Une voiture, un conducteur
Il est plus qu’évident cette fois que Nissan a voulu offrir au conducteur de la Z un environnement sans reproche, tout entier destiné à le satisfaire. Le tableau de bord et ses cadrans sont clairement orientés vers le conducteur pour en maximiser la consultation sans trop de détour.
Petit (et même gros) bémol, le volant redessiné a un look du plus bel effet, mais sa plus large structure ne facilite en rien la lecture des cadrans, et il faut quelques manœuvres osées pour parvenir à consulter le compteur journalier en conduisant par exemple.
Une note toute positive cependant pour la finition impeccable de l’intérieur, où cuir et suède se succèdent avec bonheur. Et même son de cloche pour la qualité des sièges, enveloppants à souhait, et munis d’un système de chauffage et de ventilation plutôt efficace.
Notons qu’au Canada, la seule version Touring avec sellerie de cuir sera offerte, laissant aux autres pays les modèles en tissu. Et les options sont peu nombreuses : une option Groupe Sport qui ajoute des pneus de 19 pouces et un système SynchroRev qui permet de réaliser des talons pointe comme les pilotes avec la boîte manuelle; et la version Navi, qui inclut le groupe sport et ajoute un système de navigation, et quelques gadgets électroniques.
Mécanique adaptée
Sous le capot de cette nouvelle Z se retrouve le même moteur 3,7 litres qui équipe la Coupé et la G37. Au total, une cavalerie de 336 chevaux qui se déchaîne avec aisance et souplesse, et avec une sonorité agréable, bien que parfois assez peu présente.
En fait, une fois le toit en place, l’habitacle est presque totalement silencieux, ne laissant place qu’aux bruits de pneus sur la chaussée, qui eux, malheureusement, sont fortement présents. Mais de la mécanique, aucun signe ou si peu.
Elle est jumelée à une boîte de vitesses 6 rapports manuelle précise et qui se prend bien en main. Équipée du Synchro Rev, les rétrogradations se font avec un petit ronron que l’on assimile davantage aux pilotes de course qu’à mon type de conduite habituelle, mais il permet de réaccélérer au bon moment, sans perte de puissance. Génial petit coup de mécanique! Les changements de vitesse se font avec une petite sensation mécanique agréable à la prise en main, et qui donne au pilote une impression de contrôle plus grande.
Il est plus qu’évident cette fois que Nissan a voulu offrir au conducteur de la Z un environnement sans reproche, tout entier destiné à le satisfaire. Le tableau de bord et ses cadrans sont clairement orientés vers le conducteur pour en maximiser la consultation sans trop de détour.
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| Le tableau de bord et ses cadrans sont clairement orientés. |
Petit (et même gros) bémol, le volant redessiné a un look du plus bel effet, mais sa plus large structure ne facilite en rien la lecture des cadrans, et il faut quelques manœuvres osées pour parvenir à consulter le compteur journalier en conduisant par exemple.
Une note toute positive cependant pour la finition impeccable de l’intérieur, où cuir et suède se succèdent avec bonheur. Et même son de cloche pour la qualité des sièges, enveloppants à souhait, et munis d’un système de chauffage et de ventilation plutôt efficace.
Notons qu’au Canada, la seule version Touring avec sellerie de cuir sera offerte, laissant aux autres pays les modèles en tissu. Et les options sont peu nombreuses : une option Groupe Sport qui ajoute des pneus de 19 pouces et un système SynchroRev qui permet de réaliser des talons pointe comme les pilotes avec la boîte manuelle; et la version Navi, qui inclut le groupe sport et ajoute un système de navigation, et quelques gadgets électroniques.
Mécanique adaptée
Sous le capot de cette nouvelle Z se retrouve le même moteur 3,7 litres qui équipe la Coupé et la G37. Au total, une cavalerie de 336 chevaux qui se déchaîne avec aisance et souplesse, et avec une sonorité agréable, bien que parfois assez peu présente.
En fait, une fois le toit en place, l’habitacle est presque totalement silencieux, ne laissant place qu’aux bruits de pneus sur la chaussée, qui eux, malheureusement, sont fortement présents. Mais de la mécanique, aucun signe ou si peu.
Elle est jumelée à une boîte de vitesses 6 rapports manuelle précise et qui se prend bien en main. Équipée du Synchro Rev, les rétrogradations se font avec un petit ronron que l’on assimile davantage aux pilotes de course qu’à mon type de conduite habituelle, mais il permet de réaccélérer au bon moment, sans perte de puissance. Génial petit coup de mécanique! Les changements de vitesse se font avec une petite sensation mécanique agréable à la prise en main, et qui donne au pilote une impression de contrôle plus grande.
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| Sous le capot de cette nouvelle Z se retrouve le même moteur 3,7 litres qui équipe la Coupé et la G37. |