Les dirigeants de NASCAR aimeraient bien que leurs pilotes s'autodisciplinent un peu. Ils veulent bien leur laisser un peu de liberté, mais cela ne doit pas dépasser les bornes.
Le président de NASCAR, Mike Helton, a annoncé mardi que le pilote Carl Edwards (photo) était placé sous probation pour les trois prochaines courses, mais qu'il n'y aurait aucune amende ou perte de points d'imposées.
Edwards s'est vengé en fin de course du geste qu'avait posé plus tôt dans l'épreuve du Atlanta 500 son rival, Brad Keselowski. Dans ce premier contact, la voiture d'Edwards avait été endommagée, et 150 tours avaient été nécessaires pour effectuer les réparations.
Revenu en piste, Edwards n'a pas hésité à se venger, poussant la voiture de Keselowski, en dérapage qui s'est transformé en décollage.
" Voir la voiture 12 dans les airs est beaucoup plus grave que tout le reste, " de dire Helton.
" Nous prenons le geste de Carl au sérieux, mais une voiture qui s'envole sur un ovale de 1,5 mille est inquiétant. Cela faisait des années que nous n'avions pas vu cela… "
Le président a poursuivi : " Nous avons été très clairs. Ces gestes ne sont pas acceptables et dépassent ce que nous avons dit aux pilotes en janvier à propos de leur laisser un peu plus de liberté en piste. Nous croyons qu'il (Edwards) a compris notre position sur ce point. "
" Si une rivalité dépasse les limites de la course, les protagonistes devront trouver une façon de régler le problème avant d'assister à ce qu'on a vu le week-end dernier, " de poursuivre Helton.
" Il y a une ligne à ne pas franchir. Si cela survient, nous n'hésiterons pas à intervenir et maintenir l'ordre ".
Le président de NASCAR, Mike Helton, a annoncé mardi que le pilote Carl Edwards (photo) était placé sous probation pour les trois prochaines courses, mais qu'il n'y aurait aucune amende ou perte de points d'imposées.
Edwards s'est vengé en fin de course du geste qu'avait posé plus tôt dans l'épreuve du Atlanta 500 son rival, Brad Keselowski. Dans ce premier contact, la voiture d'Edwards avait été endommagée, et 150 tours avaient été nécessaires pour effectuer les réparations.
Revenu en piste, Edwards n'a pas hésité à se venger, poussant la voiture de Keselowski, en dérapage qui s'est transformé en décollage.
" Voir la voiture 12 dans les airs est beaucoup plus grave que tout le reste, " de dire Helton.
" Nous prenons le geste de Carl au sérieux, mais une voiture qui s'envole sur un ovale de 1,5 mille est inquiétant. Cela faisait des années que nous n'avions pas vu cela… "
Le président a poursuivi : " Nous avons été très clairs. Ces gestes ne sont pas acceptables et dépassent ce que nous avons dit aux pilotes en janvier à propos de leur laisser un peu plus de liberté en piste. Nous croyons qu'il (Edwards) a compris notre position sur ce point. "
" Si une rivalité dépasse les limites de la course, les protagonistes devront trouver une façon de régler le problème avant d'assister à ce qu'on a vu le week-end dernier, " de poursuivre Helton.
" Il y a une ligne à ne pas franchir. Si cela survient, nous n'hésiterons pas à intervenir et maintenir l'ordre ".