Par contre, les ingénieurs ont eu la bonne idée de garder le coffre de taille intéressante, à 320 litres, et la possibilité d'abaisser la banquette arrière 60/40 pour permettre le passage de longs objets. L'accès aux composants mécaniques est important pour ce type de voiture, mais quelle surprise à l'ouverture du capot; on a droit à une véritable usine à gaz.
Les sièges du style Recaro pourraient être mieux habillés, mais ils font un excellent travail dans les courbes grâce à leur maintien. Il est facile de trouver sa position de conduite. Un levier permet de modifier la hauteur de l'assise. De plus, le volant télescopique est très généreux dans son déplacement, tout comme le réglage en hauteur.
Ça commence à être intéressant !
Sans dire que la puissance de l'ancienne génération mécanique de la WRX était limitée, il faut admettre que les 224 chevaux n'avaient plus rien d'exceptionnel. Par contre, cette année, Subaru fait tout un cadeau à ses amateurs avec l'ajout de 41 chevaux et une augmentation du couple de 18 livres-pied sur le petit moteur boxer de 2,5 litres. La puissance de 265 chevaux et le couple de 244 livres-pied, combinés à la transmission intégrale, donnent des accélérations qui se révèlent un pur régal.
Les changements mécaniques sont loin d'être mineurs. En effet, le turbo est plus gros et agit avec progressivité grâce au système de contrôle des soupapes. L'écoulement des gaz d'échappement est également facilité par rapport à l'ancien moteur. La consommation de carburant est bonne en regard des performances fournies, avec 11 litres aux 100 kilomètres en conduite urbaine contre 8 litres aux 100 kilomètres sur la route.
Par comparaison avec la boîte de vitesses manuelle de la Mitsubishi Lancer EVO, la boîte à 5 rapports de Subaru est précise, sans plus. À l'accélération, l'effet de couple dans le volant a été réduit, ce qui permet un parfait contrôle et une bonne sensibilité sportive. La WRX demeure très maniable. Elle est vive dans les changements rapides de direction et offre un diamètre de braquage réduit.
La transmission intégrale répartit la puissance 50/50 en courbe. Les ressorts de suspension sont plus forts, et les barres stabilisatrices ont été révisées pour accroître la solidité en virage. La suspension offre un beau compromis entre sportivité et confort. Le système de freinage n'est pas reste. Il offre une bonne sensibilité sportive au freinage et beaucoup d'efficacité grâce aux disques ventilés de 294 millimètres sur 24. Les systèmes de contrôle, les capteurs de force g et d'assiette font un excellent travail de stabilisateurs, alors que la sécurité, en général, est améliorée.
Conclusion
Subaru a bien retravaillé sa populaire WRX berline pour en faire une vraie sportive. Cependant, il est plutôt insultant pour les mordus de la marque de constater que la valeur de revente de la version 2008 qu'ils ont achetée fond comme neige au soleil en raison de l'importante différence de puissance.
photo:Subaru
Les sièges du style Recaro pourraient être mieux habillés, mais ils font un excellent travail dans les courbes grâce à leur maintien. Il est facile de trouver sa position de conduite. Un levier permet de modifier la hauteur de l'assise. De plus, le volant télescopique est très généreux dans son déplacement, tout comme le réglage en hauteur.
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| La puissance de 265 chevaux et le couple de 244 livres-pied donnent des accélérations qui se révèlent un régal. |
Ça commence à être intéressant !
Sans dire que la puissance de l'ancienne génération mécanique de la WRX était limitée, il faut admettre que les 224 chevaux n'avaient plus rien d'exceptionnel. Par contre, cette année, Subaru fait tout un cadeau à ses amateurs avec l'ajout de 41 chevaux et une augmentation du couple de 18 livres-pied sur le petit moteur boxer de 2,5 litres. La puissance de 265 chevaux et le couple de 244 livres-pied, combinés à la transmission intégrale, donnent des accélérations qui se révèlent un pur régal.
Les changements mécaniques sont loin d'être mineurs. En effet, le turbo est plus gros et agit avec progressivité grâce au système de contrôle des soupapes. L'écoulement des gaz d'échappement est également facilité par rapport à l'ancien moteur. La consommation de carburant est bonne en regard des performances fournies, avec 11 litres aux 100 kilomètres en conduite urbaine contre 8 litres aux 100 kilomètres sur la route.
Par comparaison avec la boîte de vitesses manuelle de la Mitsubishi Lancer EVO, la boîte à 5 rapports de Subaru est précise, sans plus. À l'accélération, l'effet de couple dans le volant a été réduit, ce qui permet un parfait contrôle et une bonne sensibilité sportive. La WRX demeure très maniable. Elle est vive dans les changements rapides de direction et offre un diamètre de braquage réduit.
La transmission intégrale répartit la puissance 50/50 en courbe. Les ressorts de suspension sont plus forts, et les barres stabilisatrices ont été révisées pour accroître la solidité en virage. La suspension offre un beau compromis entre sportivité et confort. Le système de freinage n'est pas reste. Il offre une bonne sensibilité sportive au freinage et beaucoup d'efficacité grâce aux disques ventilés de 294 millimètres sur 24. Les systèmes de contrôle, les capteurs de force g et d'assiette font un excellent travail de stabilisateurs, alors que la sécurité, en général, est améliorée.
Conclusion
Subaru a bien retravaillé sa populaire WRX berline pour en faire une vraie sportive. Cependant, il est plutôt insultant pour les mordus de la marque de constater que la valeur de revente de la version 2008 qu'ils ont achetée fond comme neige au soleil en raison de l'importante différence de puissance.
photo:Subaru
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