Habitacle pour 2. Point.
L’intérieur est à l’image de la carrosserie : moderne et invitant. Bien entendu, il faut une petite dose de souplesse pour prendre place à bord : l’assise des sièges est basse. De plus, les longues portières, qui facilitent l’embarquement, compliquent les choses lorsque ce coupé se retrouve dans un espace de stationnement étroit. Ces portières sont lourdes aussi, chose que l’on constate lorsqu’on descend de la voiture dans une pente ascendante.
En revanche, les sièges habillés de cuir sont confortables et chauffants. Côté confort, il manque un peu d’espace à gauche de la pédale d’embrayage pour le pied gauche lorsqu’il est au repos.
Quelques irritants me viennent toutefois à l’esprit. Ils rappellent que le design de ce modèle de quatrième génération s’apparente largement à celui du modèle antérieur, qui remonte à l’an 2000. Je pense, entre autres, au volant inclinable qui n’est pas télescopique, aux rétroviseurs extérieurs trop petits et à l’absence d’une télécommande d’ouverture du hayon dans l’habitacle.
De plus, à moins d’avoir choisi l’intérieur « terra cotta sport » (beige), l’Eclipse est livrée avec un intérieur noir mur à mur. C’est sombre... Si encore la qualité des plastiques ne rappelait pas le Jeep Patriot 2007, ça pourrait passer. Mais voilà, ce n’est pas le cas.
L’insonorisation fait également défaut dans cet habitacle où l’on préférerait entendre seulement le son délectable du moteur, et pas le bruit de frottement des Goodyear Eagle RS-A sur le bitume! Bien sûr, lorsqu’on exploite à fond la chaîne audio Rockford Fosgate Premium de 650 watts montée de série, le bruit du bitume, on ne l’entend plus! Cela dit, une prise pour baladeurs serait appréciée...
Une vraie 2+2!
Derrière, il y a deux places pour des passagers... virtuels! L’Eclipse devrait être qualifiée de 2+2, non pas de 4-places comme le prétend le constructeur. De toute façon, ces réduits qualifiés de sièges, particulièrement difficiles d’accès, servent plus souvent qu’autrement à déposer une bourse ou des sacs d’emplettes.
En revanche, les dossiers rabattables des sièges arrière permettent de moduler l’aire à bagages. Le volume utile (455 litres normalement) triple, au moins. Le malheur, c’est de devoir surmonter le seuil élevé du coffre pour arriver à déposer les colis. Après tout, il est à 90 centimètres du sol, soit la hauteur de votre taille! De plus, le plancher de l’aire à bagages, lui, est 30 centimètres plus bas. Dur, dur pour le dos!!
Bref, on reconnaît là une sportive pour automobiliste extraverti. Pour ce consommateur, le côté pratique compte souvent moins que l’image que projette le véhicule. Ce coupé est indéniablement agréable à conduire. Mais dans un marché où les modèles du genre foisonnent désormais, l’Eclipse fait montre d’un recul sur la concurrence à plusieurs égards, qui ne pourra être surmonté qu’avec une refonte majeure.
photo:Matthieu Lambert
L’intérieur est à l’image de la carrosserie : moderne et invitant. Bien entendu, il faut une petite dose de souplesse pour prendre place à bord : l’assise des sièges est basse. De plus, les longues portières, qui facilitent l’embarquement, compliquent les choses lorsque ce coupé se retrouve dans un espace de stationnement étroit. Ces portières sont lourdes aussi, chose que l’on constate lorsqu’on descend de la voiture dans une pente ascendante.
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| Les sièges baquets sont confortables et moulants. |
En revanche, les sièges habillés de cuir sont confortables et chauffants. Côté confort, il manque un peu d’espace à gauche de la pédale d’embrayage pour le pied gauche lorsqu’il est au repos.
Quelques irritants me viennent toutefois à l’esprit. Ils rappellent que le design de ce modèle de quatrième génération s’apparente largement à celui du modèle antérieur, qui remonte à l’an 2000. Je pense, entre autres, au volant inclinable qui n’est pas télescopique, aux rétroviseurs extérieurs trop petits et à l’absence d’une télécommande d’ouverture du hayon dans l’habitacle.
De plus, à moins d’avoir choisi l’intérieur « terra cotta sport » (beige), l’Eclipse est livrée avec un intérieur noir mur à mur. C’est sombre... Si encore la qualité des plastiques ne rappelait pas le Jeep Patriot 2007, ça pourrait passer. Mais voilà, ce n’est pas le cas.
L’insonorisation fait également défaut dans cet habitacle où l’on préférerait entendre seulement le son délectable du moteur, et pas le bruit de frottement des Goodyear Eagle RS-A sur le bitume! Bien sûr, lorsqu’on exploite à fond la chaîne audio Rockford Fosgate Premium de 650 watts montée de série, le bruit du bitume, on ne l’entend plus! Cela dit, une prise pour baladeurs serait appréciée...
Une vraie 2+2!
Derrière, il y a deux places pour des passagers... virtuels! L’Eclipse devrait être qualifiée de 2+2, non pas de 4-places comme le prétend le constructeur. De toute façon, ces réduits qualifiés de sièges, particulièrement difficiles d’accès, servent plus souvent qu’autrement à déposer une bourse ou des sacs d’emplettes.
En revanche, les dossiers rabattables des sièges arrière permettent de moduler l’aire à bagages. Le volume utile (455 litres normalement) triple, au moins. Le malheur, c’est de devoir surmonter le seuil élevé du coffre pour arriver à déposer les colis. Après tout, il est à 90 centimètres du sol, soit la hauteur de votre taille! De plus, le plancher de l’aire à bagages, lui, est 30 centimètres plus bas. Dur, dur pour le dos!!
Bref, on reconnaît là une sportive pour automobiliste extraverti. Pour ce consommateur, le côté pratique compte souvent moins que l’image que projette le véhicule. Ce coupé est indéniablement agréable à conduire. Mais dans un marché où les modèles du genre foisonnent désormais, l’Eclipse fait montre d’un recul sur la concurrence à plusieurs égards, qui ne pourra être surmonté qu’avec une refonte majeure.
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| Les mélomanes apprécieront la puissante chaîne audio Rockford Fosgate Premium de 650 watts. |
photo:Matthieu Lambert
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