Finalement, ils arrivent. On a attendu des années pour que les véhicules électriques se retrouvent en concession, et dans les prochains quelques mois, on en recevra cinq : la Chevrolet Volt, la Nissan Leaf, la Ford Focus Electric, le Ford Transit Connect Electric ainsi que le sujet de cet essai, la diminutive i-MiEV de Mitsubishi.
On tient à préciser que nous sommes toujours en amour avec les bons vieux moteurs à combustion, spécialement ceux comptant 8 cylindres et les lettres HEMI ou AMG gravées sur leurs couvercles de soupapes. Pourtant nous savons très bien qu’on doit réduire notre dépendance envers le pétrole, et l’introduction de véhicules électriques représente un pas dans la bonne direction.
On est surtout curieux de voir la réaction du public face aux voitures qui doivent être branchées et qui ne peuvent rouler qu’un certain nombre de kilomètres avant de nécessiter une recharge. Mitsubishi nous a offert une i-MiEV 2011 européenne pour un court essai, une occasion à ne pas refuser.
La version canadienne en vente dans quelques mois, une 2012, subira quelques changements cosmétiques, incluant des nouveaux pare-chocs, feux arrière et autres détails de finition. À l’intérieur, la console centrale redessinée profitera d’une meilleure apparence, alors que la chaîne audio ou le système de navigation optionnel seront mieux intégrés, contrairement à la radio installée dans notre voiture d’essai. Les panneaux de porte ainsi que les sièges gagneront légèrement en largeur.
Le plan était simple : on ramasse la i-MiEV le lundi matin et on la retourne le mardi dans l’après-midi.
Attendez un peu—la ramasser chez le concessionnaire, la ramener au bureau, sortir pour dîner, aller prendre des photos, et retourner à la maison après la journée de travail. Ce parcours devait s’accomplir sur une seule charge, puisque chez Auto123.com, on n’a pas encore une borne de recharge (mais on travaille là-dessus).
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| La version canadienne de la i-MiEV sera offerte à partir du mois de novembre. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
On tient à préciser que nous sommes toujours en amour avec les bons vieux moteurs à combustion, spécialement ceux comptant 8 cylindres et les lettres HEMI ou AMG gravées sur leurs couvercles de soupapes. Pourtant nous savons très bien qu’on doit réduire notre dépendance envers le pétrole, et l’introduction de véhicules électriques représente un pas dans la bonne direction.
On est surtout curieux de voir la réaction du public face aux voitures qui doivent être branchées et qui ne peuvent rouler qu’un certain nombre de kilomètres avant de nécessiter une recharge. Mitsubishi nous a offert une i-MiEV 2011 européenne pour un court essai, une occasion à ne pas refuser.
La version canadienne en vente dans quelques mois, une 2012, subira quelques changements cosmétiques, incluant des nouveaux pare-chocs, feux arrière et autres détails de finition. À l’intérieur, la console centrale redessinée profitera d’une meilleure apparence, alors que la chaîne audio ou le système de navigation optionnel seront mieux intégrés, contrairement à la radio installée dans notre voiture d’essai. Les panneaux de porte ainsi que les sièges gagneront légèrement en largeur.
Le plan était simple : on ramasse la i-MiEV le lundi matin et on la retourne le mardi dans l’après-midi.
Attendez un peu—la ramasser chez le concessionnaire, la ramener au bureau, sortir pour dîner, aller prendre des photos, et retourner à la maison après la journée de travail. Ce parcours devait s’accomplir sur une seule charge, puisque chez Auto123.com, on n’a pas encore une borne de recharge (mais on travaille là-dessus).
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| Puisqu’il n’y avait aucune place de stationnement de disponible autour du bureau près d’une prise de courant, nous avons promptement stationné la i-MiEV à l’intérieur de l’édifice pour la brancher. (Photo: Auto123.com) |