Peur, quelle peur ?
Bien des gens m'ont fait la remarque qu'ils auraient peur de conduire la smart parce qu'elle est petite. Et bien faites-en l'essai. Elle roule calmement à plus de 120 km/h sur les autoroutes. Elle accélère aussi rapidement que les autres sous-compactes grâce à son nouveau moteur à essence et à sa nouvelle boîte de vitesses automatique. Les freinages sont excellents et en ligne droite. Pour les amateurs, j'ai noté le 0 à 100 km/h en 11,8 secondes sur le mode automatique et en 11,3 sur le mode manuel en utilisant les leviers de sélection. Au freinage, malgré une pression spongieuse de la pédale, j'ai obtenu une très belle moyenne de 36 mètres pour un arrêt de 100 à 0 km/h, et ce, avec des pneus Contiwinter à -7 degrés Celsius. Sur le sec en été, on se rapprochera des 32 mètres, ce qui est fameux.
Dans la neige, le système de contrôle de la stabilité fait des merveilles : sans être trop intrusif, il permet de s'aventurer en toute confiance sur les routes glissantes et enneigées. Le tout à l'arrière (moteur et motricité) convient bien à nos conditions hivernales. Mais cette configuration rend l'avant plus léger et demande qu'on aborde les virages sur des surfaces mouillées ou glissantes avec plus de circonspection : il faut lever le pied pour que l'avant morde. Normalement, l'arrière pourrait chercher à chasser, mais dès qu'il cherche à le faire, le système de contrôle de la stabilité le ramène à l'ordre en un rien de temps, pour une conduite sûre.
Et le vent ?
Oui, le vent, il faut en tenir compte et garder les deux mains sur le volant. J'ai conduit par une journée de grands vents et, en bon essayeur, je me suis lancé sur les autoroutes pour voir ce qu'il en était. Oui, quand une bourrasque vous frappe de côté sans prévenir, la smart s'ébranle, comme tout autre petite voiture ou toute fourgonnette offrant une surface latérale imposante. J'ai levé le pied, et elle s'est contentée de me dire merci et de bien tenir la route. J'aurais fait de même avec une Accent ou une Yaris. Donc, quand on croise un semi-remorque ou qu'on sort d'un viaduc, il faut prévoir cette éventualité.
Les sursauts de la boîte de vitesses
Ce nouveau tandem moteur à essence et boîte de vitesses automatique permet de bien se faufiler en circulation urbaine, notamment avec ses deux premiers rapports qui sont longs. Mais pour en tirer une conduite en douceur, il faut apprendre à utiliser la boîte et les tours-minute pour bien passer les rapports sans à-coup. C'est pourquoi l'option du compte-tours monté au tableau de bord est essentielle et, de surcroît, peu coûteuse. On peut utiliser trois modes de passage des rapports : automatique avec le mode D, passages à l'aide du levier central et, enfin, à l'aide des leviers de sélection placés derrière le volant. À force de jouer avec ces trois modes, je suis parvenu à passer les rapports assez doucement. J'utilisais la plage de 3200/3500 tr/min pour y parvenir.
Bien des gens m'ont fait la remarque qu'ils auraient peur de conduire la smart parce qu'elle est petite. Et bien faites-en l'essai. Elle roule calmement à plus de 120 km/h sur les autoroutes. Elle accélère aussi rapidement que les autres sous-compactes grâce à son nouveau moteur à essence et à sa nouvelle boîte de vitesses automatique. Les freinages sont excellents et en ligne droite. Pour les amateurs, j'ai noté le 0 à 100 km/h en 11,8 secondes sur le mode automatique et en 11,3 sur le mode manuel en utilisant les leviers de sélection. Au freinage, malgré une pression spongieuse de la pédale, j'ai obtenu une très belle moyenne de 36 mètres pour un arrêt de 100 à 0 km/h, et ce, avec des pneus Contiwinter à -7 degrés Celsius. Sur le sec en été, on se rapprochera des 32 mètres, ce qui est fameux.
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| Le tout à l'arrière (moteur et motricité) convient bien à nos conditions hivernales. |
Dans la neige, le système de contrôle de la stabilité fait des merveilles : sans être trop intrusif, il permet de s'aventurer en toute confiance sur les routes glissantes et enneigées. Le tout à l'arrière (moteur et motricité) convient bien à nos conditions hivernales. Mais cette configuration rend l'avant plus léger et demande qu'on aborde les virages sur des surfaces mouillées ou glissantes avec plus de circonspection : il faut lever le pied pour que l'avant morde. Normalement, l'arrière pourrait chercher à chasser, mais dès qu'il cherche à le faire, le système de contrôle de la stabilité le ramène à l'ordre en un rien de temps, pour une conduite sûre.
Et le vent ?
Oui, le vent, il faut en tenir compte et garder les deux mains sur le volant. J'ai conduit par une journée de grands vents et, en bon essayeur, je me suis lancé sur les autoroutes pour voir ce qu'il en était. Oui, quand une bourrasque vous frappe de côté sans prévenir, la smart s'ébranle, comme tout autre petite voiture ou toute fourgonnette offrant une surface latérale imposante. J'ai levé le pied, et elle s'est contentée de me dire merci et de bien tenir la route. J'aurais fait de même avec une Accent ou une Yaris. Donc, quand on croise un semi-remorque ou qu'on sort d'un viaduc, il faut prévoir cette éventualité.
Les sursauts de la boîte de vitesses
Ce nouveau tandem moteur à essence et boîte de vitesses automatique permet de bien se faufiler en circulation urbaine, notamment avec ses deux premiers rapports qui sont longs. Mais pour en tirer une conduite en douceur, il faut apprendre à utiliser la boîte et les tours-minute pour bien passer les rapports sans à-coup. C'est pourquoi l'option du compte-tours monté au tableau de bord est essentielle et, de surcroît, peu coûteuse. On peut utiliser trois modes de passage des rapports : automatique avec le mode D, passages à l'aide du levier central et, enfin, à l'aide des leviers de sélection placés derrière le volant. À force de jouer avec ces trois modes, je suis parvenu à passer les rapports assez doucement. J'utilisais la plage de 3200/3500 tr/min pour y parvenir.
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| Ce nouveau tandem moteur à essence et boîte de vitesses automatique permet de bien se faufiler en circulation urbaine. |