Nouveau museau, nouvelle croupe
Il ne s'agit là que de deux modèles parmi la vaste gamme de 911. Pour 2009, ils ont tous vu leurs carénages avant et arrière subtilement redessinés et ont hérité de nouvelles commodités, dont d'excellentes radio et interface musicale.
La silhouette intemporelle et constante est maintenant accentuée de phares de jour à DEL et de projecteurs au xénon qui lui confèrent un air moderne. Ces derniers sont munis de lave-phares et offrent un éclairage nocturne exceptionnel qui miroite sur les branches couvertes de givre. On dirait un million de flashes de photographes, ce qui est approprié au look racé de ma 911.
Un moteur rugissant et efficace
Les plus importantes mises à jour de la 911 ont été effectuées sous la carrosserie arrière. Il s'agit principalement d'une nouvelle version à injection directe du six cylindres à plat de 3,6 litres de Porsche, ainsi que de l'imprononçable boîte de vitesses « Porsche Doppelkupplungsgetriebe ». De grâce, appelez-la PDK.
Il s'agit d'une boîte à double embrayage, mais ce qui est important de retenir c'est que cette boîte de 5 560 $ assure la transmission ininterrompue de la puissance aux rapports à l'aide d'un bouton. Elle n'est pas la plus rapide de son genre, mais s'avère néanmoins très régulière et divertissante.
Mon modèle d'essai jumelait la PDK à des technologies d'injection directe afin de produire 345 chevaux déployés à l'aide de sept rapports commandés du bout des doigts.
La puissance? Inexorable. La suavité? Par excellence. Le son? Un léger bourdonnement s'accentuant progressivement en un hurlement féroce capable de faire fondre les bonshommes de neige.
La consommation? Excellente. J'ai réussi moins de 10 litres aux 100 kilomètres en moyenne, ce qui est impressionnant pour une machine qui peut nous river à notre siège à longueur de journée.
La puissance est livrée rapidement à bas régime, s'accentuant d'un coup lorsque l'aiguille approche la ligne rouge. La courbe de puissance est énergisante, même si le moteur reste presque muet lorsqu'on conduit doucement dans la neige.
Il ne s'agit là que de deux modèles parmi la vaste gamme de 911. Pour 2009, ils ont tous vu leurs carénages avant et arrière subtilement redessinés et ont hérité de nouvelles commodités, dont d'excellentes radio et interface musicale.
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| Les plus importantes mises à jour de la 911 ont été effectuées sous la carrosserie arrière. |
La silhouette intemporelle et constante est maintenant accentuée de phares de jour à DEL et de projecteurs au xénon qui lui confèrent un air moderne. Ces derniers sont munis de lave-phares et offrent un éclairage nocturne exceptionnel qui miroite sur les branches couvertes de givre. On dirait un million de flashes de photographes, ce qui est approprié au look racé de ma 911.
Un moteur rugissant et efficace
Les plus importantes mises à jour de la 911 ont été effectuées sous la carrosserie arrière. Il s'agit principalement d'une nouvelle version à injection directe du six cylindres à plat de 3,6 litres de Porsche, ainsi que de l'imprononçable boîte de vitesses « Porsche Doppelkupplungsgetriebe ». De grâce, appelez-la PDK.
Il s'agit d'une boîte à double embrayage, mais ce qui est important de retenir c'est que cette boîte de 5 560 $ assure la transmission ininterrompue de la puissance aux rapports à l'aide d'un bouton. Elle n'est pas la plus rapide de son genre, mais s'avère néanmoins très régulière et divertissante.
Mon modèle d'essai jumelait la PDK à des technologies d'injection directe afin de produire 345 chevaux déployés à l'aide de sept rapports commandés du bout des doigts.
La puissance? Inexorable. La suavité? Par excellence. Le son? Un léger bourdonnement s'accentuant progressivement en un hurlement féroce capable de faire fondre les bonshommes de neige.
La consommation? Excellente. J'ai réussi moins de 10 litres aux 100 kilomètres en moyenne, ce qui est impressionnant pour une machine qui peut nous river à notre siège à longueur de journée.
La puissance est livrée rapidement à bas régime, s'accentuant d'un coup lorsque l'aiguille approche la ligne rouge. La courbe de puissance est énergisante, même si le moteur reste presque muet lorsqu'on conduit doucement dans la neige.
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| Elle n'est pas la plus rapide de son genre, mais s'avère néanmoins très régulière et divertissante. |