Une autre raison pour laquelle la Mustang équipée du V6 est si vive à réagir près des panneaux d'arrêt a quelque chose à voir avec sa
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| Avec les 210 chevaux et 240 livres-pied de couple du moteur V6 de 4 litres à SACT, ma voiture d'essai offrait une conduite sous le soleil remplie de plaisir. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press) |
transmission automatique à cinq vitesses, qui procure performance et économie d'essence grâce à des intervalles de changement de rapport réduits, et une meilleure opportunité pour le moteur de tourner dans sa meilleure zone - ou plus spécifiquement, dans la gamme de révolution où il produit le plus de puissance et le plus de couple. Je ne vais pas trop loin en disant que la boîte automatique à cinq vitesses de la Mustang est l'automatique à cinq rapports la plus douce et la plus raffinée sur le marché, et malgré qu'elle ne soit équipée de quelque mode de changement de rapport manuel que ce soit - ce qui est un manque évident, elle fait quand même beaucoup pour rendre la voiture plus compétitive face aux modèles sport asiatiques et européens, lesquels offrent des transmissions automatiques à cinq, six, et même maintenant sept vitesses - ces dernières seulement parmi les voitures les plus prestigieuses.
Évidemment, si vous voulez obtenir le plus de performances possible du V6 de 4 litres, ne choisissez pas de transmission optionnelle du tout. La
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| Alexandre Tagliani était avec nous pour la portion sur piste de l'événement Mustang, pour laquelle on ne retrouvait que des modèles GT à moteur V8 de 300 chevaux. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press) |
boîte manuelle à cinq rapports de la Mustang est une boîte joliment bien assortie, idéale pour une conduite inspirée. Elle serait mon choix, mais je crois que je suis en minorité, ici. Même Alexandre Tagliani, le fameux pilote de la série Champ Car et de la course Indy 500, qui était avec nous à l'événement, grâce à son fournisseur de moteurs, Ford, pour ne pas le nommer, débattait avec véhémence de ce sujet avec sa ravissante épouse Bronte lors du dîner. Ironiquement, elle voulait une manuelle, mais lui, ne voulait pas avoir à changer les rapports lui-même au retour à la maison, après une dure journée de travail sur la piste. Qui pourrait le blâmer, après les incomptables "changements de vitesses" qu'il fait pendant une journée au bureau?
Donc, Alex était avec nous pour la portion sur piste de l'événement Mustang, pour laquelle on ne retrouvait que des modèles GT à moteur V8
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| Alexandre Tagliani offrait ses services pour un tour, ou trois, à vous décoiffer. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press) |
de 300 chevaux, nous démontrant les bénéfices du débattement vertical de la suspension lorsque l'on roule sur les nombreuses bosselures du circuit, comment aligner la voiture pour exécuter le meilleur tour, ou encore mieux, offrant ses services pour un tour, ou trois, à vous décoiffer. Toujours volontaire, mais rarement capable, j'ai pris ses conseils aussi bien que ces quelques rapides tours de piste, et profité totalement du fait d'être avec lui lorsqu'il a fait glisser l'arrière pour faire d'une série de virages en épingle un jeu d'enfant. Défiant les lois de la physique, il a fait tourner la Mustang sur elle-même plus rapidement que ne le ferait même un politicien magnanime qui plaquerait son parti pour un siège au cabinet... bon, ça y est, je suis retombé dans la politique, encore une fois. Désolé.
Entre les mains de quelqu'un qui a un tel talent, et je parle d'Alex, ici, les capacités de la Mustang comme voiture de piste sont toutes devenues
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| J'ai trouvé bien peu de différence entre le coupé et la décapotable lors de la prise de virages, à part l'obligation de porter un casque quand je roulais dans la décapotable. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press) |
trop évidentes. Mais ce qui pourrait être plus important pour les conducteurs de tous les jours serait de savoir comment la voiture se comporte à très haute vitesse avec un scribe comme moi derrière le volant. Très bien, merci. En fait, j'ai trouvé bien peu de différence entre le coupé et la décapotable lors de la prise de virages, à part l'obligation de porter un casque quand je roulais dans la décapotable, obligation que je n'avais pas dans le coupé, et la turbulence du vent qui, quoique difficilement notable à des vitesses normales de route, se faisait beaucoup plus remarquer à 200 km/h et plus.
