Éthanol Greenfield et Enerkem ont conclu une entente de principe en vertu de laquelle elles produiront de l'éthanol cellulosique sur une échelle commerciale. En accroissant la production d'éthanol cellulosique, un nouveau biocarburant, les deux entreprises offriront aux consommateurs canadiens une solution de rechange aux combustibles fossiles peu coûteuse et respectueuse de l'environnement.
Éthanol Greenfield et Enerkem travailleront de concert à des projets répartis de façon spécifique choisies et assureront la conception, la construction ainsi que l'exploitation d'usines d'éthanol cellulosique fabriqué à partir de la technologie d'Enerkem. Le choix de l'emplacement de la première usine est fait, mais les autorités des deux entreprises ne le feront connaître que dans quelques semaines. On est même en train de développer une seconde usine.
Grâce à sa technologie, Enerkem transforme la biomasse, les déchets solides municipaux et les résidus forestiers notamment, en biocarburant comme l'éthanol cellulosique, le gaz de synthèse et le méthanol. Ce faisant, on éliminera plus de deux tonnes de GES par tonne de matière utilisée dans le procédé de transformation. Pour être plus précis, grâce à l'éthanol cellulosique, on peut réduire les GES de 87 %. Pour conclure, disons que, d'ici 2010, le gouvernement du Canada vise à intégrer 5 % d'éthanol à l'essence que les pétrolières vendront; C'est comme si on retirait annuellement un million de véhicules des routes du pays.
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Éthanol Greenfield et Enerkem travailleront de concert à des projets répartis de façon spécifique choisies et assureront la conception, la construction ainsi que l'exploitation d'usines d'éthanol cellulosique fabriqué à partir de la technologie d'Enerkem. Le choix de l'emplacement de la première usine est fait, mais les autorités des deux entreprises ne le feront connaître que dans quelques semaines. On est même en train de développer une seconde usine.
Grâce à sa technologie, Enerkem transforme la biomasse, les déchets solides municipaux et les résidus forestiers notamment, en biocarburant comme l'éthanol cellulosique, le gaz de synthèse et le méthanol. Ce faisant, on éliminera plus de deux tonnes de GES par tonne de matière utilisée dans le procédé de transformation. Pour être plus précis, grâce à l'éthanol cellulosique, on peut réduire les GES de 87 %. Pour conclure, disons que, d'ici 2010, le gouvernement du Canada vise à intégrer 5 % d'éthanol à l'essence que les pétrolières vendront; C'est comme si on retirait annuellement un million de véhicules des routes du pays.