Auto123.com - On vous guide du rêve à la route

Subaru Impreza WRX STI 2008 : essai routier

|
Le meilleur taux d'intérêt
Charles Renny
De là, d'autres systèmes spécialisés tels que le différentiel centralcommandé par le conducteur (DCCD) entrent dans le jeu. Le système detraction intégral DCCD propose quatre modes qui répartissent le coupleà l'avant et à l'arrière en différentes proportions. Ils partagent lecouple au besoin selon des préférences établies. Vous pouvez mettre lesystème DCCD en mode manuel afin d'y apporter vos corrections etoptimiser le rendement selon la situation. Un différentiel hélicoïdalavant à glissement limité et son pendant arrière Torsen sensible aucouple favorisent le partage du couple d'un côté à l'autre.

En ce qui concerne l'électronique, le système de contrôle de la dynamique (VDC) est également réglable. Il est en mode « normal » par défaut. Un cran plus haut se trouve le mode « traction », davantage axé sur la performance et moins restrictif. En haut de l'échelle de rendement se trouve le mode « OFF », où l'on doit se débrouiller seul.

Subaru dote toujours son Impreza d'énormes freins. On trouve à l'avant de grands disques Brembo et des étriers à quatre pistons; à l'arrière, des étriers à deux pistons chevauchent des disques légèrement plus petits. Outre les composantes mécaniques, Subaru a retouché l'électronique aussi. Le système d'assistance au freinage analyse la course et la force exercée sur la pédale et peut augmenter la pression en cas d'urgence et même activer le système ABS plus tôt.

Une fois bien assis, toutes les commandes tombent volontiers sous la main.

Si intéressants soient-ils, ces dispositifs ne jetteront pas un poids dans la balance si la voiture n'est pas confortable. Heureusement, la STI brille à ce chapitre. J'ai réussi à m'installer confortablement en 15 secondes, mais lorsque ma femme a pris le volant, elle a mis une bonne minute à trouver la position idéale. Une fois bien assis, toutes les commandes tombent volontiers sous la main, y compris le levier de la boîte manuelle à six rapports.

J'ai vraiment apprécié les baquets. Ils font appel à des coussins standard qui soutiennent assez bien les cuisses, mais c'est le dossier qui fait toute la différence. Il demeure relativement large et ne pince jamais les côtés. Autour des épaules, le siège s'évase et offre un excellent support à un vaste éventail de types corporels.

L'espace arrière est toutefois un brin ajusté. Lorsque j'ai reculé mon siège avant, l'espace pour les jambes et les genoux n'avait pas l'air d'abonder. Je n'ai même pas tenté de m'asseoir à l'arrière, mais je n'ai aucun doute que deux personnes pourraient y prendre place pour durée limitée. Il accueillerait facilement des sièges pour enfant, et on pourrait même y installer les p'tits sans se disloquer l'épaule. Lorsque non sollicitée, la banquette arrière asymétrique se rabat, révélant un vaste espace de chargement.

J'ai subi une crise de paresse aigüe un jour et souhaité que la boîte manuelle de 6 rapports se transforme en version automatique. Il va sans dire que je suis allé avaler les courbes jusqu'à ce que ça se passe.
photo:Charles Renny, Subaru
Subaru Impreza 2008
subaru impreza 2008
Subaru Impreza 2008
Évaluer ce véhicule
Esthétique
Accessoires
Espace et accès
Confort
Performance
Dynamique de conduite
Sécurité
Appréciation générale
Nom
Courriel
Commentaire
Mot de passe
Mot de passe oublié? Cliquez ici
Annuler
Gallerie de l'article
Charles Renny
Charles Renny
Expert automobile
None