Viennent ensuite, dans l'ordre, la GT et la GTP, qui utilisent les bons et loyaux services de l'increvable V6 3800, dont l'ancienneté n'a d'égale que la compétence. Bon pour 200 chevaux, il démontre une certaine vigueur, pour devenir franchement agressif lorsqu'on lui greffe un compresseur. L'opération se traduit par un gain de 40 chevaux. La GTP, qui jouit de l'exclusivité de ce V6 suralimenté, peut ainsi se targuer d'offrir un rapport prix/performances sans égal dans cette catégorie.
Sur une note plus rationnelle, la Grand Prix, qui se décline en deux configurations (coupé et berline), accueille ses occupants dans un environnement spacieux, confortable et fonctionnel. Avec ses commandes à portée de la main et ses nombreux espaces de rangement, son habitacle obtient de bonnes notes au chapitre de l'ergonomie. À l'avant, les sièges se placent eux aussi à l'abri des reproches, tout comme la banquette arrière. Si seulement il y avait un peu moins de cet affreux plastique qui sévit chez GM, et si le tableau de bord faisait moins « bébelle », cela ne donnerait que plus d'attrait, de prestance même, à cette voiture qui souffre d'un problème d'image.
Sur une note plus rationnelle, la Grand Prix, qui se décline en deux configurations (coupé et berline), accueille ses occupants dans un environnement spacieux, confortable et fonctionnel. Avec ses commandes à portée de la main et ses nombreux espaces de rangement, son habitacle obtient de bonnes notes au chapitre de l'ergonomie. À l'avant, les sièges se placent eux aussi à l'abri des reproches, tout comme la banquette arrière. Si seulement il y avait un peu moins de cet affreux plastique qui sévit chez GM, et si le tableau de bord faisait moins « bébelle », cela ne donnerait que plus d'attrait, de prestance même, à cette voiture qui souffre d'un problème d'image.
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