volumineuse qui s'ouvre sur les genoux du passager.
Le V6 n'est pas un modèle de sobriété; il affiche en effet une consommation de carburant moyenne qui gravite autour des 12 litres aux 100 kilomètres. Son réservoir de 67 litres impose des arrêts fréquents à la pompe. Qui plus est, ce moteur requiert un carburant de grade supérieur, contrairement au 4-cylindres atmosphérique de l'Eclipse GS, un moteur qui développe 100 chevaux de moins, c'est vrai.
Mais ça, on doit s'y attendre quand on choisit une sportive équipée d'un moteur de forte cylindrée. Après tout, la GT-P demeure nettement plus abordable qu'une Tesla à propulsion électrique...
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| Un habitacle réussi qui sied bien à sa vocation sportive. |
Face à la Ford Mustang à moteur V6, l'Eclipse fait bonne figure. Surtout quand on prend place à bord. L'environnement n'a rien de rétro. L'habitacle a été conçu comme un gant ajusté : les sièges sont moulants à souhait et procurent un maintien apprécié dans les courbes; des sièges chauffants, de surcroît, et en équipement de série s'il vous plaît (même dans l'Eclipse GS). Bravo !
Basse!
La position de conduite est basse, et la garde au toit, très limitée (du moins pour un homme de plus de 1,80 mètre...).
Pour ce qui est des places arrière, oubliez-les. Considérez que l'Eclipse est un coupé 2+2. Cela signifie que les deux « cavités » qu'on trouve à quelques millimètres derrière les sièges baquets ne peuvent servir que d'espace de rangement pour vos bagages à main. Des amis à qui vous imposeriez de prendre place derrière ne resteraient pas des amis longtemps...
L'élégant tableau de bord réunit la batterie de commutateurs (de gros boutons faciles à repérer et à utiliser) à la portée du conducteur. De plus, ce dernier appréciera le repose-pied et la disposition du pédalier.
Amusante!!
La boîte de vitesses manuelle à 6 rapports offre un maniement précis et des rapports courts et bien étagés. Exclusive à l'Eclipse GT-P, elle a un levier court qui se manie un peu à la façon d'un joystick. Agréable !
Dommage qu'il y ait aussi peu d'espaces de rangement dans l'habitacle. On ne recense un vide-poche lilliputien dans chaque portière, un tout petit coffret dans la console centrale et une boîte à gants pas très volumineuse qui s'ouvre sur les genoux du passager.
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| L'angle de la lunette arrière réduit considérablement l'espace, déjà minimal, des passagers. |