Si les versions à motorisation diesel pêchaient par leur lenteur à réchauffer l'habitacle, cette version à essence s'en tire à très bon compte. Avec les écarts de température de la semaine, je lui donne 9 sur 10. Les espaces de rangement sont modestes, mais j'ai bien aimé les deux petits plateaux placés de chaque côté du volant. On doit porter une attention pour déposer un gobelet de café dans les porte-gobelet placés sur le plancher. On peut aisément glisser un sac à l'arrière des bancs ou dans le coffre, même assis. En parlant de coffre, je maintiens que son volume (en version coupé) est approprié pour les courses ou pour partir en week-end. Le coffre ne se déverrouille qu'au moyen de la clef : une fois le hayon vitré supérieur ouvert, on peut rabattre le battant.
Au volant
Ma seule critique va au volant qui n'offre aucun réglage en hauteur. Les cadrans et les commandes bien placés et faciles à manipuler rendent le travail amusant. Les essuie-glaces avant et arrière assurent une très bonne visibilité, même dans une tempête de neige. À ce chapitre, son seul défaut, c'est l'accès au lave-glace : il faut démonter le capot avant pour accéder au goulot trop petit du réservoir. Ça, mesdames et messieurs, ça vous fera tempêter, avec raison. Je ne comprends pas les ingénieurs et les concepteurs de ne pas avoir créer une petite trappe (comme la trappe à essence, par exemple) bien intégrée au capot pour simplifier l'accès.
On vit en hiver ici et l'on a besoin de liquide en quantité industrielle quand il neige ou qu'il grésille. Le réservoir a une bonne contenance, c'est son accès qui est idiot. Anecdote amusante : j'ai dû me rendre dans un concessionnaire (smart Laval) pour me faire expliquer comment faire le plein de lave-glace. C'est avec gentillesse que le préposé m'a montré comment. Il faut déclencher deux crochets dans la calandre (attention aux ongles et aux éraflures des doigts), tirer doucement le capot, le déposer contre le pare-chocs et voilà, vous êtes prêt à verser le précieux liquide : munissez-vous d'un entonnoir, car le goulot est trop petit pour y verser nos fameux contenant de 4 litres sans en verser la moitié à côté. Puis vous repositionnez le capot et réenclenchez les crochets. Pendant que mon préposé me faisait aimablement et gracieusement le plein, j'ai dépanné un propriétaire de Classe B qui ne savait pas lui non plus comment ouvrir son capot et y verser son lave-glace. Ça, je le savais. Donnant, donnant : nous avons bien ri tous les trois.
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| Bien des gens m'ont fait la remarque qu'ils auraient peur de conduire la smart parce qu'elle est petite. |
Au volant
Ma seule critique va au volant qui n'offre aucun réglage en hauteur. Les cadrans et les commandes bien placés et faciles à manipuler rendent le travail amusant. Les essuie-glaces avant et arrière assurent une très bonne visibilité, même dans une tempête de neige. À ce chapitre, son seul défaut, c'est l'accès au lave-glace : il faut démonter le capot avant pour accéder au goulot trop petit du réservoir. Ça, mesdames et messieurs, ça vous fera tempêter, avec raison. Je ne comprends pas les ingénieurs et les concepteurs de ne pas avoir créer une petite trappe (comme la trappe à essence, par exemple) bien intégrée au capot pour simplifier l'accès.
On vit en hiver ici et l'on a besoin de liquide en quantité industrielle quand il neige ou qu'il grésille. Le réservoir a une bonne contenance, c'est son accès qui est idiot. Anecdote amusante : j'ai dû me rendre dans un concessionnaire (smart Laval) pour me faire expliquer comment faire le plein de lave-glace. C'est avec gentillesse que le préposé m'a montré comment. Il faut déclencher deux crochets dans la calandre (attention aux ongles et aux éraflures des doigts), tirer doucement le capot, le déposer contre le pare-chocs et voilà, vous êtes prêt à verser le précieux liquide : munissez-vous d'un entonnoir, car le goulot est trop petit pour y verser nos fameux contenant de 4 litres sans en verser la moitié à côté. Puis vous repositionnez le capot et réenclenchez les crochets. Pendant que mon préposé me faisait aimablement et gracieusement le plein, j'ai dépanné un propriétaire de Classe B qui ne savait pas lui non plus comment ouvrir son capot et y verser son lave-glace. Ça, je le savais. Donnant, donnant : nous avons bien ri tous les trois.
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| Il faut démonter le capot avant pour accéder au goulot trop petit du réservoir de lave-glace. |